Les sanctions injustes et injustifiées de l’Union européenne continuent de pleuvoir sur la Côte d’Ivoire depuis le déclenchement de la crise post-électorale provoquée par la certification précipitée et biaisée du Coréen Y. Choi, représentant du Secrétaire général de l’Onu en Côte d’Ivoire.
Comme un engrenage déréglé, l’Union européenne participe aux côtés de la France à la déstabilisation de l’Etat souverain de Côte d’Ivoire en cherchant à atteindre l’objectif d’asphyxier économiquement l’Eburnie. Près d’une centaine de personnalités et 13 entreprises figurent déjà sur la liste noire et partisane de l’Union européenne. L’incongruité de la démarche de l’Ue suscite de vives réactions du digne peuple de Côte d’Ivoire.
Des questions s’entrechoquent au sein de l’opinion nationale : Quels sont les véritables motifs de ces sanctions ? Quels en sont les véritables commandi-taires ?
Selon des sources concordantes, c’est depuis l’enclave du « Golf d’Hôtel » d’Abidjan où est retranché le candidat perdant à la présidentielle, Alassane Dramane Ouattara que les membres de son gouvernement virtuel font des propositions des personnalités proches du président Laurent Gbagbo ainsi que les institutions ivoiriennes à sanctionner par l’Ue. La délégation de la commission européenne et l’Ambassade de France à Abidjan où un comité a été spécialement mis en place se mettent à pied d’œuvre. Au final, c’est l’obscure Catherine Ashton de la Direction générale Afrique de l’Ouest du service européen par l’action extérieure qui établit et publie la liste définitive. Comment comprendre que certaines personnalités du gouvernement fictif d’Alassane notamment les ministres Charles Koffi Diby et Patrick Achi dont les entreprises, de bonnes sources, collaborent avec l’administration, en ce moment, soient royalement épargnées ? De toute évidence, les sanctions de l’Ue ont beau être symboliques que pratiques (gel des avoirs, interdictions de voyages), n’empêche que toute cette kyrielle de sanctions contribuent au complot mûri contre la Côte d’Ivoire pour l’installation forcée de Alassane Ouattara au sommet de l’Etat. Après avoir évalué l’effet des premières sanctions, l’Ue s’apprêterait à prendre une mesure d’embargo commerciale sur la Côte d’Ivoire. Affaiblir par tous les moyens, le gouvernement Aké N’Gbo est l’objectif recherché afin de provoquer la chute du président Laurent Gbagbo. En agissant de manière partisane et sous la dictée moutonnière de la Française, l’Ue viole le droit fondamental des citoyens à choisir librement leur président dans les règles de la légalité constitutionnelle. Et à respecter le choix d’un gouvernement qui découle de la majorité populaire.
In Ivoire Gazette
Comme un engrenage déréglé, l’Union européenne participe aux côtés de la France à la déstabilisation de l’Etat souverain de Côte d’Ivoire en cherchant à atteindre l’objectif d’asphyxier économiquement l’Eburnie. Près d’une centaine de personnalités et 13 entreprises figurent déjà sur la liste noire et partisane de l’Union européenne. L’incongruité de la démarche de l’Ue suscite de vives réactions du digne peuple de Côte d’Ivoire.
Des questions s’entrechoquent au sein de l’opinion nationale : Quels sont les véritables motifs de ces sanctions ? Quels en sont les véritables commandi-taires ?
Selon des sources concordantes, c’est depuis l’enclave du « Golf d’Hôtel » d’Abidjan où est retranché le candidat perdant à la présidentielle, Alassane Dramane Ouattara que les membres de son gouvernement virtuel font des propositions des personnalités proches du président Laurent Gbagbo ainsi que les institutions ivoiriennes à sanctionner par l’Ue. La délégation de la commission européenne et l’Ambassade de France à Abidjan où un comité a été spécialement mis en place se mettent à pied d’œuvre. Au final, c’est l’obscure Catherine Ashton de la Direction générale Afrique de l’Ouest du service européen par l’action extérieure qui établit et publie la liste définitive. Comment comprendre que certaines personnalités du gouvernement fictif d’Alassane notamment les ministres Charles Koffi Diby et Patrick Achi dont les entreprises, de bonnes sources, collaborent avec l’administration, en ce moment, soient royalement épargnées ? De toute évidence, les sanctions de l’Ue ont beau être symboliques que pratiques (gel des avoirs, interdictions de voyages), n’empêche que toute cette kyrielle de sanctions contribuent au complot mûri contre la Côte d’Ivoire pour l’installation forcée de Alassane Ouattara au sommet de l’Etat. Après avoir évalué l’effet des premières sanctions, l’Ue s’apprêterait à prendre une mesure d’embargo commerciale sur la Côte d’Ivoire. Affaiblir par tous les moyens, le gouvernement Aké N’Gbo est l’objectif recherché afin de provoquer la chute du président Laurent Gbagbo. En agissant de manière partisane et sous la dictée moutonnière de la Française, l’Ue viole le droit fondamental des citoyens à choisir librement leur président dans les règles de la légalité constitutionnelle. Et à respecter le choix d’un gouvernement qui découle de la majorité populaire.
In Ivoire Gazette