Avec la crise que traverse la Côte d’Ivoire consécutive au second tour des élections
présidentielles, les institutions financières internationales s’interrogent sur leurs relations avec Abidjan. Si jusqu’à présent aucune décision définitive d’interruption des décaissements n’est encore adoptée, l’on se demande néanmoins sur ce que peut faire la Côte d’Ivoire face à une telle éventualité.
Au moment où la Banque mondiale (BM) et la Banque africaine de développement (BAD) font part de leur grande inquiétude face à la crise ivoirienne, le Fonds monétaire international (FMI) lui, fait savoir qu’il ne travaillera pas avec un gouvernement non reconnu par l’ONU.
Par Sanogo Zoumanan
zoumanan.sanogo@jde-ci.com
Lire la suite de cet article dans le JDE N°093 du lundi 13 au dimanche 19
décembre 2010-12-10
présidentielles, les institutions financières internationales s’interrogent sur leurs relations avec Abidjan. Si jusqu’à présent aucune décision définitive d’interruption des décaissements n’est encore adoptée, l’on se demande néanmoins sur ce que peut faire la Côte d’Ivoire face à une telle éventualité.
Au moment où la Banque mondiale (BM) et la Banque africaine de développement (BAD) font part de leur grande inquiétude face à la crise ivoirienne, le Fonds monétaire international (FMI) lui, fait savoir qu’il ne travaillera pas avec un gouvernement non reconnu par l’ONU.
Par Sanogo Zoumanan
zoumanan.sanogo@jde-ci.com
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décembre 2010-12-10