A quelques heures du duel Hirondelles-Eléphants à Bujumbura, Zokora Didier affirme que jouer sur la pelouse synthétique du Stade Prince Louis Rwagasore fait les affaires des siens.
Quel est votre état d’esprit pour ce deuxième regroupement sous l’ère Zahoui François ?
Je suis ambitieux et je suis un gagneur. En ce moment, il y a un groupe qui est en train de se construire autour du coach Zahoui et c’est important. Les deux années à venir sont une aubaine parce que nous avons-là l’opportunité de disputer deux CAN si nous arrivons à nous qualifier. C’est un challenge pour la sélection ivoirienne qui renferme un bon nombre de joueurs qui sont arrivés à maturité. C’est vrai que face à la Côte d’Ivoire, le Burundi va jouer son va-tout et j’ai encore en mémoire notre dernière opposition en 2003 où nous avons gagné sur le fil par un but à zéro. Mais avec la culture de la gagne que le coach imprime au groupe, mes coéquipiers et moi allons à Bujumbura pour prendre les trois points.
Au-delà du discours sur la gagne que vous tient le coach, qu’est-ce qui vous motive pour arracher une victoire au Burundi, aujourd’hui ?
L’habitude des compétitions nous prouve qu’il faut engranger des victoires à l’extérieur pour se qualifier à des tournois de niveau continental ou mondial. Dans le groupe H des éliminatoires de la CAN 2012, la Côte d’Ivoire est en tête avec trois points quand le Burundi et le Bénin, nos poursuivants directs, ont chacun un point et le Rwanda, zéro. Voici l’état des lieux avant la deuxième journée. Par conséquent, une victoire face au Burundi nous donnerait une avance sérieuse. Et le match se jouant sur une pelouse synthétique, cela pourrait nous être favorable grâce à de notre jeu qui s’adapte à des pelouses quasi parfaites.
Comment vous sentez-vous dans vos habits de nouveau capitaine des Eléphants ?
C’est un honneur pour moi de porter le brassard de capitaine de l’équipe nationale de Côte d’Ivoire qui est l’une des meilleures en Afrique. Je pense aussi que c’est une récompense parce que cette équipe est composée de joueurs talentueux. Et même si je suis le joueur le plus capé de la sélection, c’est également une charge. Mais je mettrai un point d’honneur à mériter cette confiance placée en moi et j’espère pouvoir contribuer à hisser le drapeau ivoirien toujours plus haut.
En tant que cadre de l’équipe, quel regard posez-vous sur l’arrivée des jeunes joueurs en sélection ?
J’ai du plaisir. Et puis, le terme « sélection » qui sous-entend la concurrence, permet aux anciens de ne pas dormir sur leurs lauriers et de se remettre en cause. Je ne suis pas surpris de la montée des plus jeunes. Je me souviens de mes toutes premières sélections où je m’amusais à chambrer Kouassi Blaise et Domoraud Cyrille. Aujourd’hui, je me retrouve dans la même situation. Ah comme les années passent ! Et je continuerai à jouer au football tant que j’en aurai la force parce que c’est ma passion.
Les trouvez-vous talentueux?
Comme nous les plus anciens, ils ont aussi eu la chance d’évoluer dans les championnats européens et de jouer au haut niveau. Quand je vois évoluer des joueurs comme Gervinho, Tioté Cheik et même le tout dernier Bony Wilfried, ça me rassure sur la relève. C’est important pour la continuité du rayonnement des Eléphants et du football ivoirien. C’est vrai qu’à 29 ans, je suis considéré comme un ancien. Mais je suis un « jeune-vieux » parce que ceux de ma génération et moi avons évolué de façon précoce au haut niveau. Et derrière nous, il y a de très bons jeunes joueurs. Je citerai aussi Touré Yaya, Doumbia Seydou, Coulibaly Kafoumba, Salomon Kalou, etc. En outre, ils ont su se fondre dans le groupe et c’est ce qui fait le charme de la sélection ivoirienne.
