- Avez-vous été surpris par la décision de la Commission générale d’appel qui vous empêche de jouer en Ligue 1, la saison prochaine?
Pour moi, le dossier Bingerville-Man FC est vide. Nous étions informés de ce dossier à deux journées de la fin de la Ligue 2 mais comme nous savions qu’il était vide, nous ne nous attendions pas à une telle décision. On peut dire qu’elle nous a surpris.
- Dans quel état d’esprit se trouve la population d’Adzopé aujourd’hui?
Les dirigeants sont sereins. Si l’on va dans la légalité, nous méritons de jouer en Ligue 1. La population d’Adzopé, elle, est perturbée. Depuis 50 ans, nous cherchions à jouer en Ligue 1. Cela se réalise au bout de beaucoup de travail et, pour une simple signature nous refusons de perdre notre place parmi l’élite.
- Avez-vous le soutien des présidents de clubs dans cette épreuve?
Un adage dit que lorsque vous êtes bossu et que vous perdez la vie, vos amis bossus seront à votre enterrement pour savoir comment cela se déroule... Ils se diront le jour de notre mort, ce sera comme cela qu’on sera aussi enterrés. Il ne faudrait pas créer des cas de jurisprudence en Côte d’Ivoire.
- Que comptez-vous faire si la Commission de recours ne tranche pas en votre faveur?
Nous ne l’envisageons même pas. Si par extraordinaire cette décision ne nous arrange pas, nous irons certainement voir du côté de la Confédération africaine de football ou encore la FIFA. Nous irons jusqu’au bout.
Propos retranscrits par Guy-Florentin Yaméogo
Pour moi, le dossier Bingerville-Man FC est vide. Nous étions informés de ce dossier à deux journées de la fin de la Ligue 2 mais comme nous savions qu’il était vide, nous ne nous attendions pas à une telle décision. On peut dire qu’elle nous a surpris.
- Dans quel état d’esprit se trouve la population d’Adzopé aujourd’hui?
Les dirigeants sont sereins. Si l’on va dans la légalité, nous méritons de jouer en Ligue 1. La population d’Adzopé, elle, est perturbée. Depuis 50 ans, nous cherchions à jouer en Ligue 1. Cela se réalise au bout de beaucoup de travail et, pour une simple signature nous refusons de perdre notre place parmi l’élite.
- Avez-vous le soutien des présidents de clubs dans cette épreuve?
Un adage dit que lorsque vous êtes bossu et que vous perdez la vie, vos amis bossus seront à votre enterrement pour savoir comment cela se déroule... Ils se diront le jour de notre mort, ce sera comme cela qu’on sera aussi enterrés. Il ne faudrait pas créer des cas de jurisprudence en Côte d’Ivoire.
- Que comptez-vous faire si la Commission de recours ne tranche pas en votre faveur?
Nous ne l’envisageons même pas. Si par extraordinaire cette décision ne nous arrange pas, nous irons certainement voir du côté de la Confédération africaine de football ou encore la FIFA. Nous irons jusqu’au bout.
Propos retranscrits par Guy-Florentin Yaméogo