Le front pour les élections rapides en Côte d’Ivoire (FER-CI) est un mouvement issu de l’alliance entre le parti ivoirien des travailleurs de Francis Woodié, l’Union pour la Côte d’Ivoire de Gnamien Konan ainsi que le mouvement « Oble mon espoir » de Jacqueline Oble. Il s’est agit pour ces trois leaders de préciser qu’aucun report à la date du 31 octobre 2010 n’est négociable. La manifestation s’est déroulée, le samedi 28 août 2010 à la salle de conférence de la Caistab au Plateau.
Le Fer-ci est crée pour constituer une force d’envergure à la tenue des élections présidentielles, coordonner toutes les actions de l’alliance pour que les joutes électorales soient effectives. A en croire, le leader du parti Ivoirien des Travailleurs, cette association se définie comme le fer de lance de la remobilisation des ivoiriens. «Nous voulons annoncer, à la face de la nation notre volonté de fer d’aller aux élections. Nous ne devons plus accepter que les individus prennent en otage notre pays, que cela cesse. Cette fois-ci, s’ils s’amusent, nous allons croiser le fer avec eux », a déclaré l’ex ministre de l’enseignement et de la recherche scientifique. Selon lui, il appartient aux ivoiriens de demeurer vigilants et mobilisés car, c’est par ces élections que « nous allons jeter les bases d’une nouvelle Côte d’Ivoire qui sorte de l’impasse ». Quant au Colonel major Gnamien Konan, président de l’UPCI, il a soutenu que cette alliance se présente comme une alternative crédible face au RHPD et à la « dite » majorité présidentielle. Avant d’ironiser : « on nous dit qu’en 10 ans, il y a eu deux ans de gestion du pouvoir et huit ans de vacance de pouvoir. Il faut que quelqu’un s’occupe de ce problème ici et maintenant » et d’indiquer que « le FER-CI s’engage à réécrire l’histoire de la Côte d’Ivoire. Nous avons décidé de sortir de notre silence et d’agir si le 31 octobre, rien n’est fait. Cette fois-ci, il n’y aura rien ; il y aura quelque chose » s’est-il exprimé. Pour sa part la présidente du mouvement ‘’Oble Mon Espoir’’ a justifié que cette union consacre la détermination desdits candidats à aller aux élections. « Lorsqu’on est ensemble, on est plus fort. Nous nous sommes dits pour rendre notre voie plus crédible et plus audible, il est nécessaire de se réunir dans ce front ». En outre, elle a suggéré que cette page de la Côte d’Ivoire soit tournée de façon démocratique. « Nous devons aller aux élections à cette date et il faut qu’elle soit la dernière», a martelé la première femme candidate à l’élection présidentielle ivoirienne. Intervenant au nom de la jeunesse de l’UPCI, Ibrahim Sié a mis les jeunes en ordre de bataille. « Si les élections n’ont pas lieu, nous invitons toutes les forces vives de la Côte d’Ivoire à débrayer ; nous en appellerons à la désobéissance civile » a-t-averti
JMT
Le Fer-ci est crée pour constituer une force d’envergure à la tenue des élections présidentielles, coordonner toutes les actions de l’alliance pour que les joutes électorales soient effectives. A en croire, le leader du parti Ivoirien des Travailleurs, cette association se définie comme le fer de lance de la remobilisation des ivoiriens. «Nous voulons annoncer, à la face de la nation notre volonté de fer d’aller aux élections. Nous ne devons plus accepter que les individus prennent en otage notre pays, que cela cesse. Cette fois-ci, s’ils s’amusent, nous allons croiser le fer avec eux », a déclaré l’ex ministre de l’enseignement et de la recherche scientifique. Selon lui, il appartient aux ivoiriens de demeurer vigilants et mobilisés car, c’est par ces élections que « nous allons jeter les bases d’une nouvelle Côte d’Ivoire qui sorte de l’impasse ». Quant au Colonel major Gnamien Konan, président de l’UPCI, il a soutenu que cette alliance se présente comme une alternative crédible face au RHPD et à la « dite » majorité présidentielle. Avant d’ironiser : « on nous dit qu’en 10 ans, il y a eu deux ans de gestion du pouvoir et huit ans de vacance de pouvoir. Il faut que quelqu’un s’occupe de ce problème ici et maintenant » et d’indiquer que « le FER-CI s’engage à réécrire l’histoire de la Côte d’Ivoire. Nous avons décidé de sortir de notre silence et d’agir si le 31 octobre, rien n’est fait. Cette fois-ci, il n’y aura rien ; il y aura quelque chose » s’est-il exprimé. Pour sa part la présidente du mouvement ‘’Oble Mon Espoir’’ a justifié que cette union consacre la détermination desdits candidats à aller aux élections. « Lorsqu’on est ensemble, on est plus fort. Nous nous sommes dits pour rendre notre voie plus crédible et plus audible, il est nécessaire de se réunir dans ce front ». En outre, elle a suggéré que cette page de la Côte d’Ivoire soit tournée de façon démocratique. « Nous devons aller aux élections à cette date et il faut qu’elle soit la dernière», a martelé la première femme candidate à l’élection présidentielle ivoirienne. Intervenant au nom de la jeunesse de l’UPCI, Ibrahim Sié a mis les jeunes en ordre de bataille. « Si les élections n’ont pas lieu, nous invitons toutes les forces vives de la Côte d’Ivoire à débrayer ; nous en appellerons à la désobéissance civile » a-t-averti
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