Après la première sortie ratée face au pays organisateurs la Turquie (86-47) samedi, en match d’ouverture, les Eléphants de Randoald Dessarzin n’ont pas réussi à relever la tête hier. Les Chinois les ont terrassés (83-73), après un match plein de rebondissement. Il n’y a pas eu de round d’observation dans ce match. Les Ivoiriens, qui n’avaient pas digéré leur première défaite en voulaient aux Chinois, qui ont dû puiser dans leur longue expérience des compétitions de haut niveau pour venir à bout d’Hervé Lamizana et de ses coéquipiers. Les Ivoiriens, très disciplinés en défense, ont longtemps gêné l’adversaire. Souleymane Diabaté (20 points) et Konaté Stéphane (11 points), insaisissables, dérangent le système chinois. Il a fallu attendre les dernières minutes de la fin du premier quart-temps pour voir les chinois retrouver leurs marques et coiffer au poteau les Ivoiriens (21-17). Dès cet instant, les hommes de l’Empire du milieu ne lâchent plus rien. Le 2e quart-temps est à l’avantage de Wang Shipeng et ses coéquipiers qui mènent à la pause (41- 33) Les Eléphants, diminués, subissent les 3e et dernier quart-temps, respectivement (51- 66) et (73- 83).
De 21 points contre le pays organisateur samedi, la bande à Dessarzin qui a perdu avec 10 points d’écart face à la Chine aura-t-elle les ressources nécessaires pour rebondir devant les Russes, demain?
Il reste encore trois bons matches dont un, jeudi prochain, à 16h 30 contre, la Grèce et le 2 septembre face au Porto-Rico (14h).
Le match de la troisième journée contre la Russie demain est capital.
P. Bagnini
Auteur de cet article: P. Bagnini
De 21 points contre le pays organisateur samedi, la bande à Dessarzin qui a perdu avec 10 points d’écart face à la Chine aura-t-elle les ressources nécessaires pour rebondir devant les Russes, demain?
Il reste encore trois bons matches dont un, jeudi prochain, à 16h 30 contre, la Grèce et le 2 septembre face au Porto-Rico (14h).
Le match de la troisième journée contre la Russie demain est capital.
P. Bagnini
Auteur de cet article: P. Bagnini