“Si Ouattara vient au pouvoir, nous créons notre rébellion. Gbagbo ou rien". Voilà l’état d’esprit dans lequel ont vécu et continuent de vivre les partisans de l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo. C’est selon cet esprit créé par Laurent Gbagbo lui-même qu’il a confisqué le Palais présidentiel, malgré son échec aux élections du 28 novembre 2010. "Si je laisse le pouvoir, il y aura plus de 10 ans de guerre civile en Côte d’Ivoire", avait lâché le leader de LMP au cours de ses nombreux discours, face aux communautés ivoiriennes et étrangères qui lui avaient rendu visite au Palais, pendant le processus de sortie de crise. C’est pour militer dans la droite ligne de ses prédictions que Gbagbo prépare la guerre civile ou à défaut, mener des actions terroristes dans tout le pays.
Le recrutement de mercenaires et la formation de miliciens sont les preuves tangibles que Gbagbo et son camp préparent un coup contre les Ivoiriens et la démocratie. Voire une guerre civile.
Selon des sources concordantes, depuis les évènements du 28 novembre qui ont fait 7 morts dont 3 à Kononfla, 3 à Sinfra et 1 à Kouetinfla, et plus de 70 blessés dont 14 cas graves, le village de Koblata incendié, un directeur de campagne de Laurent Gbagbo tient à en découdre avec les militants proches du Rhdp. Au prix du sang. C’est pourquoi, explique notre source, ce directeur de campagne (nous taisons sciemment son nom) sillonne les différents villages, entre autres les villages de Bononfla, Prognani, Koblata, Douafla, Djamadji. Et, il motive les jeunes miliciens dont le camp d’entrainement est à Progry (village du Gl Tivoly). Il prend pour prétexte la distribution de dons, composés de 45 sacs de riz que les cadres de ce département offrent aux sinistrés des localités de Koblata et de Prognani (centre-ouest de la région du Marahoué) victimes de violences postélectorales. Il a offert la somme de 2 500 000 Fcfa aux jeunes pour dit-il, "sécuriser" leur village. Une auttre source nous indique que " Lia Bi Douayoua a distribué des armes à feu à des jeunes miliciens en plein conseil général aux environ de 14 heures. Les différents groupes ont quitté les lieux par des véhicules Dyna et ont rejoint leur base". A Dabou, à environs 50km, à l’ouest d’Abidjan, des cadres dénoncent des tueries massives qui seraient programmées par le camp LMP contre les pro-Ouattara.
Pour le District d’Abidjan, "accompagné de son ministre de l`Intérieur Emile Guiriéoulou, du gouverneur du District d`Abidjan Pierre Djédji Amondji, Mme Agoh Marthe, député Fpi, du préfet Sam Etiassé de la Région des lagunes, le président sortant, Laurent Gbagbo, a effectué lundi nuit une tournée dans les villages ébrié de la région de Bingerville. Objectif : battre le rappel de tous les jeunes à qui des armes ont été distribuées afin qu`ils se tiennent prêts à faire la guerre contre les troupes de l`Ecomog déjà positionnées à Bouaké. De fait, depuis quelques semaines, Bingerville est devenue la base arrière de Laurent Gbagbo qui s`y refugie et y passe souvent la nuit en compagnie de quelques proches", a écrit, cette semaine lebanco.net, un journal en ligne en temps réel, très renseigné.
Au vu de ces informations bien fondées, l’on se demanderait si Gbagbo ne prépare pas une rébellion ou des attaques terroristes contre le pouvoir de Ouattara, après qu’il ait libéré le Palais présidentiel?
