Starafrica.com - « Selon l’article 1, alinéa 7 de l’annexe 1 du Règlement du Statut du Joueur, le juge Unique a conclu que ce retour tardif ne saurait être imputable à la Fédération Ivoirienne de Football dès lors qu’il a été provoqué par un cas de force majeure. » Ainsi a été rendu public le verdict de la FIFA dans l’affaire Baky qui opposait l’Olympique de Marseille à la Fédération ivoirienne de Football (FIF).
En effet, Bakary Koné, alors sociétaire de l’Om, a accusé du retard avant de rejoindre son club après la Can 2010. Les dirigeants phocéens ont mal apprécié ce retard et réclamé un dédommagement de la part de la FIF. Face au refus de non recevoir des dirigeants du football ivoirien, l’affaire a été portée devant l’instance internationale du football. Qui au final a débouté le club phare de la cannebière. Jugeant le retard du joueur indépendant de la FIF.
Pour fait, sorti des ¼ de finales de la Can 2010 par les fennecs d’Algérie, les éléphants de Côte d’Ivoire ont dû patienter 24 heures de plus avant de regagner Abidjan. Et ce, du fait d’une panne qu’a connue l’avion. Conscients des exigences du football professionnel, les dirigeants de la FIF ont pris le soin d’informer les différents clubs des internationaux ivoiriens de ce désagrément. En dépit de tout, l’Om a pris cela comme un tort et demandé réparation. Avec cette décision de la FIFA, on peut dire que la FIF s’en sort plutôt bien.
En effet, Bakary Koné, alors sociétaire de l’Om, a accusé du retard avant de rejoindre son club après la Can 2010. Les dirigeants phocéens ont mal apprécié ce retard et réclamé un dédommagement de la part de la FIF. Face au refus de non recevoir des dirigeants du football ivoirien, l’affaire a été portée devant l’instance internationale du football. Qui au final a débouté le club phare de la cannebière. Jugeant le retard du joueur indépendant de la FIF.
Pour fait, sorti des ¼ de finales de la Can 2010 par les fennecs d’Algérie, les éléphants de Côte d’Ivoire ont dû patienter 24 heures de plus avant de regagner Abidjan. Et ce, du fait d’une panne qu’a connue l’avion. Conscients des exigences du football professionnel, les dirigeants de la FIF ont pris le soin d’informer les différents clubs des internationaux ivoiriens de ce désagrément. En dépit de tout, l’Om a pris cela comme un tort et demandé réparation. Avec cette décision de la FIFA, on peut dire que la FIF s’en sort plutôt bien.
