Le président de l’Association sportive de l’Indénié d’Abengourou, Yao Koffi Roger s’est confié à « L’Intelligent d’Abidjan » après la montée de son équipe en ligue 1 au terme du championnat national de deuxième division (ligue2). Dans cet entretien, il parle des perspectives de son club.
Avec la montée en ligue 1, l’on peut parler d’un pari gagné ?
C’est un pari gagné, parce que comme je l’ai toujours dit, on ne va jamais à la guerre pour perdre. Donc, moi en prenant les reines de l’ASI, c’était l’objectif que je me suis fixé. Dieu merci, l’objectif est atteint. Nous sommes en ligue 1. Je suis donc comblé, parce que cela fait 11 ans que l’ASI se trouve au purgatoire et luttait pour revenir au premier plan.
Le plus dur reste à venir, à savoir, le maintien en ligue 1. A cet effet, aviez-vous déjà un plan ?
Je crois que c’est un autre défi. On ne vient pas en ligue 1 pour se maintenir seulement. Nous partons pour jouer. Nous allons étudier les adversaires. C’est vrai que nous venons d’arriver, mais on verra ce qu’on peut faire.
Un an passé à la tête du club et vous décrochez le ticket pour la ligue 1, quel a été votre secret ?
Il n’y a pas de secret. C’est le travail et la confiance aux hommes. Je crois que lorsqu’il y a la confiance entre les dirigeants, tout marche. Donc c’est l’effort de tout un chacun. C’est vrai qu’on parle d’argent. Mais d’abord c’est parce qu’il y a la cohésion, c’est parce que nous nous entendons et travaillons la main dans la main.
Il y a eu quand même des difficultés…
Quand vous parlez de difficultés, ce sont les difficultés financières. Mais comme je l’ai dit, si vous avez une équipe et que vous vous entendez, ça peut aller, et c’est le message que nous avons fait passer. Les enfants ont compris.
Les cadres d’Abengourou vous viennent-ils en aide ?
A cette question, je vous l’ai toujours dit, souffrez que je n’en dise rien parce que c’est une question piège, c’est une question politique. Donc pour moi, je pense que si les fils et cadres d’ici se sentent dans l’ASI, ils viendront.
Réalisé par Ernest Famin, correspondant régional
Avec la montée en ligue 1, l’on peut parler d’un pari gagné ?
C’est un pari gagné, parce que comme je l’ai toujours dit, on ne va jamais à la guerre pour perdre. Donc, moi en prenant les reines de l’ASI, c’était l’objectif que je me suis fixé. Dieu merci, l’objectif est atteint. Nous sommes en ligue 1. Je suis donc comblé, parce que cela fait 11 ans que l’ASI se trouve au purgatoire et luttait pour revenir au premier plan.
Le plus dur reste à venir, à savoir, le maintien en ligue 1. A cet effet, aviez-vous déjà un plan ?
Je crois que c’est un autre défi. On ne vient pas en ligue 1 pour se maintenir seulement. Nous partons pour jouer. Nous allons étudier les adversaires. C’est vrai que nous venons d’arriver, mais on verra ce qu’on peut faire.
Un an passé à la tête du club et vous décrochez le ticket pour la ligue 1, quel a été votre secret ?
Il n’y a pas de secret. C’est le travail et la confiance aux hommes. Je crois que lorsqu’il y a la confiance entre les dirigeants, tout marche. Donc c’est l’effort de tout un chacun. C’est vrai qu’on parle d’argent. Mais d’abord c’est parce qu’il y a la cohésion, c’est parce que nous nous entendons et travaillons la main dans la main.
Il y a eu quand même des difficultés…
Quand vous parlez de difficultés, ce sont les difficultés financières. Mais comme je l’ai dit, si vous avez une équipe et que vous vous entendez, ça peut aller, et c’est le message que nous avons fait passer. Les enfants ont compris.
Les cadres d’Abengourou vous viennent-ils en aide ?
A cette question, je vous l’ai toujours dit, souffrez que je n’en dise rien parce que c’est une question piège, c’est une question politique. Donc pour moi, je pense que si les fils et cadres d’ici se sentent dans l’ASI, ils viendront.
Réalisé par Ernest Famin, correspondant régional
