Après le tournoi dit des «Africains» organisé par la Ligue professionnelle de foot de la Fif, Sébastien Desabre, le nouveau coach de l’Asec Mimosas, estime que son équipe est prête à attaquer l’Afrique.
Que retenez-vous après votre premier derby Asec-Africa qui s’est soldé par un match nul, 0-0 ?
Je retiens que nous avons joué contre l’Africa à 10 contre 11 pendant près de 75 minutes.
Physiquement, nous avons bien travaillé. C’est un bon point. Je suis déçu parce qu’on n’a pas gagné mais je suis content de la combativité des garçons qui ont compris ce que cela signifie de porter le maillot de l’Asec.
Comment expliquez-vous le fait que votre attaque inscrit seulement deux buts en trois sorties ?
Cela est dû au fait que nous laissons le monopole du ballon à l’Africa car en infériorité numérique. Après, en football, l’enthousiasme offensif exigé vient progressivement. A Sol béni, nous travaillons beaucoup devant le but et j’ai confiance en mes joueurs.
Que pensez-vous de l’équipe de l’Africa Sports ?
L’Africa Sports est une équipe solide qui évolue avec beaucoup de force. Ce genre d’adversaire à sa place dans le football. L’impact physique de l’Africa est très impressionnant. C’est une belle équipe !
Comment avez-vous vécu votre premier derby Asec-Africa ?
Il y a beaucoup d’intensité sur le terrain. Tout s’est déroulé dans un bon état d’esprit et c’est le plus important. C’est toujours agréable pour les joueurs, les entraîneurs et même les spectateurs de vivre de tels matches.
Quelle leçon tirez-vous du tournoi ?
J’ai pu me rendre compte de beaucoup de choses. J’ai vu mon groupe dans la difficulté. C’est aussi un bon point. Je regrette de ne pas avoir eu un dernier match pour voir d’autres joueurs en situation de jeu. On va s’adapter. Et pour moi, ce tournoi des «Africains» est suffisant pour aborder la Ligue des champions ce week-end.
Après ces trois matches de mise en jambe, êtes-vous prêts à recevoir le champion mauritanien en Ligue des champions, dimanche prochain ?
Physiquement et dans les têtes, nous sommes prêts à relever ce défi. Nous avons encore une semaine de travail pour bien nous préparer et je suis certain que nous serons prêts pour dimanche.
Entretien réalisé par
Eugène Djabia
Que retenez-vous après votre premier derby Asec-Africa qui s’est soldé par un match nul, 0-0 ?
Je retiens que nous avons joué contre l’Africa à 10 contre 11 pendant près de 75 minutes.
Physiquement, nous avons bien travaillé. C’est un bon point. Je suis déçu parce qu’on n’a pas gagné mais je suis content de la combativité des garçons qui ont compris ce que cela signifie de porter le maillot de l’Asec.
Comment expliquez-vous le fait que votre attaque inscrit seulement deux buts en trois sorties ?
Cela est dû au fait que nous laissons le monopole du ballon à l’Africa car en infériorité numérique. Après, en football, l’enthousiasme offensif exigé vient progressivement. A Sol béni, nous travaillons beaucoup devant le but et j’ai confiance en mes joueurs.
Que pensez-vous de l’équipe de l’Africa Sports ?
L’Africa Sports est une équipe solide qui évolue avec beaucoup de force. Ce genre d’adversaire à sa place dans le football. L’impact physique de l’Africa est très impressionnant. C’est une belle équipe !
Comment avez-vous vécu votre premier derby Asec-Africa ?
Il y a beaucoup d’intensité sur le terrain. Tout s’est déroulé dans un bon état d’esprit et c’est le plus important. C’est toujours agréable pour les joueurs, les entraîneurs et même les spectateurs de vivre de tels matches.
Quelle leçon tirez-vous du tournoi ?
J’ai pu me rendre compte de beaucoup de choses. J’ai vu mon groupe dans la difficulté. C’est aussi un bon point. Je regrette de ne pas avoir eu un dernier match pour voir d’autres joueurs en situation de jeu. On va s’adapter. Et pour moi, ce tournoi des «Africains» est suffisant pour aborder la Ligue des champions ce week-end.
Après ces trois matches de mise en jambe, êtes-vous prêts à recevoir le champion mauritanien en Ligue des champions, dimanche prochain ?
Physiquement et dans les têtes, nous sommes prêts à relever ce défi. Nous avons encore une semaine de travail pour bien nous préparer et je suis certain que nous serons prêts pour dimanche.
Entretien réalisé par
Eugène Djabia