En vérité, c’est plutôt des actions terroristes qui sont en préparation. Car une rébellion conduite par Gbagbo sera très rapidement maîtrisée. Il n’a aucune base qui fasse frontière avec un pays voisin. Ni le Liberia, ni la Guinée ne peuvent lui servir de bases arrière pour sa rébellion. Il ne maîtrise pas tout l’Ouest qu’il dit abusivement être son fief. Et mieux, l’option de la guerre civile ne réussira pas non plus, car les Ivoiriens ont compris qu’elle ne servirait à rien, sinon, si ce n’est pour détruire leur beau pays. Donc, il ne lui reste que l’option terroriste. Attaquer des populations comme des coupeurs de routes, poser des bombes par endroit. Le tout pour déclencher la colère du peuple ivoirien. Et la confiscation du pouvoir n’est pas fortuite. Il cherche des alliés pour, selon lui, libérer la Côte d’Ivoire et l’Afrique. Cette libération qui s’apparente aux méthodes extrémistes des groupes armées d’Al Qaida semble la seule voie de Gbagbo. Car le réseau de Ben Laden avait déjà mené des actions en sa faveur. Car, il a la même vision (libération totale de l’Afrique des ex-colons) que les branches armées d’extrémistes musulmans (Al Qaida) dirigées par Ben Laden. Et Al Qaida Afrique de l’Ouest(AQAO) situé au Mali et allié aux frères d’Al Qaida Maghreb Islamique (AQMI), tous sous tutelle de l’Al Qaida Afrique (AQA) dirigé par le Chef Al-Sam Van basé en Somalie, à Mogadiscio, avait déjà mis la France et l’ONU en garde contre la recolonisation qu’elles voudraient imposer à la Côte d’Ivoire, et contre tout tort fait à tous les pays d’Afrique. "L’heure est venue pour en finir définitivement avec la Françafrique pour la vraie indépendance en Afrique", avait lancé Cheick El-Izi chef d’Al Qaida Afrique de l’ouest (AQAO) au côté de ses supérieurs à Mogadiscio, pour traiter, dans un sérieux monacal, la crise qui prévaut dans le pays d’Houphouët-Boigny, depuis une décennie, à travers un message posté sur internet et envoyé depuis le 02 décembre 2010, juste après le second tour de l’élection présidentielle du 28 novembre 2010. Le Chef Al Qaida Afrique a, par la suite ajouté que "La guerre des grandes puissances contre l’Afrique est engagée car l’Afrique reste le continent le plus riche du monde. Nous, AQAO branche d’AQA, ne resterons pas silencieux si longtemps face à de telles injustices faites par la France à la Côte d’ivoire, à l’Afrique de l’ouest, à l’Afrique toute entière ". Les groupes Al Qaida d’Afrique se sont dits en alerte pour défendre la Côte d’Ivoire et l’Afrique en général. Alors Gbagbo va-t-il solliciter le groupe de Ben Laden en Afrique ? Toujours est-il que toutes les actions et la vision de Gbagbo ressemblent à tous point de vue à celles d’Al Qaida.
Guy TRESSIA
guy_tressia@yahoo.fr
Le recrutement de mercenaires et la formation de miliciens sont les preuves tangibles que Gbagbo et son camp préparent un coup contre les Ivoiriens et la démocratie. Voire une guerre civile.
Selon des sources concordantes, depuis les évènements du 28 novembre qui ont fait 7 morts dont 3 à Kononfla, 3 à Sinfra et 1 à Kouetinfla, et plus de 70 blessés dont 14 cas graves, le village de Koblata incendié, un directeur de campagne de Laurent Gbagbo tient à en découdre avec les militants proches du Rhdp. Au prix du sang. C’est pourquoi, explique notre source, ce directeur de campagne (nous taisons sciemment son nom) sillonne les différents villages, entre autres les villages de Bononfla, Prognani, Koblata, Douafla, Djamadji. Et, il motive les jeunes miliciens dont le camp d’entrainement est à Progry (village du Gl Tivoly). Il prend pour prétexte la distribution de dons, composés de 45 sacs de riz que les cadres de ce département offrent aux sinistrés des localités de Koblata et de Prognani (centre-ouest de la région du Marahoué) victimes de violences postélectorales. Il a offert la somme de 2 500 000 Fcfa aux jeunes pour dit-il, "sécuriser" leur village. Une auttre source nous indique que " Lia Bi Douayoua a distribué des armes à feu à des jeunes miliciens en plein conseil général aux environ de 14 heures. Les différents groupes ont quitté les lieux par des véhicules Dyna et ont rejoint leur base". A Dabou, à environs 50km, à l’ouest d’Abidjan, des cadres dénoncent des tueries massives qui seraient programmées par le camp LMP contre les pro-Ouattara.
