La délégation du Fpi conduite par son président, Affi N’Guessan, est arrivée, hier, sous le coup de 12h, à Gbéléban, à 70 km d’Odienné, son chef-lieu de département. C’est une population en liesse qui attendait le premier responsable du Fpi. Visiblement heureux de cette visite, le porte-parole de la population, Traoré Salif a, avec beaucoup d’émotion, exprimé sa joie : «Gbéléban est un village répubicain. Contrairement à ce que les gens véhiculent, Gbéléban ne se met pas en marge de la République. Car le développement ou celui qui envoie le développement n’a pas de couleur», a-t-il dit.
Le directeur local de campagne du candidat Laurent Gbagbo, Traoré Ibrahim, a renchéri en disant que «le Fpi existe bel et bien à Gbéléban». Et d’ajouter : «Les gens peuvent raconter ce qu’ils veulent mais le Fpi est vivant ici. Aussi, souhaterai-je que Gbéléban soit le Qg de campagne de Laurent Gbagbo. Car, si Gbéléban vote Gbagbo, tout le monde votera pour lui». Ragaillardi par ces informations pleines d’engagement et de soutien au Président de la République, le chef de délégation va alors s’adresser à la population: «Nous sommes venu vivre la réalité du terrain pour construire l’unité nationale. Au Fpi, notre travail, c’est d’apporter de l’eau, l’école, l’électricité, les routes, les hôpitaux à tout le monde». «Nous suivons Gbagbo, explique-t-il, parce qu’il a de bonnes idées. Il fait la politique parce qu’il veut aider les populations à avoir ce qu’elles n’ont pas. Il est venu pour travailler pour que la Côte d’Ivoire avance. Sachez que ce n’est pas avec la force qu’on prend le pouvoir mais plutôt c’est Dieu qui donne. Travaillons dans l’unité et évitons la division qui nous a mis dans des problèmes».
Demandant aux uns et aux autres de tirer les enseignements de la guerre qu’a connue le pays, il a indiqué que c’est parce que les gens ne disaient pas la vérité, ne marchaient pas sur la voie de l’amour. A Seydougou, l’ambiance était aussi bonne, la mobilisation exceptionnelle. Le président Affi N’Guessan a livré encore un message de paix. En invitant la population à ne pas suivre quelqu’un parce qu’il est un frère, un parent.
Il convient de noter que la délégation a été accueillie, dans cette commune de Seydougou par le maire Daouda Diarrassouba (Rdr) qui se dit républicain. Parce qu’il a, selon lui, la gestion d’une population républicaine : «On fait la politique pour être utile à ses semblables. Ici, nous avons besoin de développement», a-t-il dit.
Emmanuel Kouassi
Envoyé special
Le directeur local de campagne du candidat Laurent Gbagbo, Traoré Ibrahim, a renchéri en disant que «le Fpi existe bel et bien à Gbéléban». Et d’ajouter : «Les gens peuvent raconter ce qu’ils veulent mais le Fpi est vivant ici. Aussi, souhaterai-je que Gbéléban soit le Qg de campagne de Laurent Gbagbo. Car, si Gbéléban vote Gbagbo, tout le monde votera pour lui». Ragaillardi par ces informations pleines d’engagement et de soutien au Président de la République, le chef de délégation va alors s’adresser à la population: «Nous sommes venu vivre la réalité du terrain pour construire l’unité nationale. Au Fpi, notre travail, c’est d’apporter de l’eau, l’école, l’électricité, les routes, les hôpitaux à tout le monde». «Nous suivons Gbagbo, explique-t-il, parce qu’il a de bonnes idées. Il fait la politique parce qu’il veut aider les populations à avoir ce qu’elles n’ont pas. Il est venu pour travailler pour que la Côte d’Ivoire avance. Sachez que ce n’est pas avec la force qu’on prend le pouvoir mais plutôt c’est Dieu qui donne. Travaillons dans l’unité et évitons la division qui nous a mis dans des problèmes».
Demandant aux uns et aux autres de tirer les enseignements de la guerre qu’a connue le pays, il a indiqué que c’est parce que les gens ne disaient pas la vérité, ne marchaient pas sur la voie de l’amour. A Seydougou, l’ambiance était aussi bonne, la mobilisation exceptionnelle. Le président Affi N’Guessan a livré encore un message de paix. En invitant la population à ne pas suivre quelqu’un parce qu’il est un frère, un parent.
Il convient de noter que la délégation a été accueillie, dans cette commune de Seydougou par le maire Daouda Diarrassouba (Rdr) qui se dit républicain. Parce qu’il a, selon lui, la gestion d’une population républicaine : «On fait la politique pour être utile à ses semblables. Ici, nous avons besoin de développement», a-t-il dit.
Emmanuel Kouassi
Envoyé special