L’affaire des déchets toxiques ne fait pas que les choux gras de la presse ivoirienne et internationale. A côté de la lutte acharnée entre victimes pour recueillir les indemnisations, se développe un business qui prospère avec la crédulité et la propension des populations au gain facile.
Mercredi 11 Aout, il est un peu plus de 10 h 30 mn. Un groupe de personnes, majoritairement constitué de femmes, discute chaudement devant le siège fermé de la coordination nationale des victimes des déchets toxiques (CNVDTCI), sis à Cocody, route de Mermoz. On sent l’agacement sur les visages et le sujet de leur discussion, dans laquelle s’entrechoquent argot ivoirien et français approximatif, se devine aisément.
Par Marius Nouza
marius.nouza@jde-ci.com
Lire la suite de cet article dans le JDE n°077
Mercredi 11 Aout, il est un peu plus de 10 h 30 mn. Un groupe de personnes, majoritairement constitué de femmes, discute chaudement devant le siège fermé de la coordination nationale des victimes des déchets toxiques (CNVDTCI), sis à Cocody, route de Mermoz. On sent l’agacement sur les visages et le sujet de leur discussion, dans laquelle s’entrechoquent argot ivoirien et français approximatif, se devine aisément.
Par Marius Nouza
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