La campagne de sensibilisation du ministre Ouattara Gnonzié, pour la défense de la souveraineté nationale et des Institutions de la République va panser les plaies du pays dans le domaine de la Communication.
L’offensive du ministre Ouattara Gnonzié ranime les sens de la République sur le plan de la communication. Et déjà autour de son action, il a pu tisser quelques paroles bienveillantes de patriotes ivoiriens : «Gnonzié ? On ne s’amuse pas avec son affaire de souveraineté de la Côte d’Ivoire !» Il fallait s’y attendre. Dès sa prise de fonction, le ministre Gnonzié a abattu ses cartes de journaliste résistant, en tenue commando pour protéger et soigner l’image écornée de notre pays, la Côte d’Ivoire. Sa référence, «le patriote acte», institué aux Etats-Unis, où après l’attaque des tours jumelles le 11 septembre 2002, aucune règle de liberté – même celle de la presse -, ne vient entraver le combat contre l’insécurité. Au lendemain de cet acte terroriste, «aucun journal n’a écrit : c’est bien fait pour Bush ! Aucun !», soutient le ministre. A chaque occasion, il dit ne pas comprendre que des journalistes ivoiriens se plaisent à appeler de tous leurs vœux, des forces étrangères (Ecomog), pour ouvrir le feu sur leur pays et le détruire. Il répète ne pas le comprendre, d’autant que les balles assassines ne feront pas de tri pour créer la désolation dans la population. Avec la crise post-électorale, les Ivoiriens ont souffert du caractère nuisible de la radio Onuci Fm. Le retrait de fréquences à cette radio pro-rebelle, attendu immédiatement après la décision du Gouvernement de mettre fin à la mission de l’Onuci, a fini par être formalisé dans la même période que le renouvellement de l’équipe du Conseil national de la presse (Cnp). Même si Onuci Fm continue d’émettre, comme Onuci elle-même s’accroche à la Côte d’Ivoire, elle a, au moins, la pression de quelqu’un qui est désormais conscient qu’il n’est plus le bienvenu sur cette terre d’Eburnie. En disant aux médias étrangers que s’ils respectent la souveraineté de la Côte d’Ivoire, ce pays serait sensible à leur mission, le ministre plante le décor qui lui est cher. Et il n’oublie pas de préciser que son patron, le président de la République Laurent Gbagbo, est très pointilleux sur le respect de la souveraineté de son pays et le respect de ses Institutions. De même, lorsque le tout nouveau président du Cnp, M. Déby Dally, rappelle officiellement aux journalistes leurs limites légales dans le traitement de l’information, on comprend que la volonté politique au sein du ministère de la Communication est affirmée pour mettre notre pays à l’abri de grelots dommageables. L’ambassade de France et l’Union européenne peuvent offrir au gouvernement du Gofl Hôtel, des équipements d’une radio et d’une télévision et également des équipements pour brouiller la Rti, Onuci Fm peut continuer de lancer des messages de haine et d’appel à la rébellion, mais pour le ministre Gnonzié à la recherche de la meilleure solution, tout cela va finir. On peut donc le dire, aucun ministre de la Communication des gouvernements Seydou Diarra, Charles Konan Banny et Guillaume Soro n’a affiché autant sa ferme volonté de voir les journalistes nationaux et internationaux respecter les Institutions de la République de Côte d’Ivoire, comme le fait, en ce moment, avec énergie, le locataire du 22e étage de la Tour C, au Plateau. Certains, s’ils n’ont pas carrément exhibé leur proximité avec la rébellion, ont voulu jouer les équilibristes par un discours désincarné, alors que des confrères mettent quotidiennement à mal la République. Si elle continue, la campagne du ministre Gnonzié va énormément soulager la Côte d’Ivoire attaquée sur plusieurs fronts.
Germain Séhoué
gs05895444@yahoo.fr
L’offensive du ministre Ouattara Gnonzié ranime les sens de la République sur le plan de la communication. Et déjà autour de son action, il a pu tisser quelques paroles bienveillantes de patriotes ivoiriens : «Gnonzié ? On ne s’amuse pas avec son affaire de souveraineté de la Côte d’Ivoire !» Il fallait s’y attendre. Dès sa prise de fonction, le ministre Gnonzié a abattu ses cartes de journaliste résistant, en tenue commando pour protéger et soigner l’image écornée de notre pays, la Côte d’Ivoire. Sa référence, «le patriote acte», institué aux Etats-Unis, où après l’attaque des tours jumelles le 11 septembre 2002, aucune règle de liberté – même celle de la presse -, ne vient entraver le combat contre l’insécurité. Au lendemain de cet acte terroriste, «aucun journal n’a écrit : c’est bien fait pour Bush ! Aucun !», soutient le ministre. A chaque occasion, il dit ne pas comprendre que des journalistes ivoiriens se plaisent à appeler de tous leurs vœux, des forces étrangères (Ecomog), pour ouvrir le feu sur leur pays et le détruire. Il répète ne pas le comprendre, d’autant que les balles assassines ne feront pas de tri pour créer la désolation dans la population. Avec la crise post-électorale, les Ivoiriens ont souffert du caractère nuisible de la radio Onuci Fm. Le retrait de fréquences à cette radio pro-rebelle, attendu immédiatement après la décision du Gouvernement de mettre fin à la mission de l’Onuci, a fini par être formalisé dans la même période que le renouvellement de l’équipe du Conseil national de la presse (Cnp). Même si Onuci Fm continue d’émettre, comme Onuci elle-même s’accroche à la Côte d’Ivoire, elle a, au moins, la pression de quelqu’un qui est désormais conscient qu’il n’est plus le bienvenu sur cette terre d’Eburnie. En disant aux médias étrangers que s’ils respectent la souveraineté de la Côte d’Ivoire, ce pays serait sensible à leur mission, le ministre plante le décor qui lui est cher. Et il n’oublie pas de préciser que son patron, le président de la République Laurent Gbagbo, est très pointilleux sur le respect de la souveraineté de son pays et le respect de ses Institutions. De même, lorsque le tout nouveau président du Cnp, M. Déby Dally, rappelle officiellement aux journalistes leurs limites légales dans le traitement de l’information, on comprend que la volonté politique au sein du ministère de la Communication est affirmée pour mettre notre pays à l’abri de grelots dommageables. L’ambassade de France et l’Union européenne peuvent offrir au gouvernement du Gofl Hôtel, des équipements d’une radio et d’une télévision et également des équipements pour brouiller la Rti, Onuci Fm peut continuer de lancer des messages de haine et d’appel à la rébellion, mais pour le ministre Gnonzié à la recherche de la meilleure solution, tout cela va finir. On peut donc le dire, aucun ministre de la Communication des gouvernements Seydou Diarra, Charles Konan Banny et Guillaume Soro n’a affiché autant sa ferme volonté de voir les journalistes nationaux et internationaux respecter les Institutions de la République de Côte d’Ivoire, comme le fait, en ce moment, avec énergie, le locataire du 22e étage de la Tour C, au Plateau. Certains, s’ils n’ont pas carrément exhibé leur proximité avec la rébellion, ont voulu jouer les équilibristes par un discours désincarné, alors que des confrères mettent quotidiennement à mal la République. Si elle continue, la campagne du ministre Gnonzié va énormément soulager la Côte d’Ivoire attaquée sur plusieurs fronts.
Germain Séhoué
gs05895444@yahoo.fr
