Les enseignants se réclamant de la Majorité présidentielle (LMP) et ceux du Rassemblement des houphouétistes pour la paix (RHDP) de Sinfra (centre-ouest, région de la Marahoué) ont fumé le calumet de la paix, suite à une rencontre de réconciliation présidée, mardi, par le préfet du département, Niasson Konian, à l’initiative du directeur départemental de l’Education nationale, Kpokro Djaha.
Lors cette rencontre de vérité, selon le porte-parole des enseignants du lycée Henri Konan Bédié de Sinfra, Kadjo Armand, leurs collègues de la Majorité présidentielle reprochaient à ceux du RHDP de vouloir attenter physiquement à leur vie, à travers des menaces de mort proférées à leur endroit.
Le préfet Niasson Konian a condamné l’attitude de ces enseignants en indiquant que le statut de la Fonction publique les interdisait formellement d’exprimer leurs opinions politiques dans leur service. Il les a invités à faire table rase de ce passé pour emprunter la voie du pardon et de la réconciliation.
Le préfet a, par ailleurs, demandé au maire de Sinfra, Abdel Kader Baradji, en tant qu’officier de police judiciaire, de se départir de son appartenance politique, afin d’assurer la sécurité de toute la population.
Lors cette rencontre de vérité, selon le porte-parole des enseignants du lycée Henri Konan Bédié de Sinfra, Kadjo Armand, leurs collègues de la Majorité présidentielle reprochaient à ceux du RHDP de vouloir attenter physiquement à leur vie, à travers des menaces de mort proférées à leur endroit.
Le préfet Niasson Konian a condamné l’attitude de ces enseignants en indiquant que le statut de la Fonction publique les interdisait formellement d’exprimer leurs opinions politiques dans leur service. Il les a invités à faire table rase de ce passé pour emprunter la voie du pardon et de la réconciliation.
Le préfet a, par ailleurs, demandé au maire de Sinfra, Abdel Kader Baradji, en tant qu’officier de police judiciaire, de se départir de son appartenance politique, afin d’assurer la sécurité de toute la population.