Les affrontements à l’arme lourde qui rythment la vie à Abobo se sont étendus à Yopougon. Sur fond de tension au sein des Fds pro-Gbagbo.
La commune de Yopougon s’est réveillée lundi au son des armes lourdes. Tout le monde s’est alors convaincu que le commando mystérieux qui a obligé les forces de l’ex-chef de l’Etat à abandonner la commune voisine d’Abobo avait mis le cap sur le fief de Gbagbo. Information en partie vraie. En fait, deux attaques ont eu lieu ce jour-là à Yopougon. La première a eu lieu peu après 3h du matin. Elle a été conduite par près de 150 miliciens et a visé la résidence du chef d’état-major. A l’aide de mitrailleuses de 12,7 mm, les assaillants ont pris pour cible le domicile du général de corps d’armée Philippe Mangou.
L’objectif étant de neutraliser l’officier général qui n’y était d’ailleurs pas. Ne sachant pas ce qui s’y passait, l’armée dépêchera du renfort sur place. Après avoir mis en déroute les assaillants, ceux-ci font des prisonniers qui ne tardent pas à parler. Ils se présentent comme des éléments de la garde républicaine. La deuxième attaque a eu lieu à partir de l’axe Yopougon-Anyama. Elle a été lancée par le commando mystérieux qui a pris le contrôle d’Abobo. Le poste avancé de ce commando se trouve à moins de 500 m de celui des fds installé près de la maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (Maca). Des éléments Fds arrivés avec deux véhicules de ravitaillement ont eu la malencontreuse idée d’aller démonter le poste avancé du commando mystérieux. Mal leur en pris. Tous les six sont capturés et déshabillés avant d’être libérés. Le commando s’empare des deux véhicules chargés de munitions et d’aliments. Ensuite, le commando contourne la position des Fds et met le cap sur Yopougon. Des affrontements sont signalés à Wassakara, Port-Bouët 2 et le quartier millionnaire où réside Charles Blé Goudé. Les affrontements feront plusieurs morts parmi la population civile et plusieurs biens seront détruits.
La commune de Yopougon s’est réveillée lundi au son des armes lourdes. Tout le monde s’est alors convaincu que le commando mystérieux qui a obligé les forces de l’ex-chef de l’Etat à abandonner la commune voisine d’Abobo avait mis le cap sur le fief de Gbagbo. Information en partie vraie. En fait, deux attaques ont eu lieu ce jour-là à Yopougon. La première a eu lieu peu après 3h du matin. Elle a été conduite par près de 150 miliciens et a visé la résidence du chef d’état-major. A l’aide de mitrailleuses de 12,7 mm, les assaillants ont pris pour cible le domicile du général de corps d’armée Philippe Mangou.
L’objectif étant de neutraliser l’officier général qui n’y était d’ailleurs pas. Ne sachant pas ce qui s’y passait, l’armée dépêchera du renfort sur place. Après avoir mis en déroute les assaillants, ceux-ci font des prisonniers qui ne tardent pas à parler. Ils se présentent comme des éléments de la garde républicaine. La deuxième attaque a eu lieu à partir de l’axe Yopougon-Anyama. Elle a été lancée par le commando mystérieux qui a pris le contrôle d’Abobo. Le poste avancé de ce commando se trouve à moins de 500 m de celui des fds installé près de la maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (Maca). Des éléments Fds arrivés avec deux véhicules de ravitaillement ont eu la malencontreuse idée d’aller démonter le poste avancé du commando mystérieux. Mal leur en pris. Tous les six sont capturés et déshabillés avant d’être libérés. Le commando s’empare des deux véhicules chargés de munitions et d’aliments. Ensuite, le commando contourne la position des Fds et met le cap sur Yopougon. Des affrontements sont signalés à Wassakara, Port-Bouët 2 et le quartier millionnaire où réside Charles Blé Goudé. Les affrontements feront plusieurs morts parmi la population civile et plusieurs biens seront détruits.