Ibrahim Sy Savané (Ministre de la Communication) : « Cette fondation doit être gérée dans la transparence la plus totale. »
C'est un pas très important et un outil extrêmement essentiel pour la communauté. C'est une attente qui a duré depuis des décennies, un instrument de lutte contre la pauvreté. La question de la lutte contre la pauvreté n'est pas seulement une affaire de macro économistes ou des gouvernants, c'est aussi tous ceux qui veulent faire la promotion de la solidarité. De ce point de vue, cette fondation est extrêmement utile.
Mon souhait est que cette fondation soit gérée dans la transparence la plus totale. Beaucoup de gens sont prêts à donner mais ils ont besoin qu'on leur rende compte parce que chaque franc investi dans cette fondation doit permettre d'aider les pauvres. C'est essentiellement pour aider les pauvres, pour renforcer la communauté à travers l'éducation ou l'aide directe aux pauvres. Il ne faudrait pas que cela devienne un instrument pour financer une bureaucratie islamique. Il faut que cela revienne aux bénéficiaires de la zakat qui ont été bien définis. Chacun doit apporter une contribution. Il n'existe pas quelqu'un sur terre qui soit démuni au point de ne pas pouvoir aider un autre.
Mme Fatou Hamza (fidèle musulmane) : « Il faut que les gens se sentent concernés. »
C'est une bonne chose pourvu que nous puissions avancer. Que les gens puissent faire preuve de bonne volonté. Le tout n'est pas de créer une fondation, il faut que les gens se sentent concernés. Les musulmans doivent s'impliquer et il faut que les choses soient sincères parce que tous les problèmes découlent du manque de sincérité.
Hadja AKAFFOU (fidèle musulmane) : « Tout le monde est unanime pour réaliser cette fondation. »
C'est une très belle initiative qui va permettre aux musulmans d'aller faire leurs dons dans un lieu précis et cela permet de renforcer l'unité des musulmans. Tout le monde est unanime pour réaliser cette fondation, c'est l'entente et l'unité de la communauté.
Hadja Fatou Fadiga (membre du conseil d'administration) : « La zakat est un instrument d'intégration. »
Je suis très heureuse de la création de cette structure. J'en pense le plus grand bien. C'est tout un symbole d'intégration parce que la zakat même est un instrument d'intégration. Celui qui en a et qui est appelé le riche donne à celui qui n'en a pas. Donc on se met ensemble. Cela est s'est matérialisé par la présence de toutes les associations aujourd'hui. Qu4il en soit ainsi désormais.
Dr Diabaté Moussa (cadre musulman) : « Les cadres doivent jouer leur partition pour que cette fondation fonctionne bien »
Je pense que c'est une très bonne chose. On attendait ça et c'est arrivé. Les cadres doivent jouer leur partition pour que cette fondation fonctionne comme il se doit. C'est un cadre pour nous de donner la zakat et les waqfs.
Dosso Inza (Président de l'ONG Fondation pour l'avancement de l'islam) : « Il faut encourager ceux qui sont chargés de conduire ce travail colossal. »
Il faut dire que l'idée est salutaire. Nous remercions les guides qui ont émis l'idée et les imams qui sont leur soutien. Il faut encourager ceux qui sont chargés de conduire ce travail colossal qui en fait constitue une aubaine pour la communauté musulmane et non musulmane. Car la pauvreté n'a pas de camp. C'est une source de développement pour le pays tout entier.
Propos recueillis par Haroun B
C'est un pas très important et un outil extrêmement essentiel pour la communauté. C'est une attente qui a duré depuis des décennies, un instrument de lutte contre la pauvreté. La question de la lutte contre la pauvreté n'est pas seulement une affaire de macro économistes ou des gouvernants, c'est aussi tous ceux qui veulent faire la promotion de la solidarité. De ce point de vue, cette fondation est extrêmement utile.
Mon souhait est que cette fondation soit gérée dans la transparence la plus totale. Beaucoup de gens sont prêts à donner mais ils ont besoin qu'on leur rende compte parce que chaque franc investi dans cette fondation doit permettre d'aider les pauvres. C'est essentiellement pour aider les pauvres, pour renforcer la communauté à travers l'éducation ou l'aide directe aux pauvres. Il ne faudrait pas que cela devienne un instrument pour financer une bureaucratie islamique. Il faut que cela revienne aux bénéficiaires de la zakat qui ont été bien définis. Chacun doit apporter une contribution. Il n'existe pas quelqu'un sur terre qui soit démuni au point de ne pas pouvoir aider un autre.
Mme Fatou Hamza (fidèle musulmane) : « Il faut que les gens se sentent concernés. »
C'est une bonne chose pourvu que nous puissions avancer. Que les gens puissent faire preuve de bonne volonté. Le tout n'est pas de créer une fondation, il faut que les gens se sentent concernés. Les musulmans doivent s'impliquer et il faut que les choses soient sincères parce que tous les problèmes découlent du manque de sincérité.
Hadja AKAFFOU (fidèle musulmane) : « Tout le monde est unanime pour réaliser cette fondation. »
C'est une très belle initiative qui va permettre aux musulmans d'aller faire leurs dons dans un lieu précis et cela permet de renforcer l'unité des musulmans. Tout le monde est unanime pour réaliser cette fondation, c'est l'entente et l'unité de la communauté.
Hadja Fatou Fadiga (membre du conseil d'administration) : « La zakat est un instrument d'intégration. »
Je suis très heureuse de la création de cette structure. J'en pense le plus grand bien. C'est tout un symbole d'intégration parce que la zakat même est un instrument d'intégration. Celui qui en a et qui est appelé le riche donne à celui qui n'en a pas. Donc on se met ensemble. Cela est s'est matérialisé par la présence de toutes les associations aujourd'hui. Qu4il en soit ainsi désormais.
Dr Diabaté Moussa (cadre musulman) : « Les cadres doivent jouer leur partition pour que cette fondation fonctionne bien »
Je pense que c'est une très bonne chose. On attendait ça et c'est arrivé. Les cadres doivent jouer leur partition pour que cette fondation fonctionne comme il se doit. C'est un cadre pour nous de donner la zakat et les waqfs.
Dosso Inza (Président de l'ONG Fondation pour l'avancement de l'islam) : « Il faut encourager ceux qui sont chargés de conduire ce travail colossal. »
Il faut dire que l'idée est salutaire. Nous remercions les guides qui ont émis l'idée et les imams qui sont leur soutien. Il faut encourager ceux qui sont chargés de conduire ce travail colossal qui en fait constitue une aubaine pour la communauté musulmane et non musulmane. Car la pauvreté n'a pas de camp. C'est une source de développement pour le pays tout entier.
Propos recueillis par Haroun B