L’artiste chanteur ivoirien, François Lougah, voulait la chanteuse Zaïroise, Tshala Muana en mariage, en avril 1984. La nouvelle avait fait l’actualité, à l’époque, des pages « art et musique » de tous les journaux en Côte d’Ivoire. L’Ivoirien François Lougah avait aimé de tout son cœur, la citoyenne Zaïroise Tshala Muana. Mordus à l’hameçon de l’amour, les deux artistes-chanteurs vivaient dans l’esprit du mariage. Et, tous les Ivoiriens voulaient voir ce mariage : François Lougah et Tshala Muana côte à côte. Jamais dans l’histoire, mariage d’artiste n’avait autant occupé plusieurs pages des journaux en Côte d’Ivoire. Et moi, en cette année 1984, j’avais la conviction que François Lougah épouserait la citoyenne chanteuse Zaïroise Tshala Muana. Quand la presse ivoirienne avait demandé à Tshala Muana, pourquoi elle épouserait François Lougah, la chanteuse Zaïroise n’a pas cherché loin, déclarant que François Lougah, était l’artiste le plus en vue en Côte d’Ivoire. Et pendant longtemps, les Ivoiriens avaient cru à ce mariage François Lougah-Tshala Muana. Puis un jour retournement de situation : Tshala Muana ne voulait plus de François Lougah. La citoyenne Zaïroise n’avait plus d’amour pour le « papa national’’ ivoirien. La presse ivoirienne avait repris le dossier et voulait savoir la vérité. Mais François Lougah, qui était fortement amoureux de Tshala Muana, avait démenti l’information. Mais le pire allait venir, quand Tshala Muana, d’une presse à l’autre déclarait avoir chassé François Lougah, de sa résidence à Marcory. A priori, tous les Ivoiriens avaient senti une opération de dupe de la part de la citoyenne chanteuse Zaïroise Tshala Muana. Mais les Ivoiriens n’avaient jamais abandonné François Lougah, dans cette rupture brutale de sa vie sentimentale, provoquée par la citoyenne chanteuse Zaïroise Tshala Muana. Mais d’autres Ivoiriens, avaient accusé François Lougah de naïf, pour avoir supporté toutes ces plaisanteries. Humilié, le ‘’Papa national’’ n’avait qu’une seule conscience : Aucune femme ne le trompera plus comme ça. Et quelques années plus tard, mourrait François Lougah
Ben Ismaël
Ben Ismaël