Le ministre de l`Information de Sierra Leone, dont le pays fait partie des médiateurs régionaux dans la crise ivoienne, a averti vendredi que la rencontre prévue lundi avec Laurent Gbagbo sera la "dernière", en espérant que le président sortant démissionnerait ensuite.
"Nous retournons à Abidjan le 3 janvier pour une dernière rencontre avec le président Gbagbo. Nous espérons qu`après cette rencontre il sera persuadé
qu`il lui faut démissionner", a dit le ministre Ibrahim Ben Kargbo à la presse.
Les chefs d`Etat de Sierra Leone, du Bénin et du Cap-Vert doivent se rendre de nouveau lundi à Abidjan pour convaincre le président sortant de céder le
pouvoir à son rival Alassane Ouattara, après une première tentative infructueuse cette semaine.
Ils sont mandatés par la Communauté économique des Etats d`Afrique de l`Ouest (Cédéao) qui reconnait M. Ouattara vainqueur de la présidentielle du
28 novembre et a évoqué la possibilité d`une intervention militaire contre M. Gbagbo.
M. Kargbo a estimé que la première mission de la Cédéao mardi "n`avait pas débouché sur une impasse mais que nous avions besoin de clarifier une chose ou deux".
Il a ajouté qu`au cours des premières discussions, "M. Ouattara avait accepté de se montrer suffisamment magnanime s`il parvenait au pouvoir pour
permettre à M. Gbagbo de bénéficier de tous les avantages d`un ancien président. Il a aussi promis que sa sécurité serait assurée"
"Nous retournons à Abidjan le 3 janvier pour une dernière rencontre avec le président Gbagbo. Nous espérons qu`après cette rencontre il sera persuadé
qu`il lui faut démissionner", a dit le ministre Ibrahim Ben Kargbo à la presse.
Les chefs d`Etat de Sierra Leone, du Bénin et du Cap-Vert doivent se rendre de nouveau lundi à Abidjan pour convaincre le président sortant de céder le
pouvoir à son rival Alassane Ouattara, après une première tentative infructueuse cette semaine.
Ils sont mandatés par la Communauté économique des Etats d`Afrique de l`Ouest (Cédéao) qui reconnait M. Ouattara vainqueur de la présidentielle du
28 novembre et a évoqué la possibilité d`une intervention militaire contre M. Gbagbo.
M. Kargbo a estimé que la première mission de la Cédéao mardi "n`avait pas débouché sur une impasse mais que nous avions besoin de clarifier une chose ou deux".
Il a ajouté qu`au cours des premières discussions, "M. Ouattara avait accepté de se montrer suffisamment magnanime s`il parvenait au pouvoir pour
permettre à M. Gbagbo de bénéficier de tous les avantages d`un ancien président. Il a aussi promis que sa sécurité serait assurée"