Yopougon : Santé communautaire de Wassakara - Plus de 2 millions de don de médicaments et de matériels

La politique de "au plus de 2 millions de don de médicaments et de matériels santé pour tous" initiée depuis quelques années par Ouattara Clément à travers la Fsucom (Formation sanitaire urbaine communautaire) de Yopougon-Wassakara vient d'être soutenue par le contingent jordanien de l'Onuci. Il vient de doter ce centre de santé de médicaments de première nécessité et d'urgence ainsi que de matériels d'une valeur globale de plus de 2 millions de Fcfa. Le commandant du contingent jordanien, le colonel Samir Al-Quarelleh qui a offert ce don, le jeudi 29 juillet 2010 à la Fsucom de Yopougon-Wassakara n'a pas boudé son plaisir. Au nom du Roi Abdallah II de la Jordanie, il l'a inscrit dans le cadre de la contribution de la Jordanie au développement de la Côte d'Ivoire. Mieux, il a indiqué “qu'un jordanien est égal un frère ivoirien”. C'est pourquoi, a-t-il soutenu, “Depuis notre arrivée, nous organisons des vaccinations gratuites et des dons de médicaments aux hôpitaux”. Séance tenante, il a offert 500 Kits scolaires et une vaccination gratuite aux populations, qui prennent les soins à la Fsucom-Wassakara. Un geste humanitaire qui vient combler un vide en ces temps de vache maigre que le Pca de la Fsucom et Président du Renascom-CI ont tenu à saluer à sa juste valeur. “Ma population et moi, ainsi que tous mes collaborateurs, nous sommes très comblés par le geste que vient de poser le contingent jordanien de l'Onuci. Je les en remercie au nom des populations bénéficiaires. Ces dons viennent diminuer les difficultés matérielles auxquelles estconfrontée la Fsucom”. Tout en promettant à ses bienfaiteurs de faire bon usage des médicaments et du matériel, il a demandé aux bonnes volontés d'emboîter le pas au geste que vient de réaliser le contingent jordanien de l'Onuci. Au nombre des doléances, il a souhaité, dans un premier temps, voir la Fsucom se doter d'une ambulance pour le transport de certains patients dont les traitements nécessite une urgence.

J. B. Essis