Le président de la jeunesse de Cap unir pour la réélection de Laurent Gbagbo (Cap Urlg), Abdalah Coulibaly a animé une conférence autour du thème : « Quelle jeunesse pour quels défis après 50 ans d’indépendance ? ». C’était ce mardi 13 juillet à l’hôtel communal de Cocody dans le cadre des échanges de la tribune des débats du cinquantenaire.
Le président de la jeunesse Cap Urlg, Abdalah Coulibaly a jeté un regard critique quant à la situation de la jeunese Ivoirienne 50 ans après l’indépendance de la côte d’ivoire. Pour lui, cette situation n’est pas reluisante, car c’est une jeunesse sans repère. La jeunesse Ivoirienne a-t-il dit, est une jeunesse plutôt gâtée, paresseuse et très souvent inconsciente qui est instrumentalisée par les hommes politiques. A en croire le conférencier, les responsabilités entre d’une part la jeunesse qui n’a pas su prendre son destin en main et d’autre part,des aînés qui n’ont pas su inculquer le bel exemple à cette jeunesse. « La jeunesse Ivoirienne tant décriée est d’abord et avant tout la jeunesse des adultes qui à quelque niveau que ce soit, ont constitué la jeunese des années des indépendances ». Pour lui la jeunesse d’aujourd’hui est le produit de l’action des adultes.
Mais en dépit de ce tableau sombre de la jeunesse, M. Coulibaly voit en elle, une jeunese courageuse, créatrice et entreprenante. « Si les institutions de la république sont restées débout après le coup d’Etat manqué du 19 septembre 2002, c’est grâce à la jeunesse qui s’est dressée pour dire non à l’imposture » a-t-il justifié.
Pour les 50 années à venir le premier défi que la jeunesse devra relever selon Abdalah, est celui de l’emploi. C’est pourquoi il demande à celle-ci de s’inspirer du livre programme du président Laurent Gbagbo qui traite de la question de l’emploi des jeunes, de la santé et de l’école. Mais en plus, il faudra à la jeunesse relever un défi moral qui consiste à la révolte de la jeunesse contre elle-même en prenant son destin en main à travers la création de leurs propres emplois. Et l’une des voies qu’a indiquées le conférencier est bien le retour à la terre.
Franck YEO
Franck-stephane.yeo@fratmat.info
Le président de la jeunesse Cap Urlg, Abdalah Coulibaly a jeté un regard critique quant à la situation de la jeunese Ivoirienne 50 ans après l’indépendance de la côte d’ivoire. Pour lui, cette situation n’est pas reluisante, car c’est une jeunesse sans repère. La jeunesse Ivoirienne a-t-il dit, est une jeunesse plutôt gâtée, paresseuse et très souvent inconsciente qui est instrumentalisée par les hommes politiques. A en croire le conférencier, les responsabilités entre d’une part la jeunesse qui n’a pas su prendre son destin en main et d’autre part,des aînés qui n’ont pas su inculquer le bel exemple à cette jeunesse. « La jeunesse Ivoirienne tant décriée est d’abord et avant tout la jeunesse des adultes qui à quelque niveau que ce soit, ont constitué la jeunese des années des indépendances ». Pour lui la jeunesse d’aujourd’hui est le produit de l’action des adultes.
Mais en dépit de ce tableau sombre de la jeunesse, M. Coulibaly voit en elle, une jeunese courageuse, créatrice et entreprenante. « Si les institutions de la république sont restées débout après le coup d’Etat manqué du 19 septembre 2002, c’est grâce à la jeunesse qui s’est dressée pour dire non à l’imposture » a-t-il justifié.
Pour les 50 années à venir le premier défi que la jeunesse devra relever selon Abdalah, est celui de l’emploi. C’est pourquoi il demande à celle-ci de s’inspirer du livre programme du président Laurent Gbagbo qui traite de la question de l’emploi des jeunes, de la santé et de l’école. Mais en plus, il faudra à la jeunesse relever un défi moral qui consiste à la révolte de la jeunesse contre elle-même en prenant son destin en main à travers la création de leurs propres emplois. Et l’une des voies qu’a indiquées le conférencier est bien le retour à la terre.
Franck YEO
Franck-stephane.yeo@fratmat.info