Radiobfm.com - Depuis lundi, ses activités sont provisoirement suspendues. Pour l`établissement, il est tout simplement devenu impossible de travailler dans le pays.
Les conditions étaient devenues impossibles, pas seulement pour des questions de sécurité, mais aussi pour des problèmes réglementaires et juridiques. De source proche de la banque, l`activité bancaire du pays ne fonctionnerait plus du tout de manière régulière…
Des conditions imposées par séquestration
Laurent Gbagbo aurait en fait court-circuité la Banque centrale du pays : l`institution ne lui était pas favorable. L`ancien président a du coup créé sa propre Chambre de compensation. Mais aujourd`hui, il impose ses conditions, à tel point que lors de la dernière réunion, les représentants de BNP Paribas sont tout simplement restés bloqués en salle de réunion jusqu`à ce que les représentants de la Chambre de compensation obtiennent ce qu`ils souhaitaient.
La tension monte d’un cran
Les transactions entre la banque et ses clients ne sont donc plus couvertes, et même si BNP rafle un peu plus de 10 % de parts de marché en Côte d’Ivoire, la banque a préféré cessé toute activité. Elle a tout fait pour tenter de maintenir son activité, mais la pression est montée d`un cran ces dernières semaines, au point d`imposer une fermeture.
La rédaction avec Caroline Morisseau
Les conditions étaient devenues impossibles, pas seulement pour des questions de sécurité, mais aussi pour des problèmes réglementaires et juridiques. De source proche de la banque, l`activité bancaire du pays ne fonctionnerait plus du tout de manière régulière…
Des conditions imposées par séquestration
Laurent Gbagbo aurait en fait court-circuité la Banque centrale du pays : l`institution ne lui était pas favorable. L`ancien président a du coup créé sa propre Chambre de compensation. Mais aujourd`hui, il impose ses conditions, à tel point que lors de la dernière réunion, les représentants de BNP Paribas sont tout simplement restés bloqués en salle de réunion jusqu`à ce que les représentants de la Chambre de compensation obtiennent ce qu`ils souhaitaient.
La tension monte d’un cran
Les transactions entre la banque et ses clients ne sont donc plus couvertes, et même si BNP rafle un peu plus de 10 % de parts de marché en Côte d’Ivoire, la banque a préféré cessé toute activité. Elle a tout fait pour tenter de maintenir son activité, mais la pression est montée d`un cran ces dernières semaines, au point d`imposer une fermeture.
La rédaction avec Caroline Morisseau