Aux côtés de la sélection cadette, le président de la FIF, Jacques Anouma, avant la sortie décisive de l’équipe pour la demi-finale, demain face à la sélection rwandaise, juge les gosses et se prononce sur l’enjeu du match.
C’est ce qu’on appelle le match de la vie d’un club ou d’une génération. Et celui que va livrer l’équipe nationale cadette de Côte d’Ivoire, demain, contre le Rwanda est en un. Le match qui les rapproche de leur second objectif dans cette compétition : la finale. Contre la Gambie, ils ont été héroïques. Formidables. A tout point de vue. Une prestation qui n’a pas laissé indifférent le président de la Fédération ivoirienne de football(FIF), Jacques Anouma. Le patron du football national porte un jugement de valeur sur les gamins. « Je tiens à saluer la brillante qualification de nos cadets qui se qualifient en même temps pour la seconde fois pour le Mondial depuis que je dirige la Fédération. Après 2005, c’est la deuxième fois que nos moins de 17 ans vont participer à un Mondial. Ma joie est immense. Je tiens surtout à saluer l’engagement et le courage de ces garçons qui ne m’ont pas fait mentir. J’avais dit qu’ils avaient tous les atouts pour aller loin dans cette compétition. Ils l’ont amplement démontré face à la Gambie que certains présentaient à tort ou à raison comme un épouvantail. En tout cas, s’ils font preuve de la même abnégation, de la même générosité, de la même solidarité, ils ont leur destin entre leurs mains dans cette compétition. Je suis heureux et fier d’autant que j’’espère que cette qualification apportera un peu de baume au cœur de mes compatriotes en ces période difficiles que traverse la Côte d’Ivoire. J’ai une pensée profonde pour les Ivoiriens et je leur dédie cette qualification. Encore bravo aux garçons ». Anouma a donné le ton pour le match de demain. A Alain Gouamené et ses garçons de bander leurs muscles pour relever le défi face au pays organisateur, pas toujours facile à jouer à ce stade de la compétition. Le Burkina et le Congo disputent la première demi-finale aujourd’hui.
Tibet Kipré
C’est ce qu’on appelle le match de la vie d’un club ou d’une génération. Et celui que va livrer l’équipe nationale cadette de Côte d’Ivoire, demain, contre le Rwanda est en un. Le match qui les rapproche de leur second objectif dans cette compétition : la finale. Contre la Gambie, ils ont été héroïques. Formidables. A tout point de vue. Une prestation qui n’a pas laissé indifférent le président de la Fédération ivoirienne de football(FIF), Jacques Anouma. Le patron du football national porte un jugement de valeur sur les gamins. « Je tiens à saluer la brillante qualification de nos cadets qui se qualifient en même temps pour la seconde fois pour le Mondial depuis que je dirige la Fédération. Après 2005, c’est la deuxième fois que nos moins de 17 ans vont participer à un Mondial. Ma joie est immense. Je tiens surtout à saluer l’engagement et le courage de ces garçons qui ne m’ont pas fait mentir. J’avais dit qu’ils avaient tous les atouts pour aller loin dans cette compétition. Ils l’ont amplement démontré face à la Gambie que certains présentaient à tort ou à raison comme un épouvantail. En tout cas, s’ils font preuve de la même abnégation, de la même générosité, de la même solidarité, ils ont leur destin entre leurs mains dans cette compétition. Je suis heureux et fier d’autant que j’’espère que cette qualification apportera un peu de baume au cœur de mes compatriotes en ces période difficiles que traverse la Côte d’Ivoire. J’ai une pensée profonde pour les Ivoiriens et je leur dédie cette qualification. Encore bravo aux garçons ». Anouma a donné le ton pour le match de demain. A Alain Gouamené et ses garçons de bander leurs muscles pour relever le défi face au pays organisateur, pas toujours facile à jouer à ce stade de la compétition. Le Burkina et le Congo disputent la première demi-finale aujourd’hui.
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