«Le Charbon», maquis à ciel ouvert, non loin de l’Institut national de la jeunesse et des sports (INJS), à Marcory, bien connu des abidjanais, singulièrement des jeunes
«branchés» de cette commune, espace de rencontre d’artistes de renom, n’a pas attendu la nuit de la Saint-Sylvestre pour annoncer la couleur. Déjà à 16 heures, ce maquis-restaurant était plein à craquer. Vin mousseux, champagne, liqueur…, le moins qu’on puisse dire, c’est que les tables étaient bien garnies. Un maquis qui s’est tranformé pour la circonstance en boîte de nuit à ciel ouvert. Les fêtards n’ont vraiment pas boudé leur plaisir à l’instar du journaliste Claude Tamoh, des fondateurs d’école Babo Kosso et Haïlé et d’autres VIP. La nuit de la Saint-Sylvestre a été aussi bien fêtée à Cocody qu’à Marcory, notamment à l’allocodrome, au restaurant
«Poulet show» de la Riviera. Bras dessus, bras dessous, de nombreux jeunes « tourtereaux» se sont offert du machoiron ou du poulet piqué, très prisé en ce moment par les abidjanais. A Adjamé, les deux restaurants «Hassan» spécialisés dans le charwama, un met typiquement libanais, ont été pris d’assaut par les friands de plats du moyen orient. Cap sur la commune de la joie, Yopougon. C’est le record ! Les maquis bars, restaurants, bars-dancing et boîtes de nuit, «gradés» ou «sans grade», ont fait le plein. Les célèbres boîtes de nuit «Booster», « Tunnel bar » et le maquis- restaurant « Boulevard des stars» situés au quartier Maroc ont refusé du monde. La Saint-Sylvestre, c’était aussi et surtout à la fameuse rue Princesse, l’un des hauts lieux de la prostitution, du sexe et de l’alcool. Une nuit de « folie» dans les célèbres boîtes de nuit «le Cristal», «Cyclone», « le Must »…C’est un monde fou qui a investi cette rue envahie par de nombreuses prostituées, abonnées au grand rendez-vous de la joie et des plaisirs. La Saint-Sylvestre, c’était aussi et surtout dans les ménages où l’ambiance était bon enfant à l’instar de celui du couple Koupo à la 8ème tranche à Cocody. M. Koupo Gnoléba Martin, DG au ministère de la Construction et de l’Urbanisme (convalescent) et son épouse ont partagé un repas copieux accompagné du bon vin, avec de nombreux parents et amis. Leurs nombreux hôtes ont dansé et chanté au son de la musique du terroir bété et guéré. Le rire et la gaieté ont meublé le jour du nouvel an chez les Koupo. Dans les ménages, on a beaucoup prié pour que le retour de la paix soit définitif. Les églises ont été également prises d’assaut par des milliers de fidèles qui ont prié pour que Dieu chasse de la Côte d’Ivoire et des esprits tous ces démons qui veulent faire de ce pays, un Rwanda bis.
Charles Bédé
«branchés» de cette commune, espace de rencontre d’artistes de renom, n’a pas attendu la nuit de la Saint-Sylvestre pour annoncer la couleur. Déjà à 16 heures, ce maquis-restaurant était plein à craquer. Vin mousseux, champagne, liqueur…, le moins qu’on puisse dire, c’est que les tables étaient bien garnies. Un maquis qui s’est tranformé pour la circonstance en boîte de nuit à ciel ouvert. Les fêtards n’ont vraiment pas boudé leur plaisir à l’instar du journaliste Claude Tamoh, des fondateurs d’école Babo Kosso et Haïlé et d’autres VIP. La nuit de la Saint-Sylvestre a été aussi bien fêtée à Cocody qu’à Marcory, notamment à l’allocodrome, au restaurant
«Poulet show» de la Riviera. Bras dessus, bras dessous, de nombreux jeunes « tourtereaux» se sont offert du machoiron ou du poulet piqué, très prisé en ce moment par les abidjanais. A Adjamé, les deux restaurants «Hassan» spécialisés dans le charwama, un met typiquement libanais, ont été pris d’assaut par les friands de plats du moyen orient. Cap sur la commune de la joie, Yopougon. C’est le record ! Les maquis bars, restaurants, bars-dancing et boîtes de nuit, «gradés» ou «sans grade», ont fait le plein. Les célèbres boîtes de nuit «Booster», « Tunnel bar » et le maquis- restaurant « Boulevard des stars» situés au quartier Maroc ont refusé du monde. La Saint-Sylvestre, c’était aussi et surtout à la fameuse rue Princesse, l’un des hauts lieux de la prostitution, du sexe et de l’alcool. Une nuit de « folie» dans les célèbres boîtes de nuit «le Cristal», «Cyclone», « le Must »…C’est un monde fou qui a investi cette rue envahie par de nombreuses prostituées, abonnées au grand rendez-vous de la joie et des plaisirs. La Saint-Sylvestre, c’était aussi et surtout dans les ménages où l’ambiance était bon enfant à l’instar de celui du couple Koupo à la 8ème tranche à Cocody. M. Koupo Gnoléba Martin, DG au ministère de la Construction et de l’Urbanisme (convalescent) et son épouse ont partagé un repas copieux accompagné du bon vin, avec de nombreux parents et amis. Leurs nombreux hôtes ont dansé et chanté au son de la musique du terroir bété et guéré. Le rire et la gaieté ont meublé le jour du nouvel an chez les Koupo. Dans les ménages, on a beaucoup prié pour que le retour de la paix soit définitif. Les églises ont été également prises d’assaut par des milliers de fidèles qui ont prié pour que Dieu chasse de la Côte d’Ivoire et des esprits tous ces démons qui veulent faire de ce pays, un Rwanda bis.
Charles Bédé
