De toutes les parties de la Côte d'Ivoire, l'ouest est la région la plus exposée à la violence du fait du fanatisme sans borne des partisans de Laurent Gbagbo. Avec la crise post-électorale, les vieux démons de la violence sont de retour, et il ne se passe pas un jour sans que des indices de préparatifs d'un sanglant règlement de comptes ne soit perceptible.
Depuis le 28 novembre, et même avant, des partisans Lmp faisaient peser des menaces de représailles sur des hommes et femmes soupçonnés de ne pas avoir voté pour Gbagbo. Certaines ont été concrétisées par des attaques en règle, des incendies des campements et villages. Mais, tout indique que le pire reste à venir. Avec la crise post-électorale, des indiscrétions font état de ce qu'un véritable génocide se prépare contre tous ceux qui n'ont pas voté pour Laurent Gbagbo. Des menaces sont ouvertement faites et à visage découvert, contre des militants du Rhdp ou des supposés électeurs de Ouattara : " S'il enlève Gbagbo, vous allez voir, on va vous tuer tous ici. C'est vous qui avez voté pour ce type et les gens disent qu'il a gagné… ". Or, tout indique, tant sur le plan national qu'international, que Gbagbo va céder le pouvoir. Alors, en prévision à la mise en pratique de leurs menaces, des villages sont sillonnés par des radicaux de Lmp pour recenser et établir dans le plus grand secret des listes de personnes ayant voté pour Ouattara et donc passibles de représailles. Des pontes de Lmp sont sur place avec de gros moyens. Ils recrutent, forment et entretiennent des miliciens qui seront armés contre ces populations ciblées. La terreur s'installe. Déjà, des exactions sur les populations sont commises par ces hommes en armes recrutés et entraînés. Ce sont ces populations désemparées qui fuient actuellement, par centaines, voire par milliers, la Côte d'Ivoire pour se réfugier dans les pays voisins de l'Ouest comme le Liberia, la Guinée. Vivement que des mesures appropriées soient prises pour qu'au moment où Laurent Gbagbo quittera le pouvoir, les miliciens et autres tueurs de Lmp ne mettent pas à exécution leur plan d'extermination des paisibles populations qui n'ont pas pu fuir. Surtout que dans les coulisses de Lmp, il se raconte que l'Ouest pourrait être la base de lancement d'un mouvement armé de résistance à la démocratie.
OC
Depuis le 28 novembre, et même avant, des partisans Lmp faisaient peser des menaces de représailles sur des hommes et femmes soupçonnés de ne pas avoir voté pour Gbagbo. Certaines ont été concrétisées par des attaques en règle, des incendies des campements et villages. Mais, tout indique que le pire reste à venir. Avec la crise post-électorale, des indiscrétions font état de ce qu'un véritable génocide se prépare contre tous ceux qui n'ont pas voté pour Laurent Gbagbo. Des menaces sont ouvertement faites et à visage découvert, contre des militants du Rhdp ou des supposés électeurs de Ouattara : " S'il enlève Gbagbo, vous allez voir, on va vous tuer tous ici. C'est vous qui avez voté pour ce type et les gens disent qu'il a gagné… ". Or, tout indique, tant sur le plan national qu'international, que Gbagbo va céder le pouvoir. Alors, en prévision à la mise en pratique de leurs menaces, des villages sont sillonnés par des radicaux de Lmp pour recenser et établir dans le plus grand secret des listes de personnes ayant voté pour Ouattara et donc passibles de représailles. Des pontes de Lmp sont sur place avec de gros moyens. Ils recrutent, forment et entretiennent des miliciens qui seront armés contre ces populations ciblées. La terreur s'installe. Déjà, des exactions sur les populations sont commises par ces hommes en armes recrutés et entraînés. Ce sont ces populations désemparées qui fuient actuellement, par centaines, voire par milliers, la Côte d'Ivoire pour se réfugier dans les pays voisins de l'Ouest comme le Liberia, la Guinée. Vivement que des mesures appropriées soient prises pour qu'au moment où Laurent Gbagbo quittera le pouvoir, les miliciens et autres tueurs de Lmp ne mettent pas à exécution leur plan d'extermination des paisibles populations qui n'ont pas pu fuir. Surtout que dans les coulisses de Lmp, il se raconte que l'Ouest pourrait être la base de lancement d'un mouvement armé de résistance à la démocratie.
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