Attécoubé n’est pas restée en marge du cinquantenaire. La commune dirigée par le maire Danho Paulin Claude a fêté, samedi dernier, dans l’effervescence et la joie, les 50 ans de la Côte d’Ivoire. Pour l’occasion, c’est la place du terminus de la ligne du bus N°04, non loin de la mairie qui a accueilli les festivités. Au menu, défilé, remise d’épaulettes aux agents de la police municipale, décoration de 50 citoyens émérites de la commune et allocution du premier magistrat de la commune. Le défilé a vu la participation de toutes les communautés résidant dans la commune (nationales comme étrangères). Dans son message, le maire Danho Paulin a exprimé sa gratitude à tous ceux qui œuvrent pour le développement de sa commune et de la Côte d’Ivoire toute entière. A 50 ans, la Côte d’Ivoire, s’est-il souvenu, a vécu des moments de bonheur, mais aussi de souffrance, surtout en ce qui concerne sa récente histoire. C’est pourquoi, il s’est félicité de ce que l’espérance pointe son nez après ces douloureux moments. «Aujourd’hui, avec l’espoir, il appartient au peuple de travailler ensemble pour bâtir le pays. La Côte d’Ivoire doit rester une et indivisible », a-t-il insisté.
Du reste, cette fête du cinquantenaire à Attécoubé, a expliqué M. Danho Paulin Claude, c’est pour raffermir les liens de solidarité et de fraternité entre les différentes communautés de la commune, pour que celle-ci continue d’être la cité du partage malgré la crise. D’où, a-t-il justifié, la décoration de ses braves fils. Notons que la fête s’est poursuivie avec un concert géant et une soirée salsa.
Dao Maïmouna
Du reste, cette fête du cinquantenaire à Attécoubé, a expliqué M. Danho Paulin Claude, c’est pour raffermir les liens de solidarité et de fraternité entre les différentes communautés de la commune, pour que celle-ci continue d’être la cité du partage malgré la crise. D’où, a-t-il justifié, la décoration de ses braves fils. Notons que la fête s’est poursuivie avec un concert géant et une soirée salsa.
Dao Maïmouna