La machine judiciaire est lancée. Dix jours après la mise à l’écart de trois de ses cadres, le constructeur Renault a annoncé qu’il avait porté plainte contre X auprès du parquet de Paris ce jeudi.
Outre l’«espionnage industriel», la «corruption», l’«abus de confiance», le «vol et recel commis en bande organisée», la plainte vise aussi la «fourniture d’éléments intéressant le secret économique français à une puissance étrangère» a déclaré le procureur de Paris, Jean-Claude Marin. Il a précisé que la marque au losange ne citait que des «personnes morales de droit privé».
Outre l’«espionnage industriel», la «corruption», l’«abus de confiance», le «vol et recel commis en bande organisée», la plainte vise aussi la «fourniture d’éléments intéressant le secret économique français à une puissance étrangère» a déclaré le procureur de Paris, Jean-Claude Marin. Il a précisé que la marque au losange ne citait que des «personnes morales de droit privé».