La décision du Gouverneur par intérim de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), M. Jean Baptiste-Compaoré de fermer toutes les agences de l’institution en Côte d’Ivoire pour une question de sécurité n’a pas été suivie. Hier, matin, la principale agence de la BCEAO d’Abidjan a ouvert ses portes comme d’habitude. Des mouvements de ‘’va et vient’’ ont été constatés. Cependant, des dispositions sécuritaires particulières ont été prises pour éviter que d’autres forces viennent s’interposer. Cette présence massive des FDS serait une contre-attaque à l’appel du gouverneur par intérim de la BCEAO, en l’occurrence Jean Baptiste-Compaoré. D’où le détachement hier, aux alentours de l’Agence de la BCEAO d’Abidjan, de plusieurs unités de la police nationale, aidées par des éléments de la gendarmerie. Armes au poing, les hommes en tenue, en mission veillaient au grain sur tous les mouvements suspects autour de l’institution.
Selon des échos venant de l’intérieur du pays, l’agence de San-Pedro a également ouvert hier. Au-delà de ce que l’on pourrait qualifier de ‘’prolongation de la guerre de reconnaissance de signature à la BCEAO’’, les partisans et militants de la Majorité présidentielle démontrent qu’ils ne sont pas prêts à abandonner le pouvoir. Les conséquences de cette guerre de reconnaissance de la signature à la BCEAO se traduisent par des mesures de représailles contre l’économie ivoirienne.
Puisque, outre la sanction de l’Union européennes interdisant l’escale des navires européens dans les ports ivoiriens, le cacao ivoirien reste frappé de mesure d’interdiction d’exportation.
H.K
Selon des échos venant de l’intérieur du pays, l’agence de San-Pedro a également ouvert hier. Au-delà de ce que l’on pourrait qualifier de ‘’prolongation de la guerre de reconnaissance de signature à la BCEAO’’, les partisans et militants de la Majorité présidentielle démontrent qu’ils ne sont pas prêts à abandonner le pouvoir. Les conséquences de cette guerre de reconnaissance de la signature à la BCEAO se traduisent par des mesures de représailles contre l’économie ivoirienne.
Puisque, outre la sanction de l’Union européennes interdisant l’escale des navires européens dans les ports ivoiriens, le cacao ivoirien reste frappé de mesure d’interdiction d’exportation.
H.K