Acteur des Mondiaux de basket-ball en 1982 en Espagne et en 1985 en Colombie, Djadji Clément, devenu entraîneur, raconte ces deux évènements. A quelques heures du Mondial 2010 en Turquie où les Eléphants ouvrent le bal ce soir (19h UTC), il prodigue quelques conseils.
Pourquoi êtes-vous loin des parquets ?
Je me suis donné une année sabbatique. Juste pour souffler.
Le parfum des rencontres de basket-ball ne vous manque-t-il pas ?
Beaucoup mais il faut faire avec. Ça fait longtemps que je travaille. J’avais envie de souffler un peu. Sinon, on craque.
Que vous inspire la troisième participation des Eléphants basketteurs à un Mondial ?
C’est une très bonne chose. C’est même une fierté. Après nous, c’est la première qualification des Eléphants à une Coupe du monde. C’est aussi la preuve qu’ils sont revenus sur la scène internationale. Je ne peux que les encourager.
Croyez-vous aux chances des Eléphants à ce Mondial de basket-ball qui débute samedi en Turquie ?
Ce sera une compétition relevée. Il faudra faire avec. Il y aura de gros calibres comme les Etats-Unis. Nos garçons ont du talent. Ils peuvent aller loin.
En regardant attentivement l’effectif de douze joueurs, on s’aperçoit qu’il y a un seul joueur local (Konaté Stéphane-ABC). Est-ce un avantage ?
La Fédération a opté pour les professionnels. Konaté Stéphane mérite de figurer dans cette équipe. Nos joueurs sont doués. J’espère que cette option qui nous sourit jusque-là, nous permettra de réaliser un bon parcours.
Le Mondial de basket vous rappelle certainement des souvenirs…
Bien sûr. En 1982 en Espagne et en 1985 en Colombie. Ce sont des souvenirs… Nous avions rencontré des adversaires coriaces. C’était vraiment bien.
Y a-t-il quelque chose qui vous a marqué lors de ces deux Mondiaux ?
La fierté d’avoir été là-bas et d’avoir joué contre de grandes formations. Nous avons rencontré des joueurs de renommée.
Quels conseils pouvez-vous prodiguer à vos cadets qui disputent le match d’ouverture, samedi à Ankara, contre la Turquie ?
Qu’ils n’aient aucun complexe et qu’ils jouent leur basket-ball. Ce sera ouvert !
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo
Pourquoi êtes-vous loin des parquets ?
Je me suis donné une année sabbatique. Juste pour souffler.
Le parfum des rencontres de basket-ball ne vous manque-t-il pas ?
Beaucoup mais il faut faire avec. Ça fait longtemps que je travaille. J’avais envie de souffler un peu. Sinon, on craque.
Que vous inspire la troisième participation des Eléphants basketteurs à un Mondial ?
C’est une très bonne chose. C’est même une fierté. Après nous, c’est la première qualification des Eléphants à une Coupe du monde. C’est aussi la preuve qu’ils sont revenus sur la scène internationale. Je ne peux que les encourager.
Croyez-vous aux chances des Eléphants à ce Mondial de basket-ball qui débute samedi en Turquie ?
Ce sera une compétition relevée. Il faudra faire avec. Il y aura de gros calibres comme les Etats-Unis. Nos garçons ont du talent. Ils peuvent aller loin.
En regardant attentivement l’effectif de douze joueurs, on s’aperçoit qu’il y a un seul joueur local (Konaté Stéphane-ABC). Est-ce un avantage ?
La Fédération a opté pour les professionnels. Konaté Stéphane mérite de figurer dans cette équipe. Nos joueurs sont doués. J’espère que cette option qui nous sourit jusque-là, nous permettra de réaliser un bon parcours.
Le Mondial de basket vous rappelle certainement des souvenirs…
Bien sûr. En 1982 en Espagne et en 1985 en Colombie. Ce sont des souvenirs… Nous avions rencontré des adversaires coriaces. C’était vraiment bien.
Y a-t-il quelque chose qui vous a marqué lors de ces deux Mondiaux ?
La fierté d’avoir été là-bas et d’avoir joué contre de grandes formations. Nous avons rencontré des joueurs de renommée.
Quels conseils pouvez-vous prodiguer à vos cadets qui disputent le match d’ouverture, samedi à Ankara, contre la Turquie ?
Qu’ils n’aient aucun complexe et qu’ils jouent leur basket-ball. Ce sera ouvert !
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo