Le nouveau ministre des Sports du gouvernement Gilbert Marie Aké N’Gbo, Franck Gueï, a rencontré la presse, hier. Au menu des échanges, la traditionnelle prise de contact. Franck Gueï en a profité pour dévoiler son plan de relance du sport ivoirien..
Franck Guei tient ses promesses. Et il l’a encore prouvé, hier. Avant de filer au Palais présidentiel pour assister au conseil de gouvernement d’Aké N’Gbo, il a eu le temps de recevoir la presse écrite et audiovisuelle au ministère des Sports situé au 2è étage de l’immeuble Hévéas. « Je souhaite avoir une complicité avec vous (…) Les portes du ministère vous sont ouvertes », a-t-il lancé d’emblée. De très bonne humeur et disposé à répondre à toutes les questions (mêmes celles qui fâchent), Franck Gueï a tenu à faire cette précision : « Je travaille pour la Côte d’Ivoire. Le Conseil constitutionnel a désigné un président qui m’a nommé. Je travaille en tant que ministre. Le reste, ce n’est pas mon rôle. Tout ce qui est politique ne me concerne pas. Laurent Gbagbo m’a dit de gérer la situation… ». Cette précision étant faite, le successeur de Mel Théodore assure qu’un règlement (définitif ?) au bicéphalisme qui règne à la Fédération ivoirienne de karaté et disciplines associées (FIKDA) trouvera bientôt une solution. « J’ai déjà eu les rapports de mes conseillers. J’écouterai les deux parties et une solution sera trouvée ». Avant de souligner : « si quelqu’un est mon ami et qu’il ne respecte pas la loi, il restera toujours mon ami mais devra respecter la loi… ». Connu comme médecin de formation, Franck Gueï espère trouver une thérapie de choc afin de remettre notre sport sur les rails. Il révèle d’ailleurs qu’il est un sportif né. « Je suis un enfant du handball et j’ai beaucoup d’amis dans le milieu », a-t-il soufflé. Au sujet de ses actions, le ministre des Sports du gouvernement Aké N’Gbo a clairement laissé entendre que ses priorités seront de terminer ce que ses prédécesseurs n’ont pas pu, d’améliorer les infrastructures sportives existantes, de redynamiser, de professionnaliser et de retoucher la loi sur le sport ivoirien. Mieux, Franck Gueï, entouré de ses plus proches collaborateurs, donne rendez-vous à tout le monde dans 3 ou 4 mois pour un premier bilan.
Guy-Florentin Yaméogo
Franck Guei tient ses promesses. Et il l’a encore prouvé, hier. Avant de filer au Palais présidentiel pour assister au conseil de gouvernement d’Aké N’Gbo, il a eu le temps de recevoir la presse écrite et audiovisuelle au ministère des Sports situé au 2è étage de l’immeuble Hévéas. « Je souhaite avoir une complicité avec vous (…) Les portes du ministère vous sont ouvertes », a-t-il lancé d’emblée. De très bonne humeur et disposé à répondre à toutes les questions (mêmes celles qui fâchent), Franck Gueï a tenu à faire cette précision : « Je travaille pour la Côte d’Ivoire. Le Conseil constitutionnel a désigné un président qui m’a nommé. Je travaille en tant que ministre. Le reste, ce n’est pas mon rôle. Tout ce qui est politique ne me concerne pas. Laurent Gbagbo m’a dit de gérer la situation… ». Cette précision étant faite, le successeur de Mel Théodore assure qu’un règlement (définitif ?) au bicéphalisme qui règne à la Fédération ivoirienne de karaté et disciplines associées (FIKDA) trouvera bientôt une solution. « J’ai déjà eu les rapports de mes conseillers. J’écouterai les deux parties et une solution sera trouvée ». Avant de souligner : « si quelqu’un est mon ami et qu’il ne respecte pas la loi, il restera toujours mon ami mais devra respecter la loi… ». Connu comme médecin de formation, Franck Gueï espère trouver une thérapie de choc afin de remettre notre sport sur les rails. Il révèle d’ailleurs qu’il est un sportif né. « Je suis un enfant du handball et j’ai beaucoup d’amis dans le milieu », a-t-il soufflé. Au sujet de ses actions, le ministre des Sports du gouvernement Aké N’Gbo a clairement laissé entendre que ses priorités seront de terminer ce que ses prédécesseurs n’ont pas pu, d’améliorer les infrastructures sportives existantes, de redynamiser, de professionnaliser et de retoucher la loi sur le sport ivoirien. Mieux, Franck Gueï, entouré de ses plus proches collaborateurs, donne rendez-vous à tout le monde dans 3 ou 4 mois pour un premier bilan.
Guy-Florentin Yaméogo
