La coupure d’électricité dans les zones centre, nord et ouest (CNO) depuis lundi, cause d’énormes préjudices aux populations de Korhogo, note-t-on.
Contrairement à la période de délestage de février et mars 2010, cette coupure est totale d’électricité a entraîné l’interruption de fourniture d’eau courante par la Société de distribution d’eau de Côte d’Ivoire (SODECI) suite à l’arrêt de la station de traitement d’eau. Les populations sont donc obligées de se rabattre sur les puits qui n’arrivent pas à satisfaire tous les besoins journaliers des populations.
Au Centre hospitalier régional (CHR) de Korhogo, par ailleurs, l’on s’efforce de faire fonctionner le groupe électrogène dont le besoin en carburant est estimé à 250 l de gasoil pour une dizaine d’heures de fonctionnement. Mais le besoin en carburant s’impose, compte tenu de l’insuffisance de ressources, a expliqué la direction qui a engagé des démarches auprès des organisations internationales humanitaires, en vue d’obtenir une aide dans ce sens.
La coupure d’électricité a aussi un impact négatif considérable sur certaines activités commerciales, notamment les cybercafés, les maquis, les laboratoires de photographie et les cabines téléphoniques. Même les agences de certaines sociétés de téléphonie mobile qui n’ont pu se doter de groupe électrogène, attendent le rétablissement de l’électricité avant de reprendre leurs activités.
L’usage des téléphones portables a même pris un coup face aux énormes difficultés qu’éprouvent leurs propriétaires à les recharger. L’on est obligé de demander l’aide d’un ménage doté d’un moteur électrique pour le faire, a indiqué un utilisateur de cet instrument de communication à l’AIP.
Ceux qui ne veulent pas déranger ces ménages, comme M. Pierre au quartier Petit Paris, préfèrent charger leurs téléphones portables à partir de la batterie de leur véhicule.
En attendant la régularisation de la situation, les populations se contentent des lampes tempête, des bougies et des torches et s’interrogent toujours sur les causes réelles de cette coupure.
Contrairement à la période de délestage de février et mars 2010, cette coupure est totale d’électricité a entraîné l’interruption de fourniture d’eau courante par la Société de distribution d’eau de Côte d’Ivoire (SODECI) suite à l’arrêt de la station de traitement d’eau. Les populations sont donc obligées de se rabattre sur les puits qui n’arrivent pas à satisfaire tous les besoins journaliers des populations.
Au Centre hospitalier régional (CHR) de Korhogo, par ailleurs, l’on s’efforce de faire fonctionner le groupe électrogène dont le besoin en carburant est estimé à 250 l de gasoil pour une dizaine d’heures de fonctionnement. Mais le besoin en carburant s’impose, compte tenu de l’insuffisance de ressources, a expliqué la direction qui a engagé des démarches auprès des organisations internationales humanitaires, en vue d’obtenir une aide dans ce sens.
La coupure d’électricité a aussi un impact négatif considérable sur certaines activités commerciales, notamment les cybercafés, les maquis, les laboratoires de photographie et les cabines téléphoniques. Même les agences de certaines sociétés de téléphonie mobile qui n’ont pu se doter de groupe électrogène, attendent le rétablissement de l’électricité avant de reprendre leurs activités.
L’usage des téléphones portables a même pris un coup face aux énormes difficultés qu’éprouvent leurs propriétaires à les recharger. L’on est obligé de demander l’aide d’un ménage doté d’un moteur électrique pour le faire, a indiqué un utilisateur de cet instrument de communication à l’AIP.
Ceux qui ne veulent pas déranger ces ménages, comme M. Pierre au quartier Petit Paris, préfèrent charger leurs téléphones portables à partir de la batterie de leur véhicule.
En attendant la régularisation de la situation, les populations se contentent des lampes tempête, des bougies et des torches et s’interrogent toujours sur les causes réelles de cette coupure.
