Il s'agit de la quatrième déclaration d'Alpha Blondy depuis le 28 novembre 2010 sur la situation en Côte d'Ivoire.
A son excellence Alassane Ouattara,
A son excellence Laurent Gbagbo
A monsieur Jonathan Goodluck,
A monsieur Ban Ki-Moon,
A monsieur Choi,
Je vous demande de surseoir à l’usage de la force militaire. Accordez-moi une chance de rencontrer et de discuter avec le président Gbagbo, le président Ouattara, avec mes jeunes frères le Premier ministre Soro Guillaume et Charles Blé Goudé, avec le général Mangou et le général Bakayoko avant que vous ne preniez toute initiative.
Permettez-moi d’insister s’il vous plait.
S’il est vrai que toute guerre finit par des négociations, accordez-moi la chance de cette ultime négociation préalable à la guerre.
En tant qu’Ivoirien, je ne peux accepter de sacrifier des vies. La Côte d’Ivoire a déjà trop saigné. Faites-moi confiance, j’essaierai d’être juste.
En tant qu’Ivoirien, je ne peux accepter de me résigner à une issue sanglante à cette crise, alors que je me suis donné corps et âme à sa résolution.
Je suis dioula, je suis baoulé, je suis bété par alliance, je suis guéré par alliance, je suis sénoufo, je suis tagbana. Je ne peux donc que m’investir corps et âme pour que cette crise se résolve sans bain de sang.
Accordez-moi cette chance. Je veux rencontrer une fois de plus les acteurs qui peuvent encore m’aider et aider la Côte d’Ivoire à trouver une issue pacifique et à préserver les vies ivoiriennes, quelle que soit leur appartenance ethnique ou politique.
A toutes celles et tous ceux susceptibles de m’aider dans cette mission périlleuse, aidez-moi.
Aide-moi Seigneur.
Votre serviteur Seydou Koné dit Alpha Blondy.
Je vous en supplie, ne la faites pas, cette guerre.
A son excellence Alassane Ouattara,
A son excellence Laurent Gbagbo
A monsieur Jonathan Goodluck,
A monsieur Ban Ki-Moon,
A monsieur Choi,
Je vous demande de surseoir à l’usage de la force militaire. Accordez-moi une chance de rencontrer et de discuter avec le président Gbagbo, le président Ouattara, avec mes jeunes frères le Premier ministre Soro Guillaume et Charles Blé Goudé, avec le général Mangou et le général Bakayoko avant que vous ne preniez toute initiative.
Permettez-moi d’insister s’il vous plait.
S’il est vrai que toute guerre finit par des négociations, accordez-moi la chance de cette ultime négociation préalable à la guerre.
En tant qu’Ivoirien, je ne peux accepter de sacrifier des vies. La Côte d’Ivoire a déjà trop saigné. Faites-moi confiance, j’essaierai d’être juste.
En tant qu’Ivoirien, je ne peux accepter de me résigner à une issue sanglante à cette crise, alors que je me suis donné corps et âme à sa résolution.
Je suis dioula, je suis baoulé, je suis bété par alliance, je suis guéré par alliance, je suis sénoufo, je suis tagbana. Je ne peux donc que m’investir corps et âme pour que cette crise se résolve sans bain de sang.
Accordez-moi cette chance. Je veux rencontrer une fois de plus les acteurs qui peuvent encore m’aider et aider la Côte d’Ivoire à trouver une issue pacifique et à préserver les vies ivoiriennes, quelle que soit leur appartenance ethnique ou politique.
A toutes celles et tous ceux susceptibles de m’aider dans cette mission périlleuse, aidez-moi.
Aide-moi Seigneur.
Votre serviteur Seydou Koné dit Alpha Blondy.
Je vous en supplie, ne la faites pas, cette guerre.