Le portier de l’Asec et des Eléphants revient de loin. De très loin. Indexé après l’élimination des Eléphants de la CAN 2004, après un « petit » match et une défaite (2-1) contre l’Afrique du Sud à Polokwané, il avait disparu des radars de la sélection. Mais depuis la venue de Zahoui François, il est de retour.
Peut-on affirmer que c’est votre grand retour en sélection ?
C’est important de retrouver la sélection. Personnellement, je suis satisfait. Comme j’ai l’habitude de le dire, je suis là pour servir mon pays.
Avez-vous été surpris par votre titularisation, samedi, devant le Rwanda ?
(Hésitations) On ne peut pas parler de surprise car c’est le travail qui a payé. Le sélectionneur a toujours dit que la porte n’était fermée à personne et que tout était possible. Un discours qui m’a plu et qui m’a motivé. Non, je n’ai pas été surpris.
Visiblement, vous avez la confiance de Zahoui François…
C’est le travail ! Lorsque tu bosses bien aux entraînements, n’importe quel entraîneur te fait confiance. C’est mon cas. Zahoui François a besoin de victoires. Il a besoin de joueurs déterminés sur le terrain. C’est encore une fois le travail qui détermine tout.
Que retenez-vous de votre victoire obtenue devant le Rwanda ?
Tout le monde peut penser que ç’a a été facile. Mais c’est une fausse observation. Il fallait rester concentrés. Nous avons su gérer et assurer l’essentiel. Je pense que c’est le plus important.
Cela faisait un moment qu’on ne vous voyait plus en sélection. Avez-vous souffert moralement ?
Oui. Il fallait bosser dur pour revenir à mon meilleur niveau. Il n’y a rien de plus beau que de servir son pays. C’est le grand retour. Je reviens terminer ce que j’avais commencé.
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo
Peut-on affirmer que c’est votre grand retour en sélection ?
C’est important de retrouver la sélection. Personnellement, je suis satisfait. Comme j’ai l’habitude de le dire, je suis là pour servir mon pays.
Avez-vous été surpris par votre titularisation, samedi, devant le Rwanda ?
(Hésitations) On ne peut pas parler de surprise car c’est le travail qui a payé. Le sélectionneur a toujours dit que la porte n’était fermée à personne et que tout était possible. Un discours qui m’a plu et qui m’a motivé. Non, je n’ai pas été surpris.
Visiblement, vous avez la confiance de Zahoui François…
C’est le travail ! Lorsque tu bosses bien aux entraînements, n’importe quel entraîneur te fait confiance. C’est mon cas. Zahoui François a besoin de victoires. Il a besoin de joueurs déterminés sur le terrain. C’est encore une fois le travail qui détermine tout.
Que retenez-vous de votre victoire obtenue devant le Rwanda ?
Tout le monde peut penser que ç’a a été facile. Mais c’est une fausse observation. Il fallait rester concentrés. Nous avons su gérer et assurer l’essentiel. Je pense que c’est le plus important.
Cela faisait un moment qu’on ne vous voyait plus en sélection. Avez-vous souffert moralement ?
Oui. Il fallait bosser dur pour revenir à mon meilleur niveau. Il n’y a rien de plus beau que de servir son pays. C’est le grand retour. Je reviens terminer ce que j’avais commencé.
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo
