Le président Laurent GBAGBO a accordé, vendredi 20 août à sa résidence privée de Cocody, une audience aux Ivoiriens de l’étranger, venus lui rendre hommage pour le combat qu’il mène. Celui de la survie de la nation ivoirienne, celui de la liberté sur l’asservissement.
Le candidat de La Majorité Présidentielle, le Président Laurent GBAGBO, a reçu le vendredi soir, 20 août 2010 à sa résidence privée de Cocody, plus d’une cinquantaine de ses compatriotes vivant à l’étranger, conduits par le Dr. Issa Malick Coulibaly, son Directeur national de campagne. Cette rencontre se situe dans le cadre de la Journée-Hommage que les Ivoiriens de l’étranger ont voulu rendre à leur Président, suite au colloque international organisé en fin mai 2010 à Genève sur l’harmonisation des stratégies de victoire du Président Laurent GBAGBO en Europe.
Le ministre Gnamien Yao, Directeur de campagne adjoint, chargé des Ivoiriens de l’étranger, a indiqué à leur hôte qu’à l’issu du colloque de Genève, les participants ont été tous unanimes pour reconnaître qu’il était un homme de Dialogue, de Paix et de Justice. Mieux, qu’il incarne la nouvelle conscience africaine. C’est cela qu’ils sont venus le lui dire de vive voix. Car, à la vérité, « le Président Laurent Gbagbo aime son pays. »
Il « aime son pays », dit le ministre, car il y laisse quotidiennement l’empreinte de cette trajectoire indélébile qui consiste à croire et toujours croire en la démocratie comme socle de la liberté.
Le Président Laurent Gbagbo « aime son pays », car, au-delà de sa silhouette physique, en tant qu’humain, qui sera confiée aux ouvrages et documents historiques, à nos mémoires et souvenirs, il laisse à la Côte d’Ivoire, pour des générations et des générations, la silhouette d’une citadelle imprenable, gage de la liberté et de la dignité à vie du peuple de Côte d’Ivoire.
Le Président Laurent Gbagbo « aime son pays », car, il y laisse l’écho de cette phrase « asseyons-nous et discutons » qui doit servir de ciment à la reconstruction de la cohésion et de l’unité nationales, socles de nos ambitions nationales et internationales.
Le Président Laurent Gbagbo « aime son pays », car, en définitive, c’est lui qui aura su incarner par son courage, sa flexibilité, sa ténacité et son attachement à la mobilité sociale ascendante, auxquelles s’ajoute sa connaissance du monde, cette prophétie du Président Félix Houphouët-Boigny qui disait au soir de sa vie que son successeur étonnera le monde.
Selon le ministre Gnamien Yao, en maintenant la Côte d’Ivoire debout dans un duel de David contre Goliath, en influençant les modes de règlements de conflits intra-étatiques en Afrique et dans le monde à travers les accords politiques de Ouagadougou dans un premier temps, et sans aucun doute, à travers des accords politiques d’Abidjan ou de Yamoussoukro que tout le peuple ivoirien épris de paix pourrait appeler de tout son vœu, le Président Laurent Gbagbo a su montrer aux Ivoiriens que face à la détermination, à l’intelligence, à l’ardeur au travail et à la foi en la liberté, donc à la vérité, aucune armée au monde ne peut avoir raison de l’âme d’un peuple.
C’est en cela, a-t-il conclu, que le Président Laurent Gbagbo peut figurer aisément parmi les dignes continuateurs de l’œuvre émancipatrice des pionniers des indépendances africaines. Il incarne tout simplement la nouvelle conscience africaine. Il est entré dans l’histoire, il appartient à l’histoire. Il faut en être tout simplement fier.
Quant au Directeur national de campagne du Président Laurent GBAGBO, le Dr. Issa Malick Coulibaly, par ailleurs chef de délégation, il a remercié le chef de l’Etat qui, malgré son agenda chargé, a exceptionnellement reçu ses frères et sœurs de la diaspora pour les prodiguer de sages conseils, mais surtout, les galvaniser et motiver.
Le Dr. Issa Malick Coulibaly a également félicité le ministre Gnamien Yao et l’ensemble des Ivoiriens de l’étranger qui ont mis à profit leur séjour en Côte d’Ivoire pour conduire des réflexions sur l’avenir de leur pays. Il les a surtout remercié d’avoir pris l’engagement de parler d’une seule voix à l’extérieur, après avoir organisé une table-ronde sur le leadership du Président Laurent GBAGBO et étudié son livre-programme. Le Dr. Issa Malick Coulibaly les a enfin mis en mission pour la victoire du Président Laurent GBAGBO au premier tour à l’étranger.
