Les violents combats entre insurgés et Forces de défense et de sécurité (Fds), déclenchés depuis un moment, dans la commune d`Abobo, s`étendent, au fil des jours, à plusieurs autres communes du district d`Abidjan. Et cela, avec son cortège de morts et de destruction d`édifices publics. Le jeudi 17 mars, c`est Adjamé qui a enregistré de nombreuses violences, à différents endroits de la commune. Devant le ministère de la Défense, à la frontière de la commune d`Adjamé et celle du Plateau, de violents combats ont opposé les insurgés armés aux Fds. Au district de police 4, en face du groupe de presse Fraternité Matin, des tirs nourris ont été entendus quand, du côté du boulevard « Nangui Abrogoua », en face du Forum des marchés, le commissariat du 3ème arrondissement était saccagé par de nombreux jeunes gens. Les informations indiquent qu`aux environs de 12 h, des individus armés se sont présentés dans les environs du
ministère de la Défense, derrière la cité policière du Plateau. « A peine arrivés, ils ont été accueillis par les militaires, à partir du ministère de la Défense » confie un témoin qui a requis l`anonymat. Dès lors, les deux camps se livrent un combat, sans merci, à l`arme de guerre. Notamment des kalachnikov et des grenades offensives. Les riverains, pour ne pas prendre des balles perdues, se terrent chez eux. Après une trentaine de minutes de combats, les Fds réussissent à repousser les assaillants qui replient, comme l`indique notre source, jusqu`au niveau du boulevard « Nangui Abrogoua », au carrefour de la Mairie. Selon la télévision nationale, ces combats ont fait plusieurs. Quelques heures plus tard, ce sont les environs de Fraternité Matin qui ont été secoués par des tirs nourris. De sources concordantes, les agents de l`ordre basés au district de police 4 d`Adjamé, se couvraient ainsi d`une éventuelle attaque.
Selon une source bien introduite s’il n’y a donc pas eu de combats entre insurgés et Fds au district de police 4 d`Adjamé, cependant aux environs de 11 h, une horde de badauds armés de pierres ont réussi à pénétrer dans les locaux du commissariat du 3ème arrondissement en ‘’bombardant’’ les occupants de projectiles. Ensuite, seuls maîtres à bord, ils ont saccagé les installations avant de mettre le voile. Cela, à l`arrivée du renfort de la brigade anti-émeute (Bae). Lorsque les policiers de cette unité d`intervention sont arrivés sur place et ont commencé à tirer, les badauds ont quitté le commissariat, en prenant la fuite précise notre source. Il faut noter que les tris nourris entendus dans les différents secteurs de la commune ont paralysé les commerces, le transport et le trafic routier, par endroit.
FOFANA MAmbé
ministère de la Défense, derrière la cité policière du Plateau. « A peine arrivés, ils ont été accueillis par les militaires, à partir du ministère de la Défense » confie un témoin qui a requis l`anonymat. Dès lors, les deux camps se livrent un combat, sans merci, à l`arme de guerre. Notamment des kalachnikov et des grenades offensives. Les riverains, pour ne pas prendre des balles perdues, se terrent chez eux. Après une trentaine de minutes de combats, les Fds réussissent à repousser les assaillants qui replient, comme l`indique notre source, jusqu`au niveau du boulevard « Nangui Abrogoua », au carrefour de la Mairie. Selon la télévision nationale, ces combats ont fait plusieurs. Quelques heures plus tard, ce sont les environs de Fraternité Matin qui ont été secoués par des tirs nourris. De sources concordantes, les agents de l`ordre basés au district de police 4 d`Adjamé, se couvraient ainsi d`une éventuelle attaque.
Selon une source bien introduite s’il n’y a donc pas eu de combats entre insurgés et Fds au district de police 4 d`Adjamé, cependant aux environs de 11 h, une horde de badauds armés de pierres ont réussi à pénétrer dans les locaux du commissariat du 3ème arrondissement en ‘’bombardant’’ les occupants de projectiles. Ensuite, seuls maîtres à bord, ils ont saccagé les installations avant de mettre le voile. Cela, à l`arrivée du renfort de la brigade anti-émeute (Bae). Lorsque les policiers de cette unité d`intervention sont arrivés sur place et ont commencé à tirer, les badauds ont quitté le commissariat, en prenant la fuite précise notre source. Il faut noter que les tris nourris entendus dans les différents secteurs de la commune ont paralysé les commerces, le transport et le trafic routier, par endroit.
FOFANA MAmbé