Présidant le groupe de haut niveau pour le règlement de la crise ivoirienne, le président mauritanien, Mohamed Ould Abdel Aziz, est arrivé au palais présidentiel d’Abidjan, sis au Plateau, aux environs de 14h 30, ouvrant ainsi les discussions avec le président Laurent Gbagbo, l’un des deux protagonistes, a constaté sur place l’AIP.
Mandaté par le Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine, le groupe de haut niveau est chargé de proposer "une solution politique d’ensemble contraignante" au président Gbagbo et à son rival Alassane Ouattara soutenu par la communauté internationale dont l’ONU, rappelle-t-on.
Pour ce faire, les membres de groupe de haut niveau, dont fait partie le président burkinabé, Blaise Compaoré, récusé par les jeunes patriotes proches du président Gbagbo, ont bénéficié de l’assistance d’une équipe d’experts qui ont évalué, du 6 au 9 février, la situation postélectorale avec les parties impliquées dans le processus électoral en Côte d’Ivoire consignée dans un rapport à leur remis dimanche, à Nouakchott.
La médiation des présidents Jacob Zuma (Afrique du Sud), Jakaya Kikwete (Tanzanie), Idriss Déby Itno (Tchad) et Mohamed Ould Abdel Aziz (Mauritanie) est très attendue par les ivoiriens victimes de l’embargo économique de la communauté internationale, à travers la fermeture, depuis la semaine dernière, de plusieurs banques commerciales, filiales des banques internationales, a-t-on noté.
En effet, en dépit de la nationalisation des banques BICICI et SGBCI par le gouvernement ivoirien, pour permettre à leurs nombreux clients de récupérer, à terme, leurs avoirs, les activités économiques sont au ralenti dans la capitale économique et plusieurs villes de l’intérieur où des partisans du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (RHDP) appellent à la "révolution populaire" pour faire partir le président Gbagbo du pouvoir.
Mandaté par le Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine, le groupe de haut niveau est chargé de proposer "une solution politique d’ensemble contraignante" au président Gbagbo et à son rival Alassane Ouattara soutenu par la communauté internationale dont l’ONU, rappelle-t-on.
Pour ce faire, les membres de groupe de haut niveau, dont fait partie le président burkinabé, Blaise Compaoré, récusé par les jeunes patriotes proches du président Gbagbo, ont bénéficié de l’assistance d’une équipe d’experts qui ont évalué, du 6 au 9 février, la situation postélectorale avec les parties impliquées dans le processus électoral en Côte d’Ivoire consignée dans un rapport à leur remis dimanche, à Nouakchott.
La médiation des présidents Jacob Zuma (Afrique du Sud), Jakaya Kikwete (Tanzanie), Idriss Déby Itno (Tchad) et Mohamed Ould Abdel Aziz (Mauritanie) est très attendue par les ivoiriens victimes de l’embargo économique de la communauté internationale, à travers la fermeture, depuis la semaine dernière, de plusieurs banques commerciales, filiales des banques internationales, a-t-on noté.
En effet, en dépit de la nationalisation des banques BICICI et SGBCI par le gouvernement ivoirien, pour permettre à leurs nombreux clients de récupérer, à terme, leurs avoirs, les activités économiques sont au ralenti dans la capitale économique et plusieurs villes de l’intérieur où des partisans du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (RHDP) appellent à la "révolution populaire" pour faire partir le président Gbagbo du pouvoir.