Les remerciant pour leur engagement à ses côtés, le Président Laurent GBAGBO leur a aussi confié sa campagne à l’étranger après leur avoir expliqué les véritables enjeux de l’élection présidentielle du 31 octobre 2010. « Je vous confie ma campagne à l’étranger », a dit le candidat de La Majorité Présidentielle, pour qui l’élection présidentielle d’octobre prochain « n’est pas une élection ordinaire dans un pays ordinaire visant simplement à choisir un chef d’Etat. » Elle est, selon lui, « une élection extraordinaire dans un pays extraordinaire malmené. » Autrement dit, c’est une élection qui vise à montrer que les Ivoiriens veulent « la démocratie », qu’ils veulent « l’alternance », c’est une élection qui va confirmer leur choix.
Cette élection, poursuit le chef de l’Etat, est une élection entre deux camps : le camp de ceux qui sont contre le progrès de la Côte d’Ivoire et celui de ceux qui, comme le lui, veulent être libres. C’est pourquoi il a mis en garde tous ceux qui veulent faire obstacle à l’alternance et à la démocratie. C’est là tout le sens de son combat.
Il a dit à ses hôtes qu’il s’est toujours battu contre ceux qui veulent renverser les institutions de la république. Il a dit non à ceux qui ont voulu changer la constitution, et il a engagé une bataille contre ceux qui ont voulu dissoudre l’Assemblée nationale. « C’est une bataille de la liberté contre l’asservissement », a indiqué le Président GBAGBO.
Enfin, il a expliqué à ses compatriotes les raisons l’ayant motivé à fêter le cinquantenaire de l’indépendance de la Côte d’Ivoire seulement en Côte d’Ivoire. « Je n’ai pas voulu être hypocrite en allant à Paris le 14 juillet pour faire défiler nos troupes alors qu’ils ont été accusés d’avoir tué des soldats français lors d’une opération que j’ai engagée pour libérer la Côte d’Ivoire de la rébellion », a souligné le Président GBAGBO, révélant même qu’il a fait connaître sa position à l’Ambassadeur de France. « Je lui ai dit que je n’irai ni à Nice, ni à Paris. » A en croire le Président Laurent GBAGBO, les blessures ouvertes entre la France et la Côte d’Ivoire au cours de cette crise ne sont pas encore tout à fait cicatrisées pour qu’il se sente heureux à Paris dans ces conditions. Son rôle, a-t-il dit, c’est de protéger le peuple de Côte d’Ivoire pour qui, il a été élu.
Le candidat de La Majorité Présidentielle, le Président Laurent GBAGBO, a reçu le vendredi soir, 20 août 2010 à sa résidence privée de Cocody, plus d’une cinquantaine de ses compatriotes vivant à l’étranger, conduits par le Dr. Issa Malick Coulibaly, son Directeur national de campagne. Cette rencontre se situe dans le cadre de la Journée-Hommage que les Ivoiriens de l’étranger ont voulu rendre à leur Président, suite au colloque international organisé en fin mai 2010 à Genève sur l’harmonisation des stratégies de victoire du Président Laurent GBAGBO en Europe.
Le ministre Gnamien Yao, Directeur de campagne adjoint, chargé des Ivoiriens de l’étranger, a indiqué à leur hôte qu’à l’issu du colloque de Genève, les participants ont été tous unanimes pour reconnaître qu’il était un homme de Dialogue, de Paix et de Justice. Mieux, qu’il incarne la nouvelle conscience africaine. C’est cela qu’ils sont venus le lui dire de vive voix. Car, à la vérité, « le Président Laurent Gbagbo aime son pays. »
Il « aime son pays », dit le ministre, car il y laisse quotidiennement l’empreinte de cette trajectoire indélébile qui consiste à croire et toujours croire en la démocratie comme socle de la liberté.
Le Président Laurent Gbagbo « aime son pays », car, au-delà de sa silhouette physique, en tant qu’humain, qui sera confiée aux ouvrages et documents historiques, à nos mémoires et souvenirs, il laisse à la Côte d’Ivoire, pour des générations et des générations, la silhouette d’une citadelle imprenable, gage de la liberté et de la dignité à vie du peuple de Côte d’Ivoire.
Le Président Laurent Gbagbo « aime son pays », car, il y laisse l’écho de cette phrase « asseyons-nous et discutons » qui doit servir de ciment à la reconstruction de la cohésion et de l’unité nationales, socles de nos ambitions nationales et internationales.
Le Président Laurent Gbagbo « aime son pays », car, en définitive, c’est lui qui aura su incarner par son courage, sa flexibilité, sa ténacité et son attachement à la mobilité sociale ascendante, auxquelles s’ajoute sa connaissance du monde, cette prophétie du Président Félix Houphouët-Boigny qui disait au soir de sa vie que son successeur étonnera le monde.
