Tout en reconnaissant les difficultés que son équipe a rencontrées face au Mali, Georges Kouadio
estime que l’essentiel, c’est la victoire.
Après sa courte victoire, 1-0, face aux Aigles du Mali, Georges Kouadio, l’entraineur des Eléphants locaux a répondu, volontiers, aux préoccupations de l’envoyé spécial du service communication de la Fif au Soudan. A l’instar de plusieurs puristes du football, pour le technicien ivoirien ce qui compte lors des phases finales d’une compétition africaine, c’est la victoire. Et non le beau jeu. «Je ne veux pas qu’on s’attarde sur le jeu produit par mes joueurs, a dit Georges Kouadio. Je retiens simplement que la victoire est là. C’est ça l’essentiel». Pour lui, les aficionados ivoiriens du sport roi, eu égard à la préparation calamiteuse dont son équipe a bénéficié, devraient être plutôt très indulgent. «Les Ivoiriens doivent être fiers de ces garçons, a-t-il lâché. Ils se sont battus pour obtenir une victoire qui n’était pas évidente. Je pense que nous devons les galvaniser pour le prochain match qui est très capital. Vous savez, nous jouons une coupe d’Afrique. Et ici, on ne demande pas qui a dominé.
Ce sont les victoires qui comptent». A entendre le sélectionneur des Eléphants locaux, lui et son
commando ne se sont pas rendus au Soudan en victimes expiatoires. Mais pour faire oublier la
calamiteuse campagne de l’édition 1 du Chan qui s’est déroulée en Côte d’Ivoire. «Nous sommes
venus au Soudan pour redorer notre blason après notre mauvaise prestation à Abidjan en 2009,
soutient Georges Kouadio. C’est tout. Le reste n’est que bavardage». Selon lui, ses joueurs méritent félicitations et encouragements ; eux qui ont mouillé le maillot face à des adversaires qui sont très avancés dans leur championnat national, et par conséquent, plus en jambe. « Je vous apprends que nous avons joué contre une équipe dont les joueurs viennent d’un championnat qui est à sa 15e journée, a souligné Georges. Ils sont donc physiquement et athlétiquement prêts. Ils sont plus en jambe. C’est tout le contraire chez nous. A part le tournoi des « Africains » et le match aller des coupes africaines des clubs livrés par certains joueurs, d’autres n’ont même pas une semaine d’entraînement dans leurs jambes avant de venir au Soudan ». Georges Kouadio et ses joueurs se sont remis au travail pour affronter sereinement la Rdc, championne en titre.
Eugène Djabia
estime que l’essentiel, c’est la victoire.
Après sa courte victoire, 1-0, face aux Aigles du Mali, Georges Kouadio, l’entraineur des Eléphants locaux a répondu, volontiers, aux préoccupations de l’envoyé spécial du service communication de la Fif au Soudan. A l’instar de plusieurs puristes du football, pour le technicien ivoirien ce qui compte lors des phases finales d’une compétition africaine, c’est la victoire. Et non le beau jeu. «Je ne veux pas qu’on s’attarde sur le jeu produit par mes joueurs, a dit Georges Kouadio. Je retiens simplement que la victoire est là. C’est ça l’essentiel». Pour lui, les aficionados ivoiriens du sport roi, eu égard à la préparation calamiteuse dont son équipe a bénéficié, devraient être plutôt très indulgent. «Les Ivoiriens doivent être fiers de ces garçons, a-t-il lâché. Ils se sont battus pour obtenir une victoire qui n’était pas évidente. Je pense que nous devons les galvaniser pour le prochain match qui est très capital. Vous savez, nous jouons une coupe d’Afrique. Et ici, on ne demande pas qui a dominé.
Ce sont les victoires qui comptent». A entendre le sélectionneur des Eléphants locaux, lui et son
commando ne se sont pas rendus au Soudan en victimes expiatoires. Mais pour faire oublier la
calamiteuse campagne de l’édition 1 du Chan qui s’est déroulée en Côte d’Ivoire. «Nous sommes
venus au Soudan pour redorer notre blason après notre mauvaise prestation à Abidjan en 2009,
soutient Georges Kouadio. C’est tout. Le reste n’est que bavardage». Selon lui, ses joueurs méritent félicitations et encouragements ; eux qui ont mouillé le maillot face à des adversaires qui sont très avancés dans leur championnat national, et par conséquent, plus en jambe. « Je vous apprends que nous avons joué contre une équipe dont les joueurs viennent d’un championnat qui est à sa 15e journée, a souligné Georges. Ils sont donc physiquement et athlétiquement prêts. Ils sont plus en jambe. C’est tout le contraire chez nous. A part le tournoi des « Africains » et le match aller des coupes africaines des clubs livrés par certains joueurs, d’autres n’ont même pas une semaine d’entraînement dans leurs jambes avant de venir au Soudan ». Georges Kouadio et ses joueurs se sont remis au travail pour affronter sereinement la Rdc, championne en titre.
Eugène Djabia
