A partir de ce samedi 25 septembre, le Président Laurent Gbagbo, candidat à sa propre succession lors du scrutin présidentiel du dimanche 31 octobre 2010 effectue une tournée politique dans la région du Zanzan, Est de la Côte d’Ivoire. Dans cet entretien, N’Guettia Yao Kouman, cadre de la région, expert de La Majorité présidentielle (LMP) et conseiller technique du directeur national de campagne (DNC) du candidat Gbagbo, le docteur Issa Malick Coulibaly, parle de la mobilisation des populations. Notre Voie : Le chef de l’Etat Laurent Gbagbo effectue une tournée politique dans la région du Zanzan, à partir d’aujourd’hui. Quel sens revêt, pour vous, cette visite ? N’Guettia Yao Kouman : C’est un sentiment de joie et de fierté immense que nous ressentons par le fait que le Président Gbagbo ait choisi le Zanzan pour lancer sa précampagne électorale. Cela prouve la haute estime que le Président de la République éprouve pour notre région. Toutes les populations sont donc mobilisées depuis longtemps pour que cette tournée du chef de l’Etat soit une réussite totale. Cette visite est aussi pour nous un défi à relever au vu de l’engouement qu’elle suscite.
N.V : Quelles sont les dispositions pratiques que vous avez prises pour relever ce défi ?
N.Y.K : Nous avons mis en branle tous les mouvements de soutien locaux au Président Gbagbo ainsi que toutes les associations. Il faut dire qu’il existe de nombreuses associations dans le Zanzan. Les partis politiques de la majorité présidentielle (LMP), les cadres, les jeunes et les femmes sont également à pied d’œuvre depuis plus d’un mois et fin prêts afin que la tournée du Président Gbagbo soit un succès. Le Zanzan est prêt pour le candidat Laurent Gbagbo.
N.V : Qu’ont-ils fait exactement ?
N.Y.K : Chaque parti politique a mobilisé ses militants. C’est pareil pour les différentes associations et les mouvements de soutien aux actions du Président de la République. Tout le monde fait son travail.
N.V : Ce travail s’effectue-t-il dans un bel esprit, loin des rivalités et autres problèmes de leadership ?
N.Y.K : C’est une cohésion totale entre les cadres, les fils et les filles du Zanzan pour cette tournée du chef de l’Etat. L’élection présidentielle du 31 octobre prochain est capitale pour la Côte d’Ivoire parce qu’elle va permettre de libérer totalement le pays, lui donner sa vraie indépendance. Le Zanzan ne veut donc pas être en marge de ce changement pour la Côte d’Ivoire. D’où sa mobilisation pour le Président Gbagbo qui incarne cette nouvelle Côte d’Ivoire, cette nouvelle Afrique.
N.V : Qu’est-ce que les populations du Zanzan attendent véritablement de cette visite du Président Gbagbo ?
N.Y.K : Les populations du Zanzan ont déjà beaucoup obtenu du Président Laurent Gbagbo. De 1960 à 2000, soit en 40 ans, les dirigeants qui étaient au pouvoir ont électrifié 65 villages sur les 1093 villages que compte le Zanzan. Malgré la guerre que son régime a connue, le Président Gbagbo a électrifié 75 villages de notre région de 2000 à 2010. Avant l’an 2000, nous avions 3 départements. Aujourd’hui, nous sommes à 9 départements. Soit 6 de plus grâce au Président Gbagbo. Avec l’aide des Conseils généraux qu’il a installés conformément à sa politique de décentralisation, nos routes sont progressivement entretenues. C’est vrai qu’on n’a pas assez de financements mais cela viendra. Les populations connaissent la capacité du Président Gbagbo ainsi que son programme en faveur du bien-être des Ivoiriens. Elles veulent lui rendre hommage pour tous ses bienfaits en faveur du Zanzan. Le 18 septembre dernier, par exemple, nous avons remis aux populations de la sous-préfecture de Laoudi Ba, dans le département de Bondoukou, l’ambulance que le Président Gbagbo leur a offerte. Comme on le voit, il n’est pas comme les autres candidats qui font des promesses de milliards par-ci, par-là, sans que cela soit écrit nulle part. Gbagbo a un pacte écrit avec les populations. Les populations du Zanzan souhaitent ardemment qu’il soit réélu au premier tour de la présidentielle et vont contribuer activement à cela. Nous pensons que dans le Zanzan, on est parti pour plébisciter le Président Gbagbo au soir du 31 octobre. Puisqu’aujour-d’hui, les zones qui nous étaient hostiles avant 2000, nous sommes favorables. Entretien réalisé par Didier Depry ddepry@hotmail.com
N.V : Quelles sont les dispositions pratiques que vous avez prises pour relever ce défi ?
