Ivoiriens, Ivoiriennes, Ouattara ne changera pas ni aujourd’hui, ni demain. L’homme restera le plus grand manipulateur de ce pays. Alors qu’ils, (lui et ses hommes) séquestrent vos enfants, vos femmes, vos maris, vos parents dans le mouroir du Golf Hôtel, il ment et continue de mentir à la face du monde entier que les Fds les ont enlevés quand il a encore quelques brins de réminiscence ou, déclare-t-il qu’ils sont tous partis en exil, hors de Côte d’Ivoire.
Eh bien chers Ivoiriens, voici ci-contre la liste de vos parents séquestrés par Ouattara dans le mouroir du Golf, sans soins médicaux, maigrement nourris (riz gras + poisson ‘’magne’’ sec quand c’est possible) matin et soir.
En fait, Ouattara a accumulé tant d’Ivoiriens dans un espace qui est au plan densité dépasse de loin les 15000 hab. au km2 du rocher de la principauté de Monaco. Aujourd’hui, le m2, du Golf le plus prisé du monde. Comme du bétail, ces hommes, femmes et enfants s’entassent pêle-mêle, autant que faire se peut dans ce mouroir.
En réalité, toute cette masse humaine sert de bouclier humain à Monsieur Ouattara au cas où… ?
Avec cette promiscuité constituée sans état d’âme, Ouattara prépare une catastrophe humaine au Golf. Ne soyons pas surpris avec l’hygiène approximative qui y règne que demain se déclenche une épidémie de choléra. Ce qui serait la fin des fins. Peut-être ne sait-on jamais, est- ce le souhait de l’homme pour encore préfabriquer un charnier comme à ses habitudes.
Déjà le paludisme fait ravage. Et la Communauté internationale si préoccupée à ‘’manufacturer’’ un Président pour la Côte d’Ivoire ferme les yeux sur cette autre forfaiture. Il est temps que Ouattara rende les enfants à leurs parents, les épouses à leurs maris, les mères à leurs enfants…
Ouattara est vraiment sans cœur ; pour s’installer dans le fauteuil présidentiel, il est prêt à créer une hécatombe humaine.
Recluses, fourbues, épuisées c’est plus de 350 personnes, à bout de force, sur les genoux qui attendent que Ouattara les libère pour gagner leur domicile.
Au Golf, la mort rode dans chaque recoin, rien que pour le poste de Ouattara.
Vivement qu’on crée un corridor humanitaire pour que ces enfants et femmes qui ne demandent que ça puissent rejoindre les leurs. Le chef de l’Etat le leur avait déjà proposé.
Ange Marie Ibo Djêgba
Eh bien chers Ivoiriens, voici ci-contre la liste de vos parents séquestrés par Ouattara dans le mouroir du Golf, sans soins médicaux, maigrement nourris (riz gras + poisson ‘’magne’’ sec quand c’est possible) matin et soir.
En fait, Ouattara a accumulé tant d’Ivoiriens dans un espace qui est au plan densité dépasse de loin les 15000 hab. au km2 du rocher de la principauté de Monaco. Aujourd’hui, le m2, du Golf le plus prisé du monde. Comme du bétail, ces hommes, femmes et enfants s’entassent pêle-mêle, autant que faire se peut dans ce mouroir.
En réalité, toute cette masse humaine sert de bouclier humain à Monsieur Ouattara au cas où… ?
Avec cette promiscuité constituée sans état d’âme, Ouattara prépare une catastrophe humaine au Golf. Ne soyons pas surpris avec l’hygiène approximative qui y règne que demain se déclenche une épidémie de choléra. Ce qui serait la fin des fins. Peut-être ne sait-on jamais, est- ce le souhait de l’homme pour encore préfabriquer un charnier comme à ses habitudes.
Déjà le paludisme fait ravage. Et la Communauté internationale si préoccupée à ‘’manufacturer’’ un Président pour la Côte d’Ivoire ferme les yeux sur cette autre forfaiture. Il est temps que Ouattara rende les enfants à leurs parents, les épouses à leurs maris, les mères à leurs enfants…
Ouattara est vraiment sans cœur ; pour s’installer dans le fauteuil présidentiel, il est prêt à créer une hécatombe humaine.
Recluses, fourbues, épuisées c’est plus de 350 personnes, à bout de force, sur les genoux qui attendent que Ouattara les libère pour gagner leur domicile.
Au Golf, la mort rode dans chaque recoin, rien que pour le poste de Ouattara.
Vivement qu’on crée un corridor humanitaire pour que ces enfants et femmes qui ne demandent que ça puissent rejoindre les leurs. Le chef de l’Etat le leur avait déjà proposé.
Ange Marie Ibo Djêgba
