Geneviève Bro Grébé, Directrice nationale de campagne du Président Laurent Gbagbo chargée des femmes a profité de l’investiture du mouvement des femmes patriotes pour la victoire du Président Laurent Gbagbo à Soubré pour animer un meeting à la place de l’indépendance.
D’entrée, elle dira : J’en suis très émue et je voudrais vous traduire toute ma reconnaissance. La Côte d’Ivoire traverse une crise, certes nous mettons entre guillemets la prise de conscience et les mensonges ne pourront plus se répéter. Le travail auquel vous vous êtes engagé est un travail de fourmi. Faites le, de porte à porte pour faire triompher largement à 85% le candidat Laurent Gbagbo. Nous avons un produit à vendre, mais pour vendre ce produit il faut bien le connaitre.
Nous avons des résultats palpables, nous ne promettons pas des milliards.
La première raison est que tout le monde le sait, c’est Gbagbo qui s’est battu pourqu’on ait le multipartisme en Côte d’Ivoire ? C’est grâce à lui qu’on parle aujourd’hui. Qui pouvait parler dans ce pays sous Houphouët ? On soupçonnait même sa propre femme d’être espionne de feu le président Houphouët. C’est Gbagbo qui a eu le courage de dire non à Houphouët. Il a demandé que les citoyens aient la liberté de dire ce qu’ils pensent de la gestion de leur pays. C’est pour ça des gens peuvent parler aujourd’hui sans courir le risque d’aller en prison.
Mais les choses n’ont pas été faciles. Vous savez qu’à un moment de sa vie, le président Gbagbo est allé en exil où il a passé 6 ans. Pendant ce temps, il dénonçait les tares du régime Houphouët à travers le monde en écrivant et en donnant des conférences. Et feu le Président Houphouët, Qui était fortement gêné, s’était dit qu’il fallait qu’il ramène Gbagbo au pays pour le neutraliser, il envoya donc un de ses fidèles compagnons en France rencontrer Gbagbo. Celui-ci avait proposé deux milliards. « Le président Houphouët m’envoie te remettre deux milliards. il dit de rentrer et il va te nommer ministre d’Etat.» Gbagbo refusa l’offre. Le combat que je mène est pour le peuple de Côte d’Ivoire qui souffre. Alors si je prends ces deux milliards, qu’est-ce que ce peuple pour le quel je me bats gagnera quoi ?
si Gbagbo avait pris cet argent son combat pour la démocratie et la libertés seraient mort dans l’œuf et il n’y aurait pas eu de multipartisme. Et ceux qui parlent aujourd’hui ne parleraient pas, dira Mme la ministre Geneviève Bro Grébé, directrice nationale de campagne, charger de la gestion des femmes.
Et de poursuivre la deuxième raison, vous savez que quand la guerre a éclaté dans la nuit du 18 au 19 septembre 2002, le président Gbagbo était en visite officielle en Italie. C’est à 4heures du matin qu’il a été informé de ce que son pays venait d’être attaqué. Dès 6 heures déjà, un émissaire du président Français d’abord, Jaques Chirac se trouvait devant la porte de sa chambre d’hôtel pour lui dire que Chirac était prêt à l’accueillir en attendant que la situation dans son pays. La aussi le président Gbagbo a refusé.
« On n’est pas élu pour avoir des honneurs seulement, mais aussi surtout pour défendre le peuple en cas de danger »
Aussitôt le président Gbagbo a décidé de rentrer immédiatement
Clément Deball
D’entrée, elle dira : J’en suis très émue et je voudrais vous traduire toute ma reconnaissance. La Côte d’Ivoire traverse une crise, certes nous mettons entre guillemets la prise de conscience et les mensonges ne pourront plus se répéter. Le travail auquel vous vous êtes engagé est un travail de fourmi. Faites le, de porte à porte pour faire triompher largement à 85% le candidat Laurent Gbagbo. Nous avons un produit à vendre, mais pour vendre ce produit il faut bien le connaitre.
Nous avons des résultats palpables, nous ne promettons pas des milliards.
La première raison est que tout le monde le sait, c’est Gbagbo qui s’est battu pourqu’on ait le multipartisme en Côte d’Ivoire ? C’est grâce à lui qu’on parle aujourd’hui. Qui pouvait parler dans ce pays sous Houphouët ? On soupçonnait même sa propre femme d’être espionne de feu le président Houphouët. C’est Gbagbo qui a eu le courage de dire non à Houphouët. Il a demandé que les citoyens aient la liberté de dire ce qu’ils pensent de la gestion de leur pays. C’est pour ça des gens peuvent parler aujourd’hui sans courir le risque d’aller en prison.
Mais les choses n’ont pas été faciles. Vous savez qu’à un moment de sa vie, le président Gbagbo est allé en exil où il a passé 6 ans. Pendant ce temps, il dénonçait les tares du régime Houphouët à travers le monde en écrivant et en donnant des conférences. Et feu le Président Houphouët, Qui était fortement gêné, s’était dit qu’il fallait qu’il ramène Gbagbo au pays pour le neutraliser, il envoya donc un de ses fidèles compagnons en France rencontrer Gbagbo. Celui-ci avait proposé deux milliards. « Le président Houphouët m’envoie te remettre deux milliards. il dit de rentrer et il va te nommer ministre d’Etat.» Gbagbo refusa l’offre. Le combat que je mène est pour le peuple de Côte d’Ivoire qui souffre. Alors si je prends ces deux milliards, qu’est-ce que ce peuple pour le quel je me bats gagnera quoi ?
si Gbagbo avait pris cet argent son combat pour la démocratie et la libertés seraient mort dans l’œuf et il n’y aurait pas eu de multipartisme. Et ceux qui parlent aujourd’hui ne parleraient pas, dira Mme la ministre Geneviève Bro Grébé, directrice nationale de campagne, charger de la gestion des femmes.
Et de poursuivre la deuxième raison, vous savez que quand la guerre a éclaté dans la nuit du 18 au 19 septembre 2002, le président Gbagbo était en visite officielle en Italie. C’est à 4heures du matin qu’il a été informé de ce que son pays venait d’être attaqué. Dès 6 heures déjà, un émissaire du président Français d’abord, Jaques Chirac se trouvait devant la porte de sa chambre d’hôtel pour lui dire que Chirac était prêt à l’accueillir en attendant que la situation dans son pays. La aussi le président Gbagbo a refusé.
« On n’est pas élu pour avoir des honneurs seulement, mais aussi surtout pour défendre le peuple en cas de danger »
Aussitôt le président Gbagbo a décidé de rentrer immédiatement
Clément Deball