La Côte d’Ivoire au lendemain du décès du père de la Nation Félix Houphouët-Boigny le 07 décembre 1993 est plongée dans une crise sans précédent. Les événements de décembre 1999, d’octobre 2000 et de septembre 2002 sont quelques faits graves ayant bouleversé notre pays.
Pour mettre un terme à plus d’une décennie d’antagonisme, les Ivoiriens et l monde entier ont estimé que l’organisation d’élections justes, libres et transparentes constituaient le véritable remède au conflit.
Pour ce faire, la conduite et l’encadrement du processus de sortie de crise passaient par la mise en place et la signature d’une kyrielle d’accords internationaux. Ce qui a donc permit après plusieurs reports voulus et entretenus par monsieur Laurent Gbagbo la tenue en 2010 du premier scrutin libre et démocratique dans l’histoire politique de notre pays.
Après les premier et second tours du scrutin présidentiel en Côte d’Ivoire, le CNJ a constaté ce qui suit :
un fort taux de participation ;
l’absence d’incidents majeurs ;
l’implication effective des acteurs politiques, de la société civile et de la communauté internationale ;
l’impartialité de la CEI et du CCI ;
la neutralité et le professionnalisme des medias publics ;
En revanche, des actes anti-démocratiques ont été perpétrés à l’ouest du pays. Il s’agit :
a pression et les menaces exercées par le corps préfectoral et la chefferie traditionnelle sur les militants du RHDP ;
les arrestations arbitraires de militants du RHDP dans les départements de Guiglo, Issia, Gagnoa et Divo ;
les tueries et incendies de campements du groupe ethnique baoulé à Soubré, Lakota et Bouaflé ;
la passivité des FDS ;
l’achat de conscience ;
le braquage des urnes…
Fort de tous ces actes très graves, le deuxième tour du scrutin s’est déroulé dans un esprit acceptable le dimanche 28 novembre 2010 avec un taux de participation historique. Cela traduit la ferme volonté des Ivoiriens à opérer un grand changement après tant d’années de souffrance.
Présenté comme le candidat de l’extérieur puis du Nord de la Côte d’Ivoire, le candidat du RHDP Alassane OUATTARA sans grande surprise a prouvé aux tenants de ces thèses et au reste du monde entier qu’il reste et demeure le candidat voulu et choisi par les Ivoiriens d’ici et d’ailleurs.
Les résultats proclamés le jeudi 02 novembre 2010 par la Commission Electorale Indépendante(CEI) et certifiés par le représentant du Secrétaire Général de l’ONU en Côte d’Ivoire le samedi 04 novembre 2010 confirment la popularité de monsieur Alassane OUATTARA avec 54,10% des voix.
C’est le lieu de féliciter le nouveau président élu de la République de Côte d’Ivoire, SEM Alassane OUATTARA pour sa brillante victoire au soir du 28 novembre 2010.
Malgré la reconnaissance de cette victoire par le MONDE ENTIER, le candidat malheureux Laurent Gbagbo fait de la résistance et du braquage politique. Bandant ses muscles contre le MONDE ENTIER
le dictateur refuse d’entendre raison et s’adonne comme un lion blessé a des assassinats et enlèvements d’Ivoiriens et des ressortissants de la sous-région vivant sur la partie du territoire qu’il contrôlait.
Les évènements de Duékoué dans le Moyen-Cavally avec leur corollaire de morts, de blessés, de dégâts matériels et de déplacés internes constituent un énième acte posé par l’ex. président Laurent Gbagbo pour endeuiller les Ivoiriens.
Face à cette barbarie et au refus du dictateur de quitter le palais qu’il occupe illegalement, le CNJ demande à la CEDEAO l’usage de la force pour déloger ce dictateur atypique du palais.
Le CNJ condamne les massacres injustifiés des populations par des groupes paramilitaires composés de libériens et d’angolais avec la complicité de certains éléments zélés de notre armée.
Le CNJ tient monsieur Gbagbo Laurent pour responsable de cette tragédie macabre.
Le CNJ invite les généraux de notre armée à arrêter l’ex. président dans sa folie meurtrière et les tiendra pour responsables si rien n’est fait.
Le CNJ demande à certains évêques catholiques de se comporter en des hommes de Dieu et non en des militants lmp. Il(CNJ) les invite à se conformer au verdict des urnes reconnu par tous plutôt qu’à des considérations dépourvues de valeur.
Le CNJ soutien le mot d’ordre de désobéissance civile du gouvernement légitime et légale du Premier Ministre Guillaume SORO et appelle tous ses membres et sympathisants à le respecter scrupuleusement.
Le CNJ demande à ses membres et sympathisants à s’organiser à tous les niveaux avec tous les moyens afin d’obtenir le départ sans condition du candidat malheureux Laurent Gbagbo.
Le CNJ invite tous les jeunes ivoiriens et de la sous-région à dire non au recrutement militaire de monsieur Laurent Gbagbo.
Le CNJ félicite et soutient la CEDEAO, l’UA, l’UE et l’ONU pour leur appui et aide vis-à-vis du peuple ivoirien et de son Président Alassane OUATTARA.
Enfin, le CNJ renouvelle ses vives félicitations à SEM Alassane OUATTARA et l’exhorte à prendre dans un bref délai ses responsabilités pour lesquelles il a été élu par les Ivoiriens pour faire partir le dictateur et putschiste Laurent Gbagbo du palais qu’il squatte illégalement.
