La légende veut que les Asiatiques (Chinois, Japonais, Coréens, Vietnamiens…) soient tous des karatékas aguerris. La légende veut que ces ‘’petits hommes’’ soient des gens ‘’bizarres’’. La dernière mode en vogue depuis quelque temps dans des restos chinois, a de quoi faire réfléchir...
“J’ai envie d’un bon pénis de cheval !’’ Toute tentative de lecture au premier degré, de ces propos vous met, de facto, hors sujet. Pour la simple raison que ces propos, aussi injectés d’obscénités soient-ils, se rapportent à… la cuisine. En effet, depuis quelque temps, en Asie (notamment en Chine), certains animaux comme le taureau, le cheval, le chien, le mouton, le yak… sont beaucoup prisés… pour leurs sexes ! Exclusivement ! Et les restaurants qui proposent des plats spéciaux à base de testicules, de verges ou de glands de ces animaux, montent en force. Nouveauté Marketing oblige, les maîtres-cuistots font accompagner leurs menus à base de sexes, de petites cartes explicatives sur les qualités nutritives, voire même médicinales de ces recettes ‘’sexuelles’’. On y apprend, par exemple, qu’un bon plat à base de ‘’queue’’, testicules ou gland de taureau, de chien, de cheval, de serpent, de yak, de mouton, de baleine, de bouc, et bien d’autres vous booste la libido comme jamais. Les hommes souffrant d’érections molles peuvent s’attendre à recevoir une véritable coulée de béton dans la verge. Et voir la machinerie démarrer au quart de tour, avec une puissance de percussion dont se rappelleront leurs compagnes. Mais, il est d’évidence que les pannes et autres dérèglements sexuels ne se conjuguent pas qu’au masculin. A la gent féminine, les cartes ‘’publicitaires’’ recommandent une bonne ‘’queue’’, testicules ou gland d’animaux pour celles qui veulent donner un coup de fouet aphrodisiaque à leur libido amochée, du fait du stress, de la fatigue ou de la maternité. Ou, au mieux, se faire de belles peaux, lisses, éclatantes et harmonieusement hydratées! Le nec plus ultra pour une libido explosive étant la combinaison de deux ‘queues’’ ou d’un ‘’complet’’ (testicules + verge + gland)! Des témoignages rapportent que certains clients, désireux de profiter au maximum des bienfaits sexuels de ces sexes, commandent souvent un mélange de plusieurs ‘’queues’’ simples ou complètes (testicules + verge + gland). Le résultat reléguerait carrément le Viagra au rang de petite drogue de pharmacie ! Avec, l’absence totale d’effets secondaires en plus ! Evidemment, cette frénésie ‘’sexo-culinaire’’ n’a pas manqué d’attirer l’attention des nutritionnistes, gastronomes et autres chercheurs en la matière. Cependant, jusqu'ici, tous ces chercheurs ont du mal à s’accorder sur la véracité ou non des vertus prêtées aux sexes d’animaux préparés. Mais qu’à cela ne tienne, les amateurs de la chose n’en ont cure et le bouche-à-oreille semble faire son effet. Aux dernières nouvelles, la clientèle essentiellement composée d’hommes, au début, a viré, depuis quelque temps, aux couples. Les femmes y accompagnant leurs compagnons pour ‘’communier’’ ensemble à la table de ces ‘’délices’’. Surtout que ces ‘’plats’’ sont concoctés avec un art culinaire tel qu’il est impossible de deviner, du premier coup d’œil, qu’il s’agit de sexes d’animaux. Savamment préparés, lavés et découpés, les pénis, testicules et autres glands accommodés en sauces, soupes ou braisés et portés par des senteurs appétissantes, vous mettent l’eau à la bouche tout de suite. Les prix fixés, au début, entre 15.000 FCFA au minimum et environ 150.000 FCFA au maximum pour un plat, courent aujourd’hui entre 35.000 FCFA minimum et 350.000 FCFA au maximum, pour s’offrir une bonne soupe, sauce ou braisé de testicules, verges ou glands. Ici, les nems et autres beignets aux crevettes chinois ont beau attirer les Ivoiriens, rien ne permet, pour l’instant, de savoir si cet amour des sexes… version culinaire, pourrait arriver sur les bords de la lagune Ebrié. A plus forte raison faire recette. Mais, le nombre de plus en plus grandissant des amateurs des parties génitales de moutons qui se donnent rendez-vous à Port-Bouët-abatoir les week-ends, pour des ‘’testicules bouffe-party’’, accompagnés de vins, laisse quelque peu songeur. Il n’empêche, le sexe a beau s’accommoder à toutes les sauces, il reste une affaire de (gros) sous. Qu’on le prenne en comprimés de‘’pointage’’ ailleurs ou en gélules ‘’culinaires’’ ici, l’ordonnance est la même : ça se paie…cash.
