Le candidat du Rdr à l’élection présidentielle est financièrement à bout de souffle. Alassane Ouattara fait des pieds et mains pour trouver des financements. Le week-end dernier à Aboisso, il a pété les plombs.
C’est une information de première main : Alassane Ouattara le candidat du Rdr est confronté à des soucis financiers pour faire face à ces obligations de campagnes électorales. Le président du parti républicain ferait face à une grogne d'une grande partie de ses lieutenants. Ces derniers lui auraient demandé de faire le point de la subvention que l'Etat de Côte d'Ivoire met à la disposition des partis politiques pour que ceux-ci mènent leurs activités comme il se doit. Mais aux dernières nouvelles, cet argent aurait disparu. Le ''mentor'' l'aurait utilisé pour son propre compte. Il aurait prétexté, au cours d'une réunion secrète, avoir abusé de cette manne pour régler des dettes personnelles. Cette subvention de l'Etat s'évalue à huit cent soixante dix millions de Fcfa (870000000 Fcfa) pour ce qui revient aux partis politiques les plus représentatifs sur l'ensemble du territoire national. Elle (subvention) découle de la volonté du président de la République, Sem. Laurent Gbagbo grand démocrate, de donner suffisamment de moyens de fonctionnement aux formations politiques afin qu'elles exercent leurs activités. C'est cet argent que Alassane Ouattara, le président du Rdr a subtilisé à ses propres fins, sans en informer ses camarades du parti. Ce qui, en cette période de campagne présidentielle très budgétivores, susciteraient gènes et mécontentements au Rdr. Les moyens s'amenuisant, le président du Rdr se contente désormais des agences conseils locales dont Woodoo Communication pour sa communication de campagne présidentielle. Lui dont on dit très introduit dans le milieu de la communication politique en occident. Mais il n'y a pas que "les camarades du parti" qui se sentent outragés. Ouattara lui-même conscient de sa "forfaiture", est dans une posture embarrassante face au manque de moyens financiers pour booster sa campagne présidentielle.
Cette information que nous détenions en exclusivité a été confirmée - pour ceux qui savent lire entre les lignes-, à l'occasion du meeting du candidat du Rdr lui-même, à Aboisso. Le confrère le Patriote rapportant hier, les faits, n'a fait qu'enfoncer une porte déjà ouverte en titrant à sa une : Ado dans le sud-comoé à Gbagbo : ''Fais campagne avec le budget de l'Etat … Je te battrai''. L'article à l'intérieur du journal décrit mieux l'état d'esprit de celui qui se fait pourtant appeler "wari fatchê" (ndlr, le père de l'argent). "Il y a des gens qui se promènent. Même s'ils prennent tout le budget de la Côte d'Ivoire, nous gagnerons les élections", pleurniche le candidat du Rdr devant un public médusé et qui tombe des nus. Visiblement, Alassane Ouattara, le banquier, l'ancien Gouverneur de la Bceao, ancien Dga du Fmi, introduit dans les arcanes de la haute finance international et l'ami des grands patrons dont Michel Camdessus l'ancien président du Fonds monétaire international (ouf, excusez du peu) est financièrement essoufflé. Lui qui, au cours de ses tournées politiques avait promis des centaines de milliards par région (le pays en compte 19) pour dit-il, relancer le développement économique avec ses relations à travers le monde, a du mal à battre campagne. A cette allure, il y a lieu de craindre le pire, c'est-à-dire : le pillage systématique des entreprises d'Etat par des cadres de son parti. Car, il n'y a pas longtemps dans ces mêmes colonnes, Le Temps votre journal préféré toujours au cœur des investigations, mettait sur la place publique, le racket de tous les cadres Rdr nommés à des postes de responsabilité. L'information est que ces derniers sont sommés de cotiser deux cent millions (200000000 Fcfa) par mois, pour les Directeurs généraux et un peu plus de cinq millions (5000000 Fcfa) pour les ministres. Une extorsion de fonds qui ne dit pas son nom qui avait en son temps révolté l'ancien ministre de la Construction et de l'Urbanisme Marcel Amon Tanoh qui s'était élevé contre cette mesure mafieuse qui consiste à piller les caisses de l'Etat au profit d'un seul homme. Vendredi 1er octobre, une source très crédible révélait que Ibrahim Ouattara, le frère cadet du président du Rdr, appelé aussi ''Photocopie'' pour sa ressemblance avec son aîné Alassane, se faisait virer sur un compte personnel la somme de deux cent millions de Fcfa (200000000), depuis les caisses du ministère des Nouvelles technologies de l'information et de la communication (Ntic). Or, il se trouve qu'Ibrahim Ouattara ne fait pas partie du personnel de ce ministère et aucune facture de prestation de service n'a jusqu'ici été prouvée pour justifier cette sortie de caisse. Cette somme d'argent, on l'imagine aisément ira directement alimenter les caisses de la campagne présidentielle du candidat du Rdr. Comme on le constate, avec Alassane Ouattara, il n'y a pas de limite entre caisses de l'Etat et sa poche. Quel va être le sort des ressources financières de ce pays qu'il convoite depuis 20 ans, si par un quelconque concours de circonstance, un tel candidat accédait au fauteuil présidentiel ? Grave question à laquelle les Ivoiriens sont appelés à donner une réponse claire et définitive le 31 octobre 2010.
