"Nous avons dit clairement que nous sommes prêts à imposer des sanctions, à lui ainsi qu'à d'autres. Il sait ce que nous sommes prêts à faire et nous lui avons donné un laps de temps limité pour prendre sa décision", a dit le responsable sous le sceau de l'anonymat.
Des soldats fidèles à Gbagbo et des partisans d'Alassane Ouattara, qui revendique la victoire à l'élection présidentielle du 28 novembre, se sont affrontés jeudi, faisant redouter un retour à la guerre civile qui a déchiré le pays en 2002 et 2003.
Gbagbo, président sortant, s'appuie sur un avis du Conseil constitutionnel pour rejeter les résultats de la Commission électorale indépendante, qui a déclaré Ouattara vainqueur.
Les Nations unies, les Etats-Unis, les pays africains et la France, ancienne puissance coloniale, ont tous reconnu la victoire de Ouattara.
L'ambassade des Etats-Unis à Abidjan, principale ville du pays, a été touchée par une grenade RPG perdue au cours des affrontements de jeudi qui se sont produits près de l'hôtel où Ouattara et ses alliés ont installé une administration parallèle.
"Nous déplorons le recours à la force et demandons à nouveau à chacun de rester calme tandis que nous continuons de travailler avec la communauté internationale afin de contribuer à un règlement de la situation", a déclaré P.J. Crowley, porte-parole du département d'Etat.
DÉLÉGATION AFRICAINE
Il a ajouté qu'une délégation conjointe de l'Union africaine et de la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (Cedeao) devait se rendre à Abidjan et continuerait "d'encourager le président Gbagbo à se retirer".
Le responsable américain a dit que Gbagbo s'était vu donner quelques jours pour partir.
"Nous pensons fermement qu'il écoute attentivement ce que les Etats-Unis, la France, la Cedeao et l'Union africaine lui disent tous clairement. Il a une décision à prendre et il a un laps de temps limité pour se décider".
Le responsable a laissé entendre que Gbagbo aurait à accepter de partir en exil, bien que la destination reste à déterminer.
"Il a de nombreuses résidences dans de nombreux pays. Il a la possibilité de profiter de n'importe laquelle d'entre elles. Il doit partir", a-t-il dit.
Le président Barack Obama a proposé ce mois-ci d'inviter Gbagbo à la Maison blanche s'il cédait le pouvoir, mais cette offre est restée sans réponse.
Les Etats-Unis ont dit qu'ils envisageaient des sanctions contre Gbagbo et sa famille s'il s'accrochait au pouvoir alors que les ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne se sont déjà mis d'accord sur des sanctions.
Des soldats fidèles à Gbagbo et des partisans d'Alassane Ouattara, qui revendique la victoire à l'élection présidentielle du 28 novembre, se sont affrontés jeudi, faisant redouter un retour à la guerre civile qui a déchiré le pays en 2002 et 2003.
Gbagbo, président sortant, s'appuie sur un avis du Conseil constitutionnel pour rejeter les résultats de la Commission électorale indépendante, qui a déclaré Ouattara vainqueur.
Les Nations unies, les Etats-Unis, les pays africains et la France, ancienne puissance coloniale, ont tous reconnu la victoire de Ouattara.
L'ambassade des Etats-Unis à Abidjan, principale ville du pays, a été touchée par une grenade RPG perdue au cours des affrontements de jeudi qui se sont produits près de l'hôtel où Ouattara et ses alliés ont installé une administration parallèle.
"Nous déplorons le recours à la force et demandons à nouveau à chacun de rester calme tandis que nous continuons de travailler avec la communauté internationale afin de contribuer à un règlement de la situation", a déclaré P.J. Crowley, porte-parole du département d'Etat.
DÉLÉGATION AFRICAINE
Il a ajouté qu'une délégation conjointe de l'Union africaine et de la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (Cedeao) devait se rendre à Abidjan et continuerait "d'encourager le président Gbagbo à se retirer".
Le responsable américain a dit que Gbagbo s'était vu donner quelques jours pour partir.
"Nous pensons fermement qu'il écoute attentivement ce que les Etats-Unis, la France, la Cedeao et l'Union africaine lui disent tous clairement. Il a une décision à prendre et il a un laps de temps limité pour se décider".
Le responsable a laissé entendre que Gbagbo aurait à accepter de partir en exil, bien que la destination reste à déterminer.
"Il a de nombreuses résidences dans de nombreux pays. Il a la possibilité de profiter de n'importe laquelle d'entre elles. Il doit partir", a-t-il dit.
Le président Barack Obama a proposé ce mois-ci d'inviter Gbagbo à la Maison blanche s'il cédait le pouvoir, mais cette offre est restée sans réponse.
Les Etats-Unis ont dit qu'ils envisageaient des sanctions contre Gbagbo et sa famille s'il s'accrochait au pouvoir alors que les ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne se sont déjà mis d'accord sur des sanctions.