L'Union européenne a officiellement approuvé vendredi les sanctions contre Laurent Gbagbo et 84 de ses partisans qui refusent de céder le pouvoir en Côte d'Ivoire, a-t-on appris de source diplomatique.
Les Vingt-Sept s'étaient entendus fin décembre pour infliger un deuxième train de sanctions à Gbagbo et à ses proches, de manière à le contraindre à céder le pouvoir à Alassane Ouattara, considéré par la communauté internationale comme le vainqueur légitime de l'élection présidentielle du 28 novembre dernier.
Les sanctions comprennent l'interdiction de visas vers l'Europe et le gel de leurs avoirs européens, ainsi que le gel des avoirs de onze entités économiques liées au gouvernement de Gbagbo, ont dit des diplomates à Bruxelles.
Les sanctions prendront effet samedi, après leur publication au journal officiel de l'Union européenne. Les premières sanctions concernaient 19 proches de Gbagbo seulement.
Les sanctions de l'Union européenne et des Etats-Unis n'ont pas suffi jusqu'ici à contraindre Gbagbo à quitter le pouvoir.
Les analystes estiment que le dirigeant ivoirien peut tenir plusieurs mois avant de subir les conséquences des sanctions, qui visent à l'isoler financièrement, mais que cette tactique est sûrement la plus efficace pour le faire partir.
Les Vingt-Sept s'étaient entendus fin décembre pour infliger un deuxième train de sanctions à Gbagbo et à ses proches, de manière à le contraindre à céder le pouvoir à Alassane Ouattara, considéré par la communauté internationale comme le vainqueur légitime de l'élection présidentielle du 28 novembre dernier.
Les sanctions comprennent l'interdiction de visas vers l'Europe et le gel de leurs avoirs européens, ainsi que le gel des avoirs de onze entités économiques liées au gouvernement de Gbagbo, ont dit des diplomates à Bruxelles.
Les sanctions prendront effet samedi, après leur publication au journal officiel de l'Union européenne. Les premières sanctions concernaient 19 proches de Gbagbo seulement.
Les sanctions de l'Union européenne et des Etats-Unis n'ont pas suffi jusqu'ici à contraindre Gbagbo à quitter le pouvoir.
Les analystes estiment que le dirigeant ivoirien peut tenir plusieurs mois avant de subir les conséquences des sanctions, qui visent à l'isoler financièrement, mais que cette tactique est sûrement la plus efficace pour le faire partir.