A l'issue du deuxième sommet extraordinaire sur la Côte d'Ivoire, le 28 Décembre 2010 à Abuja, les chefs d'Etat du bloc des quinze avaient enjoint Laurent Gbagbo de céder le pouvoir, sous peine d'une intervention militaire. Depuis, la menace du recours à la force est moins audible. Si tous les chefs d'Etat souhaitent que Laurent Gbagbo quitte le pouvoir, l'option militaire divise. En tous les cas, elle ne figure pas dans le communiqué conjoint de la Cédéao et de l'UA, publié au retour d'Abidjan des trois dirigeants de la Cédéao et du Premier ministre Kenyan Raila Odinga. Le Nigeria, qui assume la présidence tournante de la Cédéao, a le plus prôné l'intervention militaire, mais il n'est pas seul et surtout, il est en proie à des défis dans son propre pays.
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