Kambou Tilka est député et nouveau délégué départemental de Bouna, pour le compte du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci). Interrogé, mercredi, à la faveur de la 2ème session ordinaire de l’Assemblée nationale, il entend remobiliser les troupes après la fracture causée en leur sein par la suspension de son prédécesseur, Palé Dimaté.
Comment expliquez-vous la division du Pdci à Bouna, aujourd’hui?
Je ne peux pas justifier ce qui est arrivé à Bouna, puisque je n’y étais pas. Mais vous savez, quand on est militant d’un parti on y reste. On ne change pas de parti politique du jour au lendemain. Des faits se sont passés à Bouna, mais le Pdci est une famille. Il nous appartient, nous militants du Pdci, de nous retrouver. Ainsi, nous saurons d’où vient le mal et comment l’annihiler. Je ne pense donc pas que ce qui est arrivé (la suspension du député Palé Dimaté, ex-délégué départemental, Ndlr) puisse diviser les populations de Bouna, surtout les militants du Pdci.
Quelles sont vos dispositions pour réconcilier les uns et les autres?
Je me rends très bientôt sur le terrain. Je compte rencontrer tous les militants, en particulier les secrétaires de sections. Ensemble, nous allons tirer des conclusions et décider du travail à engager pour la bonne marche du Pdci-Rda à Bouna.
Quelles sont vos priorités ?
C’est d’abord remobiliser les troupes. Parce que, qu’on le veuille ou non, il y a eu des remous avec le départ d’un délégué départemental comme Palé Dimaté. Nous allons donc mettre l’accent sur les élections à venir.
Que représente le Pdci à Bouna?
Sans exagérer, le Pdci-Rda, c’est près de 80 % de Bouna. Tant en postes électifs qu’en nombre de militants. Nous l’avons prouvé aux élections législatives et aux conseils généraux. Même à la mairie, le Pdci avait deux candidats.
Palé Dimaté est suspendu pour allégeance à l’adversaire. Votre commentaire.
Jusqu’à preuve du contraire Palé ne m’a pas dit qu’il a fait allégeance à un candidat que ce soit. Mais en tant que premier responsable d’un parti, il y a certains propos qui sont très dangereux.
Entretien réalisé par Bidi Ignace
Comment expliquez-vous la division du Pdci à Bouna, aujourd’hui?
Je ne peux pas justifier ce qui est arrivé à Bouna, puisque je n’y étais pas. Mais vous savez, quand on est militant d’un parti on y reste. On ne change pas de parti politique du jour au lendemain. Des faits se sont passés à Bouna, mais le Pdci est une famille. Il nous appartient, nous militants du Pdci, de nous retrouver. Ainsi, nous saurons d’où vient le mal et comment l’annihiler. Je ne pense donc pas que ce qui est arrivé (la suspension du député Palé Dimaté, ex-délégué départemental, Ndlr) puisse diviser les populations de Bouna, surtout les militants du Pdci.
Quelles sont vos dispositions pour réconcilier les uns et les autres?
Je me rends très bientôt sur le terrain. Je compte rencontrer tous les militants, en particulier les secrétaires de sections. Ensemble, nous allons tirer des conclusions et décider du travail à engager pour la bonne marche du Pdci-Rda à Bouna.
Quelles sont vos priorités ?
C’est d’abord remobiliser les troupes. Parce que, qu’on le veuille ou non, il y a eu des remous avec le départ d’un délégué départemental comme Palé Dimaté. Nous allons donc mettre l’accent sur les élections à venir.
Que représente le Pdci à Bouna?
Sans exagérer, le Pdci-Rda, c’est près de 80 % de Bouna. Tant en postes électifs qu’en nombre de militants. Nous l’avons prouvé aux élections législatives et aux conseils généraux. Même à la mairie, le Pdci avait deux candidats.
Palé Dimaté est suspendu pour allégeance à l’adversaire. Votre commentaire.
Jusqu’à preuve du contraire Palé ne m’a pas dit qu’il a fait allégeance à un candidat que ce soit. Mais en tant que premier responsable d’un parti, il y a certains propos qui sont très dangereux.
Entretien réalisé par Bidi Ignace