Par Améday KWACEE
“J’ai envie d’un bon pénis de cheval !’’ Toute tentative de lecture au premier degré, de ces propos vous met, de facto, hors sujet. Pour la simple raison que ces propos, aussi injectés d’obscénités soient-ils, se rapportent à… la cuisine. En effet, depuis quelque temps, en Asie (notamment en Chine), certains animaux comme le taureau, le cheval, le chien, le mouton, le yak… sont beaucoup prisés… pour leurs sexes ! Exclusivement ! Et les restaurants qui proposent des plats spéciaux à base de testicules, de verges ou de glands de ces animaux, montent en force. Nouveauté Marketing oblige, les maîtres-cuistots font accompagner leurs menus à base de sexes, de petites cartes explicatives sur les qualités nutritives, voire même médicinales de ces recettes ‘’sexuelles’’. On y apprend, par exemple, qu’un bon plat à base de ‘’queue’’, testicules ou gland de taureau, de chien, de cheval, de serpent, de yak, de mouton, de baleine, de bouc, et bien d’autres vous booste la libido comme jamais. Les hommes souffrant d’érections molles peuvent s’attendre à recevoir une véritable coulée de béton dans la verge. Et voir la machinerie démarrer au quart de tour, avec une puissance de percussion dont se rappelleront leurs compagnes. Mais, il est d’évidence que les pannes et autres dérèglements sexuels ne se conjuguent pas qu’au masculin. A la gent féminine, les cartes ‘’publicitaires’’ recommandent une bonne ‘’queue’’, testicules ou gland d’animaux pour celles qui veulent donner un coup de fouet aphrodisiaque à leur libido amochée, du fait du stress, de la fatigue ou de la maternité. Ou, au mieux, se faire de belles peaux, lisses, éclatantes et harmonieusement hydratées! Le nec plus ultra pour une libido explosive étant la combinaison de deux ‘queues’’ ou d’un ‘’complet’’ (testicules + verge + gland)! Des témoignages rapportent que certains clients, désireux de profiter au maximum des bienfaits sexuels de ces sexes, commandent souvent un mélange de plusieurs ‘’queues’’ simples ou complètes (testicules + verge + gland). Le résultat reléguerait carrément le Viagra au rang de petite drogue de pharmacie ! Avec, l’absence totale d’effets secondaires en plus ! Evidemment, cette frénésie ‘’sexo-culinaire’’ n’a pas manqué d’attirer l’attention des nutritionnistes, gastronomes et autres chercheurs en la matière. Cependant, jusqu'ici, tous ces chercheurs ont du mal à s’accorder sur la véracité ou non des vertus prêtées aux sexes d’animaux préparés. Mais qu’à cela ne tienne, les amateurs de la chose n’en ont cure et le bouche-à-oreille semble faire son effet. Aux dernières nouvelles, la clientèle essentiellement composée d’hommes, au début, a viré, depuis quelque temps, aux couples. Les femmes y accompagnant leurs compagnons pour ‘’communier’’ ensemble à la table de ces ‘’délices’’. Surtout que ces ‘’plats’’ sont concoctés avec un art culinaire tel qu’il est impossible de deviner, du premier coup d’œil, qu’il s’agit de sexes d’animaux. Savamment préparés, lavés et découpés, les pénis, testicules et autres glands accommodés en sauces, soupes ou braisés et portés par des senteurs appétissantes, vous mettent l’eau à la bouche tout de suite. Les prix fixés, au début, entre 15.000 FCFA au minimum et environ 150.000 FCFA au maximum pour un plat, courent aujourd’hui entre 35.000 FCFA minimum et 350.000 FCFA au maximum, pour s’offrir une bonne soupe, sauce ou braisé de testicules, verges ou glands. Ici, les nems et autres beignets aux crevettes chinois ont beau attirer les Ivoiriens, rien ne permet, pour l’instant, de savoir si cet amour des sexes… version culinaire, pourrait arriver sur les bords de la lagune Ebrié. A plus forte raison faire recette. Mais, le nombre de plus en plus grandissant des amateurs des parties génitales de moutons qui se donnent rendez-vous à Port-Bouët-abatoir les week-ends, pour des ‘’testicules bouffe-party’’, accompagnés de vins, laisse quelque peu songeur. Il n’empêche, le sexe a beau s’accommoder à toutes les sauces, il reste une affaire de (gros) sous. Qu’on le prenne en comprimés de‘’pointage’’ ailleurs ou en gélules ‘’culinaires’’ ici, l’ordonnance est la même : ça se paie…cash.
Par Améday KWACEE
