Le président de la Fédération ivoirienne de football (FIF), Jacques Anouma qui est en pôle position pour se faire réélire en 2011 au poste de membre permanent du comité exécutif de la FIFA, a su éviter les pièges et autres complots visant à ternir son image.
Quel autre poids lourd au niveau des dirigeants du football africain dans la sous région, sera-t-il épinglé après la suspension du Nigérian Amos Adamu et du Malien Amadou Diakité ? Malin qui pourra y apporter un élément de réponse. Cependant, dans le camp du président Jacques Anouma, la sérénité est de mise. Le rapport d’investigations des journalistes africains qui concerne trois pays africains dont la Côte d’Ivoire, n’a pas ébranlé la Fédération ivoirienne de football. De bonnes sources, « ce sont des questions auxquelles le président Jacques Anouma a déjà apporté des éléments de réponses ». Le don de la Société ivoirienne de Raffinerie (SIR) s’inscrit dans un cadre précis, à savoir le traitement du sélectionneur expatrié des Eléphants A. « La SIR est une société d’Etat et le président Anouma est allé vers ce partenaire pour les questions relatives au traitement du sélectionneur des Eléphants, à la demande du Président Laurent Gbagbo. L’argent dont il est question n’était pas destiné aux clubs locaux comme le mentionne le rapport qui circule depuis le samedi 23 octobre 2010. Et à ce niveau, le président Anouma a déjà élucidé la question », ont précisé plusieurs sources proches de la FIF. Mieux, le drame survenu le 29 mars 2009 au stade Félix Houphouët-Boigny ne saurait être considéré comme un scandale financier. « Il y a eu un problème de gestion des supporters venus au stade. La justice a d’ailleurs condamné les personnes impliquées dans ce drame. D’où vient-il que les gens parlent de scandale financier ? Ce n’est pas cela qu’on appelle un scandale encore moins un détournement ! », a-t-il ajouté. Pour sûr, des gens en veulent à Jacques Anouma après la suspension par la FIFA de ses principaux adversaires, trempés dans une affaire de corruption avec des preuves irréfutables. « Les mêmes gens qui ont piégé Amos Adamu et autres officiels de la FIFA et de la CAF, avaient essayé leur scénario avec Jacques Anouma mais il a fait preuve de responsabilité et de maturité. Il n’aime pas les combines et a clairement décliné l’offre piégée des jeunes filles qui se sont fait passer pour des journalistes en Afrique du Sud. Dans le milieu du football, celui qui est trop porté sur les questions pécuniaires se fait toujours avoir», a-t-il révélé. Parler de scandale financier et de convoi de prostituées à destination des professionnels ivoiriens lors des rendez-vous majeurs reste, à en croire nos interlocuteurs, des faits banals et sans fondements. « Après la CAN 2010 en Angola, les gens ont raconté beaucoup de choses sans preuves et sans fondements. Face à la nation, le président Jacques Anouma a su apporter les éclaircissements. Que les gens arrêtent de vouloir coûte que coûte fabriquer une affaire pour salir Jacques Anouma. Ce n’est pas ainsi que les gens tapis dans l’ombre pourront l’avoir», regrette une autre source. Avant de s’interroger en ces termes : « Qui a intérêt à ce que Jacques Anouma échoue à la FIFA ? Il sait qu’il est à un poste de responsabilité et il ne saurait se compromettre. Pourquoi vouloir salir son nom ? Ce n’est pas en Côte d’Ivoire seulement qu’il y a eu mort d’hommes au stade suite à une bousculade ! Les clubs locaux reçoivent une subvention de la FIF et ils sont au courant de toutes les sommes octroyées à la Côte d’Ivoire par la FIFA au titre sa participation à la coupe du monde ». En clair Jacques Anouma, selon plusieurs sons de cloches, entendus hier et parvenues, à note rédaction est bien loin des affaires de corruption et de détournements qui secouent le football mondial depuis quelques jours. « Que les gens cherchent leur bouc-émissaire ailleurs ! », ont conseillé nos interlocuteurs, tout en en évitant la presse étrangère, africaine et surtout ivoirienne à faire beaucoup attention à tout ce qui se raconte sur la gestion du président Jacques Anouma.
