Il est Français, amoureux de la Côte d’Ivoire et féru de haute couture. Le dernier show de Pascal Lepelletier, c`était à Paris, le 7 juin 2010. A l’initiative de Mme Kipré, l’épouse de l’ambassadeur Pierre Kipré, et sous l’impulsion de Mme Odette Yao Yao, Déléguée permanente à l’Unesco, il y a organisé le défilé de mode du cinquantenaire de la Côte d`Ivoire. Le financement, il l’a trouvé auprès d’entreprises privées françaises tout aussi emballées que lui par le produit Côte d’Ivoire. Plus de 500 invités triés sur le volet, ont eu droit, ce jour-là, à un spectacle inoubliable offert par les plus grands stylistes et créateurs ivoiriens et africains, tels que Pathé`O, Gilles Touré, Eloi Sessou, Léonie Amangoua, etc.
Sa position de Conseiller technique du président de la Commission nationale du Cinquantenaire, a donc permis à Pascal de travailler avec la crème de la mode ivoirienne. Le public composé de personnalités nationales et internationales, de professionnels et d`amateurs de la haute couture a tout de suite été conquis. Autant de choses qui ont donné à Pascal l`envie de remettre ça. Mieux, Pascal veut aller plus loin en exportant les produits de la haute couture ivoirienne, contribuant ainsi à créer de l’emploi et à permettre aux artistes de vivre de leur art. Pour lui, le potentiel ivoirien est si important que les couturiers ivoiriens n’auront aucune difficulté à se mesurer à leurs pairs des pays développés.
Les idées sont aussi claires dans la tête de Pascal que son plan d`action. Il y croit tellement que les partenaires financiers seront forcément au rendez-vous. Un optimisme partagé par nos créateurs qui n’attendaient que ce genre d’opportunité pour laisser éclater leur génie...
Edgar Kouassi
Sa position de Conseiller technique du président de la Commission nationale du Cinquantenaire, a donc permis à Pascal de travailler avec la crème de la mode ivoirienne. Le public composé de personnalités nationales et internationales, de professionnels et d`amateurs de la haute couture a tout de suite été conquis. Autant de choses qui ont donné à Pascal l`envie de remettre ça. Mieux, Pascal veut aller plus loin en exportant les produits de la haute couture ivoirienne, contribuant ainsi à créer de l’emploi et à permettre aux artistes de vivre de leur art. Pour lui, le potentiel ivoirien est si important que les couturiers ivoiriens n’auront aucune difficulté à se mesurer à leurs pairs des pays développés.
Les idées sont aussi claires dans la tête de Pascal que son plan d`action. Il y croit tellement que les partenaires financiers seront forcément au rendez-vous. Un optimisme partagé par nos créateurs qui n’attendaient que ce genre d’opportunité pour laisser éclater leur génie...
Edgar Kouassi