Depuis mardi, le président du Rombo Sports de Kpouèbo a quitté la terre des hommes. Il a succombé à un mal qui le malmenait depuis plusieurs mois. Nord-Sud Quotidien lui rend hommage.
Miné par un mal pernicieux depuis de longs mois, Dicko Souleymane a finalement rendu l’âme dans la soirée du mardi. Une nouvelle qui attriste le monde sportif ivoirien car l’homme avait fait ses preuves au Stella Club d’Adjamé avant de créer en 1995 un club féminin de handball, le Rombo Sports de Kpouèbo. Ces derniers mois, l’homme était alité chez son frère dans la commune de Yopougon. Il souffrait en silence. Attachées à leur président, les joueuses du Rombo n’hésitaient pas à aller lui témoigner, corbeilles de fruits en main, tout leur soutien et lui souhaiter un prompt rétablissement. Désormais orphelines de leur président-fondateur, elles promettent d’honorer sa mémoire sur le terrain. Dans notre jeune carrière de journaliste sportif, nous avons eu l’occasion de croiser Dicko Souleymane et d’échanger avec lui. Leçons ?
L’homme était entier. Certes, un peu impulsif mais toujours courtois. Anecdote : après une longue interview à lui accordée, il y a trois ans, Le président-fondateur du Rombo Sports qu’il était, avait souhaité relire l’interview retranscrite avant sa parution. Il avait même insisté là-dessus. C’est simplement la preuve que Dicko Souleymane faisait attention. A tout. Adieu président !
Guy-Florentin Yaméogo
Miné par un mal pernicieux depuis de longs mois, Dicko Souleymane a finalement rendu l’âme dans la soirée du mardi. Une nouvelle qui attriste le monde sportif ivoirien car l’homme avait fait ses preuves au Stella Club d’Adjamé avant de créer en 1995 un club féminin de handball, le Rombo Sports de Kpouèbo. Ces derniers mois, l’homme était alité chez son frère dans la commune de Yopougon. Il souffrait en silence. Attachées à leur président, les joueuses du Rombo n’hésitaient pas à aller lui témoigner, corbeilles de fruits en main, tout leur soutien et lui souhaiter un prompt rétablissement. Désormais orphelines de leur président-fondateur, elles promettent d’honorer sa mémoire sur le terrain. Dans notre jeune carrière de journaliste sportif, nous avons eu l’occasion de croiser Dicko Souleymane et d’échanger avec lui. Leçons ?
L’homme était entier. Certes, un peu impulsif mais toujours courtois. Anecdote : après une longue interview à lui accordée, il y a trois ans, Le président-fondateur du Rombo Sports qu’il était, avait souhaité relire l’interview retranscrite avant sa parution. Il avait même insisté là-dessus. C’est simplement la preuve que Dicko Souleymane faisait attention. A tout. Adieu président !
Guy-Florentin Yaméogo