Fait à Abidjan le 10 Janvier 2011
Pour le BEN du CNJ
Le Président National
TIEDE Robinson
08 85 89 68/02 43 88 56
Pour mettre un terme à plus d’une décennie d’antagonisme, les Ivoiriens et l monde entier ont estimé que l’organisation d’élections justes, libres et transparentes constituaient le véritable remède au conflit.
Pour ce faire, la conduite et l’encadrement du processus de sortie de crise passaient par la mise en place et la signature d’une kyrielle d’accords internationaux. Ce qui a donc permit après plusieurs reports voulus et entretenus par monsieur Laurent Gbagbo la tenue en 2010 du premier scrutin libre et démocratique dans l’histoire politique de notre pays.
Après les premier et second tours du scrutin présidentiel en Côte d’Ivoire, le CNJ a constaté ce qui suit :
un fort taux de participation ;
l’absence d’incidents majeurs ;
l’implication effective des acteurs politiques, de la société civile et de la communauté internationale ;
l’impartialité de la CEI et du CCI ;
la neutralité et le professionnalisme des medias publics ;
En revanche, des actes anti-démocratiques ont été perpétrés à l’ouest du pays. Il s’agit :
a pression et les menaces exercées par le corps préfectoral et la chefferie traditionnelle sur les militants du RHDP ;
les arrestations arbitraires de militants du RHDP dans les départements de Guiglo, Issia, Gagnoa et Divo ;
les tueries et incendies de campements du groupe ethnique baoulé à Soubré, Lakota et Bouaflé ;
la passivité des FDS ;
l’achat de conscience ;
le braquage des urnes…
Fort de tous ces actes très graves, le deuxième tour du scrutin s’est déroulé dans un esprit acceptable le dimanche 28 novembre 2010 avec un taux de participation historique. Cela traduit la ferme volonté des Ivoiriens à opérer un grand changement après tant d’années de souffrance.
Présenté comme le candidat de l’extérieur puis du Nord de la Côte d’Ivoire, le candidat du RHDP Alassane OUATTARA sans grande surprise a prouvé aux tenants de ces thèses et au reste du monde entier qu’il reste et demeure le candidat voulu et choisi par les Ivoiriens d’ici et d’ailleurs.
Les résultats proclamés le jeudi 02 novembre 2010 par la Commission Electorale Indépendante(CEI) et certifiés par le représentant du Secrétaire Général de l’ONU en Côte d’Ivoire le samedi 04 novembre 2010 confirment la popularité de monsieur Alassane OUATTARA avec 54,10% des voix.
C’est le lieu de féliciter le nouveau président élu de la République de Côte d’Ivoire, SEM Alassane OUATTARA pour sa brillante victoire au soir du 28 novembre 2010.
Malgré la reconnaissance de cette victoire par le MONDE ENTIER, le candidat malheureux Laurent Gbagbo fait de la résistance et du braquage politique. Bandant ses muscles contre le MONDE ENTIER
le dictateur refuse d’entendre raison et s’adonne comme un lion blessé a des assassinats et enlèvements d’Ivoiriens et des ressortissants de la sous-région vivant sur la partie du territoire qu’il contrôlait.
Les évènements de Duékoué dans le Moyen-Cavally avec leur corollaire de morts, de blessés, de dégâts matériels et de déplacés internes constituent un énième acte posé par l’ex. président Laurent Gbagbo pour endeuiller les Ivoiriens.
Face à cette barbarie et au refus du dictateur de quitter le palais qu’il occupe illegalement, le CNJ demande à la CEDEAO l’usage de la force pour déloger ce dictateur atypique du palais.
Le CNJ condamne les massacres injustifiés des populations par des groupes paramilitaires composés de libériens et d’angolais avec la complicité de certains éléments zélés de notre armée.
Le CNJ tient monsieur Gbagbo Laurent pour responsable de cette tragédie macabre.
Le CNJ invite les généraux de notre armée à arrêter l’ex. président dans sa folie meurtrière et les tiendra pour responsables si rien n’est fait.
Le CNJ demande à certains évêques catholiques de se comporter en des hommes de Dieu et non en des militants lmp. Il(CNJ) les invite à se conformer au verdict des urnes reconnu par tous plutôt qu’à des considérations dépourvues de valeur.
Le CNJ soutien le mot d’ordre de désobéissance civile du gouvernement légitime et légale du Premier Ministre Guillaume SORO et appelle tous ses membres et sympathisants à le respecter scrupuleusement.
Le CNJ demande à ses membres et sympathisants à s’organiser à tous les niveaux avec tous les moyens afin d’obtenir le départ sans condition du candidat malheureux Laurent Gbagbo.
Le CNJ invite tous les jeunes ivoiriens et de la sous-région à dire non au recrutement militaire de monsieur Laurent Gbagbo.
Le CNJ félicite et soutient la CEDEAO, l’UA, l’UE et l’ONU pour leur appui et aide vis-à-vis du peuple ivoirien et de son Président Alassane OUATTARA.
Enfin, le CNJ renouvelle ses vives félicitations à SEM Alassane OUATTARA et l’exhorte à prendre dans un bref délai ses responsabilités pour lesquelles il a été élu par les Ivoiriens pour faire partir le dictateur et putschiste Laurent Gbagbo du palais qu’il squatte illégalement.
Fait à Abidjan le 10 Janvier 2011
Pour le BEN du CNJ
Le Président National
TIEDE Robinson
08 85 89 68/02 43 88 56