N.Y.K : Nous avons mis en branle tous les mouvements de soutien locaux au Président Gbagbo ainsi que toutes les associations. Il faut dire qu’il existe de nombreuses associations dans le Zanzan. Les partis politiques de la majorité présidentielle (LMP), les cadres, les jeunes et les femmes sont également à pied d’œuvre depuis plus d’un mois et fin prêts afin que la tournée du Président Gbagbo soit un succès. Le Zanzan est prêt pour le candidat Laurent Gbagbo.
N.V : Qu’ont-ils fait exactement ?
N.Y.K : Chaque parti politique a mobilisé ses militants. C’est pareil pour les différentes associations et les mouvements de soutien aux actions du Président de la République. Tout le monde fait son travail.
N.V : Ce travail s’effectue-t-il dans un bel esprit, loin des rivalités et autres problèmes de leadership ?
N.Y.K : C’est une cohésion totale entre les cadres, les fils et les filles du Zanzan pour cette tournée du chef de l’Etat. L’élection présidentielle du 31 octobre prochain est capitale pour la Côte d’Ivoire parce qu’elle va permettre de libérer totalement le pays, lui donner sa vraie indépendance. Le Zanzan ne veut donc pas être en marge de ce changement pour la Côte d’Ivoire. D’où sa mobilisation pour le Président Gbagbo qui incarne cette nouvelle Côte d’Ivoire, cette nouvelle Afrique.
N.V : Qu’est-ce que les populations du Zanzan attendent véritablement de cette visite du Président Gbagbo ?
N.Y.K : Les populations du Zanzan ont déjà beaucoup obtenu du Président Laurent Gbagbo. De 1960 à 2000, soit en 40 ans, les dirigeants qui étaient au pouvoir ont électrifié 65 villages sur les 1093 villages que compte le Zanzan. Malgré la guerre que son régime a connue, le Président Gbagbo a électrifié 75 villages de notre région de 2000 à 2010. Avant l’an 2000, nous avions 3 départements. Aujourd’hui, nous sommes à 9 départements. Soit 6 de plus grâce au Président Gbagbo. Avec l’aide des Conseils généraux qu’il a installés conformément à sa politique de décentralisation, nos routes sont progressivement entretenues. C’est vrai qu’on n’a pas assez de financements mais cela viendra. Les populations connaissent la capacité du Président Gbagbo ainsi que son programme en faveur du bien-être des Ivoiriens. Elles veulent lui rendre hommage pour tous ses bienfaits en faveur du Zanzan. Le 18 septembre dernier, par exemple, nous avons remis aux populations de la sous-préfecture de Laoudi Ba, dans le département de Bondoukou, l’ambulance que le Président Gbagbo leur a offerte. Comme on le voit, il n’est pas comme les autres candidats qui font des promesses de milliards par-ci, par-là, sans que cela soit écrit nulle part. Gbagbo a un pacte écrit avec les populations. Les populations du Zanzan souhaitent ardemment qu’il soit réélu au premier tour de la présidentielle et vont contribuer activement à cela. Nous pensons que dans le Zanzan, on est parti pour plébisciter le Président Gbagbo au soir du 31 octobre. Puisqu’aujour-d’hui, les zones qui nous étaient hostiles avant 2000, nous sommes favorables. Entretien réalisé par Didier Depry ddepry@hotmail.com