Annoncia Sehoué
Quel autre poids lourd au niveau des dirigeants du football africain dans la sous région, sera-t-il épinglé après la suspension du Nigérian Amos Adamu et du Malien Amadou Diakité ? Malin qui pourra y apporter un élément de réponse. Cependant, dans le camp du président Jacques Anouma, la sérénité est de mise. Le rapport d’investigations des journalistes africains qui concerne trois pays africains dont la Côte d’Ivoire, n’a pas ébranlé la Fédération ivoirienne de football. De bonnes sources, « ce sont des questions auxquelles le président Jacques Anouma a déjà apporté des éléments de réponses ». Le don de la Société ivoirienne de Raffinerie (SIR) s’inscrit dans un cadre précis, à savoir le traitement du sélectionneur expatrié des Eléphants A. « La SIR est une société d’Etat et le président Anouma est allé vers ce partenaire pour les questions relatives au traitement du sélectionneur des Eléphants, à la demande du Président Laurent Gbagbo. L’argent dont il est question n’était pas destiné aux clubs locaux comme le mentionne le rapport qui circule depuis le samedi 23 octobre 2010. Et à ce niveau, le président Anouma a déjà élucidé la question », ont précisé plusieurs sources proches de la FIF. Mieux, le drame survenu le 29 mars 2009 au stade Félix Houphouët-Boigny ne saurait être considéré comme un scandale financier. « Il y a eu un problème de gestion des supporters venus au stade. La justice a d’ailleurs condamné les personnes impliquées dans ce drame. D’où vient-il que les gens parlent de scandale financier ? Ce n’est pas cela qu’on appelle un scandale encore moins un détournement ! », a-t-il ajouté. Pour sûr, des gens en veulent à Jacques Anouma après la suspension par la FIFA de ses principaux adversaires, trempés dans une affaire de corruption avec des preuves irréfutables. « Les mêmes gens qui ont piégé Amos Adamu et autres officiels de la FIFA et de la CAF, avaient essayé leur scénario avec Jacques Anouma mais il a fait preuve de responsabilité et de maturité. Il n’aime pas les combines et a clairement décliné l’offre piégée des jeunes filles qui se sont fait passer pour des journalistes en Afrique du Sud. Dans le milieu du football, celui qui est trop porté sur les questions pécuniaires se fait toujours avoir», a-t-il révélé. Parler de scandale financier et de convoi de prostituées à destination des professionnels ivoiriens lors des rendez-vous majeurs reste, à en croire nos interlocuteurs, des faits banals et sans fondements. « Après la CAN 2010 en Angola, les gens ont raconté beaucoup de choses sans preuves et sans fondements. Face à la nation, le président Jacques Anouma a su apporter les éclaircissements. Que les gens arrêtent de vouloir coûte que coûte fabriquer une affaire pour salir Jacques Anouma. Ce n’est pas ainsi que les gens tapis dans l’ombre pourront l’avoir», regrette une autre source. Avant de s’interroger en ces termes : « Qui a intérêt à ce que Jacques Anouma échoue à la FIFA ? Il sait qu’il est à un poste de responsabilité et il ne saurait se compromettre. Pourquoi vouloir salir son nom ? Ce n’est pas en Côte d’Ivoire seulement qu’il y a eu mort d’hommes au stade suite à une bousculade ! Les clubs locaux reçoivent une subvention de la FIF et ils sont au courant de toutes les sommes octroyées à la Côte d’Ivoire par la FIFA au titre sa participation à la coupe du monde ». En clair Jacques Anouma, selon plusieurs sons de cloches, entendus hier et parvenues, à note rédaction est bien loin des affaires de corruption et de détournements qui secouent le football mondial depuis quelques jours. « Que les gens cherchent leur bouc-émissaire ailleurs ! », ont conseillé nos interlocuteurs, tout en en évitant la presse étrangère, africaine et surtout ivoirienne à faire beaucoup attention à tout ce qui se raconte sur la gestion du président Jacques Anouma.
Annoncia Sehoué