Le président de la fédération ivoirienne de football, Jacques Anouma sera face à la presse en début de semaine prochaine pour faire le point de la coupe du monde 2010 et aussi annoncer le nom du nouvel entraîneur des Eléphants.
«C’est avec étonnement que le président de la FIF a lu que la FIF s’apprête à signer avec Eriksson aujourd’hui (ndlr, hier Vendredi 23 Juillet 2010). Le président parlera mais pas cette semaine », a précisé hier, vendredi 23 juillet, un haut dignitaire de l’instance suprême du football ivoirien. Mieux, il a fait savoir que le président de la FIF sera face à la presse nationale et internationale la semaine prochaine pour évoquer toutes les questions relatives aux Eléphants. « Lundi ou mardi, il parlera. Je crois que le mardi 27 juillet 2010 est la date la plus sure. Mais il faut savoir avant tout que pour se prononcer, il faut avoir toutes les données et les informations nécessaires. Le président parlera cependant, notez qu’on ne veut pas engager un bras de fer avec le ministère des sports », a ajouté ce membre du comité exécutif de la FIF qui préfère garder l’anonymat. Poursuivant, il a mentionné que la FIF prendra toutes les dispositions pour informer la presse ivoirienne en même temps. « Les scoops nous font rire en ce moment. J’avoue que le président est souvent étonné… », conclut-il. Dos au mur concernant le choix du probable coach des pachydermes après la coupe du monde 2010, Jacques Anouma cherche des arguments solides pour se présenter devant la presse sans toutefois blesser le ministre Mel Eg Théodore, pointé du doigt, au sujet des primes impayées des joueurs. C’est d’ailleurs l’une des raisons qui pousse le patron du cuir ivoirien à peaufiner une stratégie de communication. Et pourtant les Eléphants perdent patience depuis la fin du Mondial. « C’est depuis la Suisse lors de la préparation de la coupe du monde que les gens nous ont demandé nos comptes pour les différentes transactions à la BNI. Le Mondial est terminé et plus rien. On a eu confiance et ça dure. Les autres joueurs perçoivent leurs primes sur le lieu de la compétition et les nôtres deviennent une affaire de crédit. Nous ne savons pas quel est le problème », a confié un professionnel ivoirien
Annoncia S.
«C’est avec étonnement que le président de la FIF a lu que la FIF s’apprête à signer avec Eriksson aujourd’hui (ndlr, hier Vendredi 23 Juillet 2010). Le président parlera mais pas cette semaine », a précisé hier, vendredi 23 juillet, un haut dignitaire de l’instance suprême du football ivoirien. Mieux, il a fait savoir que le président de la FIF sera face à la presse nationale et internationale la semaine prochaine pour évoquer toutes les questions relatives aux Eléphants. « Lundi ou mardi, il parlera. Je crois que le mardi 27 juillet 2010 est la date la plus sure. Mais il faut savoir avant tout que pour se prononcer, il faut avoir toutes les données et les informations nécessaires. Le président parlera cependant, notez qu’on ne veut pas engager un bras de fer avec le ministère des sports », a ajouté ce membre du comité exécutif de la FIF qui préfère garder l’anonymat. Poursuivant, il a mentionné que la FIF prendra toutes les dispositions pour informer la presse ivoirienne en même temps. « Les scoops nous font rire en ce moment. J’avoue que le président est souvent étonné… », conclut-il. Dos au mur concernant le choix du probable coach des pachydermes après la coupe du monde 2010, Jacques Anouma cherche des arguments solides pour se présenter devant la presse sans toutefois blesser le ministre Mel Eg Théodore, pointé du doigt, au sujet des primes impayées des joueurs. C’est d’ailleurs l’une des raisons qui pousse le patron du cuir ivoirien à peaufiner une stratégie de communication. Et pourtant les Eléphants perdent patience depuis la fin du Mondial. « C’est depuis la Suisse lors de la préparation de la coupe du monde que les gens nous ont demandé nos comptes pour les différentes transactions à la BNI. Le Mondial est terminé et plus rien. On a eu confiance et ça dure. Les autres joueurs perçoivent leurs primes sur le lieu de la compétition et les nôtres deviennent une affaire de crédit. Nous ne savons pas quel est le problème », a confié un professionnel ivoirien
Annoncia S.