Pour le District d’Abidjan, "accompagné de son ministre de l`Intérieur Emile Guiriéoulou, du gouverneur du District d`Abidjan Pierre Djédji Amondji, Mme Agoh Marthe, député Fpi, du préfet Sam Etiassé de la Région des lagunes, le président sortant, Laurent Gbagbo, a effectué lundi nuit une tournée dans les villages ébrié de la région de Bingerville. Objectif : battre le rappel de tous les jeunes à qui des armes ont été distribuées afin qu`ils se tiennent prêts à faire la guerre contre les troupes de l`Ecomog déjà positionnées à Bouaké. De fait, depuis quelques semaines, Bingerville est devenue la base arrière de Laurent Gbagbo qui s`y refugie et y passe souvent la nuit en compagnie de quelques proches", a écrit, cette semaine lebanco.net, un journal en ligne en temps réel, très renseigné.
Au vu de ces informations bien fondées, l’on se demanderait si Gbagbo ne prépare pas une rébellion ou des attaques terroristes contre le pouvoir de Ouattara, après qu’il ait libéré le Palais présidentiel?
En vérité, c’est plutôt des actions terroristes qui sont en préparation. Car une rébellion conduite par Gbagbo sera très rapidement maîtrisée. Il n’a aucune base qui fasse frontière avec un pays voisin. Ni le Liberia, ni la Guinée ne peuvent lui servir de bases arrière pour sa rébellion. Il ne maîtrise pas tout l’Ouest qu’il dit abusivement être son fief. Et mieux, l’option de la guerre civile ne réussira pas non plus, car les Ivoiriens ont compris qu’elle ne servirait à rien, sinon, si ce n’est pour détruire leur beau pays. Donc, il ne lui reste que l’option terroriste. Attaquer des populations comme des coupeurs de routes, poser des bombes par endroit. Le tout pour déclencher la colère du peuple ivoirien. Et la confiscation du pouvoir n’est pas fortuite. Il cherche des alliés pour, selon lui, libérer la Côte d’Ivoire et l’Afrique. Cette libération qui s’apparente aux méthodes extrémistes des groupes armées d’Al Qaida semble la seule voie de Gbagbo. Car le réseau de Ben Laden avait déjà mené des actions en sa faveur. Car, il a la même vision (libération totale de l’Afrique des ex-colons) que les branches armées d’extrémistes musulmans (Al Qaida) dirigées par Ben Laden. Et Al Qaida Afrique de l’Ouest(AQAO) situé au Mali et allié aux frères d’Al Qaida Maghreb Islamique (AQMI), tous sous tutelle de l’Al Qaida Afrique (AQA) dirigé par le Chef Al-Sam Van basé en Somalie, à Mogadiscio, avait déjà mis la France et l’ONU en garde contre la recolonisation qu’elles voudraient imposer à la Côte d’Ivoire, et contre tout tort fait à tous les pays d’Afrique. "L’heure est venue pour en finir définitivement avec la Françafrique pour la vraie indépendance en Afrique", avait lancé Cheick El-Izi chef d’Al Qaida Afrique de l’ouest (AQAO) au côté de ses supérieurs à Mogadiscio, pour traiter, dans un sérieux monacal, la crise qui prévaut dans le pays d’Houphouët-Boigny, depuis une décennie, à travers un message posté sur internet et envoyé depuis le 02 décembre 2010, juste après le second tour de l’élection présidentielle du 28 novembre 2010. Le Chef Al Qaida Afrique a, par la suite ajouté que "La guerre des grandes puissances contre l’Afrique est engagée car l’Afrique reste le continent le plus riche du monde. Nous, AQAO branche d’AQA, ne resterons pas silencieux si longtemps face à de telles injustices faites par la France à la Côte d’ivoire, à l’Afrique de l’ouest, à l’Afrique toute entière ". Les groupes Al Qaida d’Afrique se sont dits en alerte pour défendre la Côte d’Ivoire et l’Afrique en général. Alors Gbagbo va-t-il solliciter le groupe de Ben Laden en Afrique ? Toujours est-il que toutes les actions et la vision de Gbagbo ressemblent à tous point de vue à celles d’Al Qaida.
Guy TRESSIA
guy_tressia@yahoo.fr