Simplice Allard
al08062317@yahoo.fr
C’est une information de première main : Alassane Ouattara le candidat du Rdr est confronté à des soucis financiers pour faire face à ces obligations de campagnes électorales. Le président du parti républicain ferait face à une grogne d'une grande partie de ses lieutenants. Ces derniers lui auraient demandé de faire le point de la subvention que l'Etat de Côte d'Ivoire met à la disposition des partis politiques pour que ceux-ci mènent leurs activités comme il se doit. Mais aux dernières nouvelles, cet argent aurait disparu. Le ''mentor'' l'aurait utilisé pour son propre compte. Il aurait prétexté, au cours d'une réunion secrète, avoir abusé de cette manne pour régler des dettes personnelles. Cette subvention de l'Etat s'évalue à huit cent soixante dix millions de Fcfa (870000000 Fcfa) pour ce qui revient aux partis politiques les plus représentatifs sur l'ensemble du territoire national. Elle (subvention) découle de la volonté du président de la République, Sem. Laurent Gbagbo grand démocrate, de donner suffisamment de moyens de fonctionnement aux formations politiques afin qu'elles exercent leurs activités. C'est cet argent que Alassane Ouattara, le président du Rdr a subtilisé à ses propres fins, sans en informer ses camarades du parti. Ce qui, en cette période de campagne présidentielle très budgétivores, susciteraient gènes et mécontentements au Rdr. Les moyens s'amenuisant, le président du Rdr se contente désormais des agences conseils locales dont Woodoo Communication pour sa communication de campagne présidentielle. Lui dont on dit très introduit dans le milieu de la communication politique en occident. Mais il n'y a pas que "les camarades du parti" qui se sentent outragés. Ouattara lui-même conscient de sa "forfaiture", est dans une posture embarrassante face au manque de moyens financiers pour booster sa campagne présidentielle.
Cette information que nous détenions en exclusivité a été confirmée - pour ceux qui savent lire entre les lignes-, à l'occasion du meeting du candidat du Rdr lui-même, à Aboisso. Le confrère le Patriote rapportant hier, les faits, n'a fait qu'enfoncer une porte déjà ouverte en titrant à sa une : Ado dans le sud-comoé à Gbagbo : ''Fais campagne avec le budget de l'Etat … Je te battrai''. L'article à l'intérieur du journal décrit mieux l'état d'esprit de celui qui se fait pourtant appeler "wari fatchê" (ndlr, le père de l'argent). "Il y a des gens qui se promènent. Même s'ils prennent tout le budget de la Côte d'Ivoire, nous gagnerons les élections", pleurniche le candidat du Rdr devant un public médusé et qui tombe des nus. Visiblement, Alassane Ouattara, le banquier, l'ancien Gouverneur de la Bceao, ancien Dga du Fmi, introduit dans les arcanes de la haute finance international et l'ami des grands patrons dont Michel Camdessus l'ancien président du Fonds monétaire international (ouf, excusez du peu) est financièrement essoufflé. Lui qui, au cours de ses tournées politiques avait promis des centaines de milliards par région (le pays en compte 19) pour dit-il, relancer le développement économique avec ses relations à travers le monde, a du mal à battre campagne. A cette allure, il y a lieu de craindre le pire, c'est-à-dire : le pillage systématique des entreprises d'Etat par des cadres de son parti. Car, il n'y a pas longtemps dans ces mêmes colonnes, Le Temps votre journal préféré toujours au cœur des investigations, mettait sur la place publique, le racket de tous les cadres Rdr nommés à des postes de responsabilité. L'information est que ces derniers sont sommés de cotiser deux cent millions (200000000 Fcfa) par mois, pour les Directeurs généraux et un peu plus de cinq millions (5000000 Fcfa) pour les ministres. Une extorsion de fonds qui ne dit pas son nom qui avait en son temps révolté l'ancien ministre de la Construction et de l'Urbanisme Marcel Amon Tanoh qui s'était élevé contre cette mesure mafieuse qui consiste à piller les caisses de l'Etat au profit d'un seul homme. Vendredi 1er octobre, une source très crédible révélait que Ibrahim Ouattara, le frère cadet du président du Rdr, appelé aussi ''Photocopie'' pour sa ressemblance avec son aîné Alassane, se faisait virer sur un compte personnel la somme de deux cent millions de Fcfa (200000000), depuis les caisses du ministère des Nouvelles technologies de l'information et de la communication (Ntic). Or, il se trouve qu'Ibrahim Ouattara ne fait pas partie du personnel de ce ministère et aucune facture de prestation de service n'a jusqu'ici été prouvée pour justifier cette sortie de caisse. Cette somme d'argent, on l'imagine aisément ira directement alimenter les caisses de la campagne présidentielle du candidat du Rdr. Comme on le constate, avec Alassane Ouattara, il n'y a pas de limite entre caisses de l'Etat et sa poche. Quel va être le sort des ressources financières de ce pays qu'il convoite depuis 20 ans, si par un quelconque concours de circonstance, un tel candidat accédait au fauteuil présidentiel ? Grave question à laquelle les Ivoiriens sont appelés à donner une réponse claire et définitive le 31 octobre 2010.
Simplice Allard
al08062317@yahoo.fr