Source FIF
Quel est votre état d’esprit pour ce deuxième regroupement sous l’ère Zahoui François ?
Je suis ambitieux et je suis un gagneur. En ce moment, il y a un groupe qui est en train de se construire autour du coach Zahoui et c’est important. Les deux années à venir sont une aubaine parce que nous avons-là l’opportunité de disputer deux CAN si nous arrivons à nous qualifier. C’est un challenge pour la sélection ivoirienne qui renferme un bon nombre de joueurs qui sont arrivés à maturité. C’est vrai que face à la Côte d’Ivoire, le Burundi va jouer son va-tout et j’ai encore en mémoire notre dernière opposition en 2003 où nous avons gagné sur le fil par un but à zéro. Mais avec la culture de la gagne que le coach imprime au groupe, mes coéquipiers et moi allons à Bujumbura pour prendre les trois points.
Au-delà du discours sur la gagne que vous tient le coach, qu’est-ce qui vous motive pour arracher une victoire au Burundi, aujourd’hui ?
L’habitude des compétitions nous prouve qu’il faut engranger des victoires à l’extérieur pour se qualifier à des tournois de niveau continental ou mondial. Dans le groupe H des éliminatoires de la CAN 2012, la Côte d’Ivoire est en tête avec trois points quand le Burundi et le Bénin, nos poursuivants directs, ont chacun un point et le Rwanda, zéro. Voici l’état des lieux avant la deuxième journée. Par conséquent, une victoire face au Burundi nous donnerait une avance sérieuse. Et le match se jouant sur une pelouse synthétique, cela pourrait nous être favorable grâce à de notre jeu qui s’adapte à des pelouses quasi parfaites.
Comment vous sentez-vous dans vos habits de nouveau capitaine des Eléphants ?
C’est un honneur pour moi de porter le brassard de capitaine de l’équipe nationale de Côte d’Ivoire qui est l’une des meilleures en Afrique. Je pense aussi que c’est une récompense parce que cette équipe est composée de joueurs talentueux. Et même si je suis le joueur le plus capé de la sélection, c’est également une charge. Mais je mettrai un point d’honneur à mériter cette confiance placée en moi et j’espère pouvoir contribuer à hisser le drapeau ivoirien toujours plus haut.
En tant que cadre de l’équipe, quel regard posez-vous sur l’arrivée des jeunes joueurs en sélection ?
J’ai du plaisir. Et puis, le terme « sélection » qui sous-entend la concurrence, permet aux anciens de ne pas dormir sur leurs lauriers et de se remettre en cause. Je ne suis pas surpris de la montée des plus jeunes. Je me souviens de mes toutes premières sélections où je m’amusais à chambrer Kouassi Blaise et Domoraud Cyrille. Aujourd’hui, je me retrouve dans la même situation. Ah comme les années passent ! Et je continuerai à jouer au football tant que j’en aurai la force parce que c’est ma passion.
Les trouvez-vous talentueux?
Comme nous les plus anciens, ils ont aussi eu la chance d’évoluer dans les championnats européens et de jouer au haut niveau. Quand je vois évoluer des joueurs comme Gervinho, Tioté Cheik et même le tout dernier Bony Wilfried, ça me rassure sur la relève. C’est important pour la continuité du rayonnement des Eléphants et du football ivoirien. C’est vrai qu’à 29 ans, je suis considéré comme un ancien. Mais je suis un « jeune-vieux » parce que ceux de ma génération et moi avons évolué de façon précoce au haut niveau. Et derrière nous, il y a de très bons jeunes joueurs. Je citerai aussi Touré Yaya, Doumbia Seydou, Coulibaly Kafoumba, Salomon Kalou, etc. En outre, ils ont su se fondre dans le groupe et c’est ce qui fait le charme de la sélection ivoirienne.
Source FIF