Selon le ministre Gnamien Yao, en maintenant la Côte d’Ivoire debout dans un duel de David contre Goliath, en influençant les modes de règlements de conflits intra-étatiques en Afrique et dans le monde à travers les accords politiques de Ouagadougou dans un premier temps, et sans aucun doute, à travers des accords politiques d’Abidjan ou de Yamoussoukro que tout le peuple ivoirien épris de paix pourrait appeler de tout son vœu, le Président Laurent Gbagbo a su montrer aux Ivoiriens que face à la détermination, à l’intelligence, à l’ardeur au travail et à la foi en la liberté, donc à la vérité, aucune armée au monde ne peut avoir raison de l’âme d’un peuple.
C’est en cela, a-t-il conclu, que le Président Laurent Gbagbo peut figurer aisément parmi les dignes continuateurs de l’œuvre émancipatrice des pionniers des indépendances africaines. Il incarne tout simplement la nouvelle conscience africaine. Il est entré dans l’histoire, il appartient à l’histoire. Il faut en être tout simplement fier.
Quant au Directeur national de campagne du Président Laurent GBAGBO, le Dr. Issa Malick Coulibaly, par ailleurs chef de délégation, il a remercié le chef de l’Etat qui, malgré son agenda chargé, a exceptionnellement reçu ses frères et sœurs de la diaspora pour les prodiguer de sages conseils, mais surtout, les galvaniser et motiver.
Le Dr. Issa Malick Coulibaly a également félicité le ministre Gnamien Yao et l’ensemble des Ivoiriens de l’étranger qui ont mis à profit leur séjour en Côte d’Ivoire pour conduire des réflexions sur l’avenir de leur pays. Il les a surtout remercié d’avoir pris l’engagement de parler d’une seule voix à l’extérieur, après avoir organisé une table-ronde sur le leadership du Président Laurent GBAGBO et étudié son livre-programme. Le Dr. Issa Malick Coulibaly les a enfin mis en mission pour la victoire du Président Laurent GBAGBO au premier tour à l’étranger.
Les remerciant pour leur engagement à ses côtés, le Président Laurent GBAGBO leur a aussi confié sa campagne à l’étranger après leur avoir expliqué les véritables enjeux de l’élection présidentielle du 31 octobre 2010. « Je vous confie ma campagne à l’étranger », a dit le candidat de La Majorité Présidentielle, pour qui l’élection présidentielle d’octobre prochain « n’est pas une élection ordinaire dans un pays ordinaire visant simplement à choisir un chef d’Etat. » Elle est, selon lui, « une élection extraordinaire dans un pays extraordinaire malmené. » Autrement dit, c’est une élection qui vise à montrer que les Ivoiriens veulent « la démocratie », qu’ils veulent « l’alternance », c’est une élection qui va confirmer leur choix.
Cette élection, poursuit le chef de l’Etat, est une élection entre deux camps : le camp de ceux qui sont contre le progrès de la Côte d’Ivoire et celui de ceux qui, comme le lui, veulent être libres. C’est pourquoi il a mis en garde tous ceux qui veulent faire obstacle à l’alternance et à la démocratie. C’est là tout le sens de son combat.
Il a dit à ses hôtes qu’il s’est toujours battu contre ceux qui veulent renverser les institutions de la république. Il a dit non à ceux qui ont voulu changer la constitution, et il a engagé une bataille contre ceux qui ont voulu dissoudre l’Assemblée nationale. « C’est une bataille de la liberté contre l’asservissement », a indiqué le Président GBAGBO.
Enfin, il a expliqué à ses compatriotes les raisons l’ayant motivé à fêter le cinquantenaire de l’indépendance de la Côte d’Ivoire seulement en Côte d’Ivoire. « Je n’ai pas voulu être hypocrite en allant à Paris le 14 juillet pour faire défiler nos troupes alors qu’ils ont été accusés d’avoir tué des soldats français lors d’une opération que j’ai engagée pour libérer la Côte d’Ivoire de la rébellion », a souligné le Président GBAGBO, révélant même qu’il a fait connaître sa position à l’Ambassadeur de France. « Je lui ai dit que je n’irai ni à Nice, ni à Paris. » A en croire le Président Laurent GBAGBO, les blessures ouvertes entre la France et la Côte d’Ivoire au cours de cette crise ne sont pas encore tout à fait cicatrisées pour qu’il se sente heureux à Paris dans ces conditions. Son rôle, a-t-il dit, c’est de protéger le peuple de Côte d’Ivoire pour qui, il a été élu.